ANNIVERSAIRE MOUVEMENTE ! ! !

CHAPITRE I

Les ennuis commencent

« Kami-sama ! » Soupira Ichigo, le cœur lourd. Il avait l'impression qu'il ne voyait pas la fin de sa journée. L'orangé était fatigué, car comme par hasard tous les problèmes n’auraient pas pu tomber un autre jour que son anniversaire. Aujourd'hui, il avait dix-huit ans.

« Joyeux anniversaire Ichigo! » Dit-il à lui même.

Le front encore plus froncé que d'habitude, il continua son chemin vers le magasin d'Uahara, le dos voûté comme s'il avait le poids du monde sur ses épaules.

Flash back

Tout avait commencé ce matin sur le chemin menant à son lycée. Déjà, qu'il avait eu une semaine difficile, car il avait mal dormi, n'arrêtant pas de s'agiter dans son lit avec de troublants rêves de lui avec le capitaine de la 6e Division. Il essaya d'oublier les sentiments qu'il avait ressentis durant ces moments, c'est-à-dire un grand trouble émotionnel.

« Ouff ! » Il avait tout à coup chaud en y repensant. Et le rouge lui montait aux joues.

Ces amis l'avaient trouvé quelque peu étrange durant toute cette semaine. Il avait bien vu qu'ils se faisaient du souci pour lui, mais il avait décidé de les ignorer, car il n'osait avouer ce qui le bouleversait.

En tout cas, Ichigo espérait qu'il allait passer une bonne journée !

****

Mais cela sans compter sur Uahara Kisuke qui avait décidé d'organiser une fête d'anniversaire pour Kurosaki, son élève préféré, pour lui permettre de se détendre un peu et même beaucoup. Car, il avait eu écho par Rukia-san que l'orangé n'était pas à prendre avec des pincettes. Le commerçant l'avait ensuite bombardé de questions diverses sur le comportement exact du jeune homme et Rukia se fit un plaisir de répondre à grand renfort de dessin. (POV : imager seulement !!! Lol !) Kisuke semblait pour une fois garder son sérieux et enregistra toutes les données qu'on lui transmettait. Puis silencieusement alla s'isoler un instant dans son laboratoire pour réfléchir à tout cela. (POV : Notre cher scientifique prenait à cœur le bien-être du rouquin, il faut le dire !)

Quelques minutes plus tard, il y ressortit pour faire état de son diagnostic. Rukia quant à elle se faisait tellement de soucis pour son ami qu’elle s'était résignée à aller demander conseil auprès de cet homme.

 Impatiemment, elle attendit, mais n'y tenant plus elle demanda :

« Alors ? »

Uahara prit son temps avant de répondre. Il essayait de contrôler le fou rire qui lui avait pris dans son laboratoire. Comme à son habitude il se cacha derrière son éventail.

« Ichigo va bien !! »

Rukia était sur le point de saisir le commerçant par le haut de son kimono quand il reprit cette fois-ci avec sérieux.

« Notre Ichigo est amoureux ! »

« Quoi ? » Puis elle resta bouge bée quelques secondes. Mais se repris aussi tôt.

« De qui ? Qui ? »

« Tu as la réponse sous le bout de nez depuis le début et c’est évident. Je te laisse y réfléchir. »

« Lorsque tu auras la réponse, pourrais-tu me rendre service, ma petite Rukia-chan. »

« De quoi s'agit-il ? »

« Tu vas m'aider à organiser une fête d'anniversaire pour notre orangé adorer. »

Rukia, haussa simplement la tête en signe d'assentiment, tout en étant plongé dans ses pensées.

Kisuke la laissa là, et décida de s'attaquer tout de suite au formidable plan qui s'était formé dans tête. Un sourire aux lèvres il s'attela à cette tâche.

Il contacta Ichigo sur sa Soul Pager en trouvant comme excuse un gros problème qu'il voulait discuter de vive voie avec lui, il lui ordonna tout en riant de venir tout de suite à son magasin.

****

« Qu'est-ce qu'il me veut encore ce vieux pervers. » Bougonna Ichigo tout en rangeant sa Soul Pager.

Donc il fit demi-tour vers le magasin, quand il sentit trois riatsus importants qui se dirigeaient droit vers lui. Et zut, avec sa tête en l'air en ce moment il avait oublié son badge de shinigami remplaçant dans sa chambre. Dans un tel état, il ne pouvait pas combattre.

« Merde, merde, et re-merde ! » N'arrêtait-il pas de dire les dents serrées, tout en courant à toute vitesse pour se cacher. Il détestait se cacher, mais il n'avait vraiment pas le choix. Il maudit sa négligence.

****

Pendant ce temps à la Soul Society Byakuya Kutchiki était extrêmement agité intérieurement. Mais nul ne le voyait à part son fukutaïcho Abaraï Renji.

Depuis son arrivée à la division Renji avait remarqué l'humeur massacrante de son capitaine. Un rien l'énervait. Cela se voyait par le haussement régulier de ces sourcils. Depuis le temps, il le connaissait ! Mais il aurait aimé savoir qui ou quoi avait mis le noble dans cet état. La seule chose qu'il pouvait faire c'était d'accomplir son travail du mieux qu'il pouvait. Il en parlera à Rukia plus tard. C'est décidé !

Durant ce laps de temps, Byakuya avait noté que l'esprit de son lieutenant était bien ailleurs et cela l'agaça encore plus.

« Lieutenant Abaraï. »

« Haï Taïcho. »

« Tenez, voici la liste de plusieurs documents dont j'aurai besoin pour après demain. Ils se trouvent aux archives. Pourriez-vous les récupérer ? »

Renji pris la liste. Liste qu'il nota très longue ce qui le fit tiquer.

« Quoi, tout ça ? ! ! ! ! Mais Taïcho, cela va me prendre plus de deux jours pour rassembler ces papiers !!! »

Renji ne reçut qu'un regard polaire de son capitaine, puis marmonna pour lui même :

« Je ne pourrais pas aller voir Ichigo avec ça. »

Byakuya eut un raté au cœur, mais il se reprit bien vite.

« Vous verrez Kurosaki-kun une fois que vous aurez fini votre travail. Travail qui d'ailleurs est très en retard. »

« Mais.... mais... taïcho... c'est l'anniversaire d'Ichigo aujourd'hui!!!! Uahara-san organise une fête pour lui et on est tous invi...té. »

Renji arrêta de parler quand il vit le visage de son capitaine s'assombrir et il comprit qu'il venait de commettre une grosse bourde. Il aurait dû tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler.

Sentant monter une aura meurtrière à son encontre de la part du capitaine, des sueurs froides coulèrent dans son dos. Prenant la liste, il partit en courant, le plus vite qu'il put sans demander son reste.

Toute la division comprit en voyant leur lieutenant ainsi qu'il valait mieux rester à bonne distance de leur Taïcho.

Assis à son bureau, Byakuya n'arrivait pas à le croire. C'est l'anniversaire d'Ichigo et personne ne l'avait prévenu, même pas Rukia. Il fulminait tout simplement. Puis d'un seul coup, sa colère s'évanouit et une grande tristesse s'empara de son cœur.

C'est vrai que la dernière fois que sa sœur avait cité le nom du shinigami remplaçant devant lui, il l'avait refroidi pour ainsi dire. Il se souvenait de ces paroles :

« Rukia, ne t'avises plus de cité le nom de ce rioka en ma présence, je te prie. »

Cela avait on ne peut plus claire.

Il avait dit cela, car cela lui brisait le cœur tout simplement. Au plus profond de lui il se sentait comme aspiré par Ichigo. Il se sentait perdu. Il voulait oublier, l'oublier. Mais plus le temps s'écoulait, plus la présence de l'orangé à ces côtés devenait indispensable.

Il voulait tant posséder l'orangé, son corps, son âme, tous chez lui à vrai dire. Tout son être le réclamait chaque jour davantage. Mais comment faire ? Comment faire pour l'amener à lui ? Et que ses sentiments soient partagés.

Byakuya souhaitait être en harmonie avec lui-même et Ichigo.

Cela le rendait fou ! ! !

Même pour sa défunte femme Hisana il n'avait ressenti ce genre de sentiment aussi puissant.

Il poussa un long soupir d'insatisfaction.

« Ichi. » Souffla-t-il.

Il fut tiré de sa dépression par un papillon de l'enfer. Lentement, il l'accueillit au creux de sa main. Très sérieusement, il prit le message. Lorsque le papillon s'en était allé rendre sa réponse, un grand sourire illuminait son visage.

Tout joyeux il rendra chez lui pour se préparer. En chemin il croisa les capitaines de la 8e et 13ème division, qui furent surpris et même un peu inquiets quand ils virent son expression.

Imaginer un Byakuya tout souriant qui dégageait beaucoup de bonheur et avec un sourire démoniaque à l'idée des forfaits qu'il allait commettre en tout impunité.

******

Quant à Ichigo, sur terre il essaya tant bien que mal de se cacher de ces poursuivants. Il avait compris tout de suite que leur objectif était de le capturer de préférence vivant.

Il s'était caché, dans un entrepôt quand il entendit un crie qu'il aurait reconnu entre mille.

« Toujours aussi grand-gueule, teme !! »

Flash-Back

Comme à son habitude Grimmjow était très excité pour cette mission. Il aurait aimé démonter l'orangé, mais Aizen avait mis son veto.

« Bordel ! ! Ou est-il cet enfoiré ! »

Ulquiora indifférent au bleuté examina les lieux.

« Il n'est pas ici. »

Il s'apprêta à partir quand Grimmjow se mit à gueuler.

« Teme ! Montre-toi ! Viens ici et bats-toi ! Tu n'es qu'un lâche ! ! J'ai une revanche à prendre. »

« Grimmjow ! Ce n'est pas de cette manière qu'il se montrera, de plus Aizen le veut vivant et sans une égratignure. »

« Je me demande pourquoi d'ailleurs ! 

« C'est les ordres. »

Après cet aparté, ils retournèrent à leur recherche. Ichigo quant à lui serrait les poings pour se retenir de se montrer. Il n'aimait pas qu'on le traite de lâche.

Fin du Flash Back

Un frisson d'effroi ébranla le jeune homme. Pourquoi lui ? Pourquoi se tordu d'Aïzen le voulait ? Il ne cessa de poser la question. Il décida de se faire aussi discret qu'une petite souris. Pour une fois, avec toute sa concentration, Ichigo réussit à masquer son riatsu qui était très fluctuant. Comme quoi il suffit d'avoir de la volonté. Il était stimulé par la peur de ce que ce fou pourrait lui faire. Il était courageux, téméraire, audacieux, mais pas fou pour se jeter droit dans la gueule du loup.

Eh bien, il sentait que cela allait être le pire anniversaire de sa vie !

Chapitre II

Ces images ne son pas à moi. Mais elle s sont tellement belles !!!!

Couple : Ichigo x Byakuya

Disclaimer : Tous les personnages appartienne à Tide Kudo, mais l'histoire m'appartient !

Genre : romance

Rating : K+

Synopsis : Ichigo est tombé amoureux d'un homme, qui n'est autre Byakuya Kutchiki capitaine de la 6 ème division. Cette amour est-il partager ? Vous allez le découvrir !

*********

C'est ma première fic, j'espère que vous aimerez !

D'après vos commentaires j'aviserai !!!

Bonne lecture!

P.S : SORRY pour les fautes de français !

**********

Ichigo était assis près de la rivière, le front encore plus froncé que d'habitude. Quelque chose le troublait. Non quelqu'un le troublait. Il n'arrivait pas à admettre qu'il était tombé amoureux. En plus, d'un homme ! Il avait reconnu les symptômes. Depuis quelques temps, il n'était pas concentré au combat, ce qui l'inquiétait beaucoup parce qu'il risquait sa vie et celle de ses amis. Cette personne était souvent dans ses pensés, dans ses rêves, ses fantasmes. De plus, en sa présence il avait son rythme cardiaque qui s'accélérait. Ces derniers temps il avait du mal à cacher ses sentiments à tout le monde, même Rukia le regardait soupçonneuse. Sa décision fut prise de révélé ses sentiments à cet homme dont jamais il n’arrivera à la hauteur de par sa noblesse de sang. En plus il avait peur de se faire rejeter comme un malpropre.

« Ouf ! » Souffla l'orangé, fatigué. Il se demanda pourquoi cela lui arrivait, et pourquoi il n'était pas tombé amoureux d'une gentille fille comme Inouïe, cela l'aurait rendu la vie plus facile.

Se relevant lentement, il regarda le coucher de soleil sur la ville, et cela le rendit nostalgique des moments passer avec sa mère. Il se sentait tout ému en repensant à elle. Il était persuadé que sa mère l'aurait soutenue et encouragée. Elle lui manquait terriblement.

Soudain il sentit une présence derrière lui, il sut tout de suite qui s'était, il l'aurait reconnu entre mille, surtout cette odeur de cerisier qui le caractérisait. Ichigo poussa un soupir, il n'était pas encore prêt à l'affronter sans perdre ses moyens.

« Byakuya, qu'est-ce que tu fou ici ? »

« Je suis en mission. »

« A moins que tu as messages pour moi de Ymaji-sama, retourne-s'y à ta mission. » Dit-il d'une voie ou résonnait une certaine colère.

****

Byakuya Kuchiki avait été envoyé en mission par Yamaji dans le monde des humains pour récolter quelques informations sur la forte activité soudaines des menos grandes. Sa division venait de finir et Renji et le reste de ces hommes étaient déjà rentrer. Ils s’étaient attardé pour combattre quelques hollows. Il se sentait fatiguer depuis un certain temps, lui réputer pour son masque de froideur avait du mal à cacher ces émotions, mais seul Rukia , sa sœur l'avait remarquée.

« Nii-sama ? Si quelques chose vous tracasse, parler avec moi, je suis votre sœur Je voie bien que vous allez mal. Est-ce un problème avec le clan ? Nii-sama répondez-moi ! »

Kuchiki-sama l'avait ignoré à ce moment là, car il n'avait pas envie d'en parler, surtout à Rukia. Il savait qu'il l'avait blessé, et se sentait encore plus mal. A ce moment là sachant que personne ne le voyait, il poussa un soupir à s'en fendre l'âme.

Il allait rentrer, lorsqu'il sentit un riatsu bien familier, et il ne pu résister à la tentation d'aller le voir. Son cœur s'était emballé, il sentait poindre une certaine joie de le revoir. Depuis quelques temps déjà qu'il ne l'avait pas vue. Même les piques que lui et l'orangé se lançaient, lui manquèrent terriblement. Lui un noble s'était amouraché d'un adolescent qui ne savait pas se tenir. Mais il ne savait pas de quel manière il avait réussit à lui prendre son cœur, en tout cas il était amoureux d'Ichigo Kurosaki, shinigami remplaçant.

Lorsqu'Ichigo venait à la Soul Society, il rendait visite à Rukia, ainsi qu'a tous ces amis Renji, Ikkaku, Umichika, Tôshiro, Rangiku, etc. Mais apparemment lui, il l'évitait joyeusement, et cela le blessait profondément, car il croyait que le roux ressentait une aversion pour lui. Depuis qu'ils s'étaient battus, il se sentait troublé par lui. Ce n'est que récemment qu'il avait su qu'il était tombé amoureux, et cela grâce Renji.

« Kuchiki Taïcho, comment sait-on lorsqu'on est amoureux ? » Avait-il demandé un matin ou ils entraînaient les hommes de la division.

Byakuya avait été très surpris de la question de son fukutaïcho, et quand il se tourna vers Abaraï-san, il vit qu'il avait une légère rougeur à sa joue. Très sérieusement il lui répondit.

« Lorsqu'on est amoureux on à l'impression que l'on peut tout faire pour cette personne, il occupe tous nos pensés, et l'on est triste voir malheureux quand on ne le voie pas. On ressent un très grand trouble en sa présence. »

C'est en disant ces mots qu'il su.

Maintenant debout à quelques pas de l'orangé, il ne su quoi répondre. Sous cette colère que ressentait le roux, il cru apercevoir une grande tristesse. Il n'aimait pas le voir dans cet état.

Ichigo se résolu à faire face à cet homme aussi calmement que possible, tout en essayant de contrôlé les battements de son cœur qui s'était emballé, et de reprendre une respiration normal. Levant la tête, le regardant droit dans les yeux, il s'avança vers lui près à lui avoué ces sentiments.

« Bya... Byakuya je... »

Il s'interrompit car il sentit le riatsu de Rukia s'approcher d'eux, sans doute pour voir son frère chéri. Il se senti frustré.

« Ichigo ? »

« Non rien, je croie que ta sœur arrive. Désolé, je dois renter, je vous laisse en famille. »

Tout en passant près de lui, il ne pu s'empêcher de lui toucher légèrement les mains, un frisson le parcouru à se contacte, et il sentit le noble se raidir. Le cœur lourd il s'éloigna, en se méprenant de sa réaction.

Quant au noble, il se sentait carrément statufier sur place, n'osant bouger, de peur de se laisser allé à se toucher si léger de la part d'Ichigo. Il avait cru que le roux allait lui dire quelques choses d'important, et il avait arrêté de respirer. Se pourrait-il qu'il se soit trompé et que le roux ait des sentiments pour lui tout compte fait ? Son cœur se mit à se gonfler de joie. Et si ? Non, se ne pouvait être possible ? Il devait en avoir le cœur net, même si pour cela il devait être rejeté. Reprenant ces esprits, il se retourna enfin, mais Ichigo n'était plus là.

Ichigo marcha d'un pas rapide pour rentré chez lui, il fallait qu'il s'éloigne le plus vite possible avant que le capitaine de la sixième division ne découvre ces sentiments envers lui. Sinon il risquait de passer un sale quart d'heure avec Zembonsakura. Virant à droit brusquement, il heurta quelqu'un de plein fouée, et se retrouva les fesses à terre.

Jurant tout bas.

« Putain, n' peu pas faire attention abruti ! » Regarde ou tu vas. Grogna Ichigo.

« C'est plutôt à toi Kurosaki Ichigo de faire attention, ou tu met les pieds » Lâcha une voie dont il aurait reconnu en tous.

« Bya... Byakuya! » Souffla Ichigo. « Mais... »

« Nous n'avions pas terminé notre conversation il me semble. »

« Je n'ai rien à te dire, moi. »

Se relevant prestement et s'époussetant, il lui tourna le dos pour partir, quand il sentit une main le retenir.

« Lâche-moi, putain. »

« Ichigo. »

Surpris par le ton que Byakuya employait, il leva les yeux vers lui. Ce qu'il y lu le pris au trip, et il se sentit perdu.

Leurs regards ne pouvaient se détacher l'un de l'autre. Ichigo se sentit attirer tout contre le noble; Son cœur battait la chamade, sa respiration se fit plus courte. Il se détendit enfin, ses yeux se remplit d'une grande tendresse envers le noble qui le lui rendait bien.

Byakuya se sentit fondre devant un tel regard. Depuis tous se temps l'orangé l'aimait, et il ne l'avait pas remarqué, prenant son éloignement pour du mépris. Tous ces doutes envers Ichigo s'envolèrent, et maintenant ils avaient perdus assez de temps.

Lentement il pris les lèvres du roux avec tendresse et douceur. Le baisser de Byakuya se fit léger et Ichigo lui répondait sans retenu. Le noble cassa le baiser, et leurs regards se rivaient l'un à l'autre pour ne plus se quitté.

« Byakuya, je t'ai... »

Le noble ne laissa pas finir sa phrase qu'il l'embrassa de nouveau, mais cette fois le baiser se fit plus envieux et passionné. Byakuya chercha le passage avec sa langue et Ichigo le lui accorda avec plaisir. Puis le noble cassa enfin le baiser.

« Je t'aime Ichigo. »

« Je t'aime moi aussi Byakuya. »

Tout deux s’enlacèrent tendrement, perdu dans leur propre monde. Ils s'étaient enfin trouvés.

Non loin de là, Rukia Kuchiki avait assistée à la scène tremblante. Elle était inquiète pour Ichigo depuis quelques temps et allait à sa rencontre quand elle avait ressentit l'énergie spirituel de son frère tout près d'ici. Quand elle s'y rendit elle trouva son frère perdu dans ces pensés, il ne l'avait même pas remarqué, ce qui était surprenant. Puis le voyant partir en shyumpô elle le suivi discrètement. Elle se demandait bien qui Nii-sama cherchait. Et elle eu sa réponse en le voyant avec Ichigo. Puis en voyant son frère embrasser Ichigo, elle garda la bouche ouverte pendant un long moment. Revenant de sa surpris, elle comprit tout de suite le comportement étrange de son frère depuis quelques temps. Tout contente, elle partit rejoindre ces amies (Bien sur l'Association de femmes shinigamies !!!) pour leur faire part de sa découverte. Qui aurait cru que ces deux là s'aimaient ?

Cette fiction a été corrigée tant bien que mal par moi même. La dernière fois je n'ai pas eu le temps de me relire. J'ai rajoutée deux images, j'espère qu'elle vous plait !!!

Merci à Jyuune-san pour son encouragement, cela fait plaisir !

CHAPITRE II : Nouvelle vie

Un mois plus tard, Grimmjow avait emménagé définitivement dans la merveilleuse maison que Nnoitra avait louée pour lui. Deux semaines après son arrivée, il s'ennuyait fermement. Il était habitué à toujours être en activité. Une certaine routine commençait à s'installer : footing tous les matins, suivi d'abdos, lever de poids, puis direction au centre de tire pour faire quelques cartons. Une fois chez lui il ne savait plus quoi faire. Décidément, les vacances n'étaient pas faites pour lui. Lorsqu'il ne faisait rien, il ne cessait de penser à Starck, à ces choix. Cela commençait à le ronger tout doucement. Il sentait qu'il n'était pas loin de péter un câble. Puis un matin il reçut une enveloppe venant du Japon : c'était Nnoitra ! Rapidement il s'enferma dans le bureau pour lire la lettre. C'est vrai qu'ils étaient toujours en contact par mail, mais avoir un courrier du Japon lui faisait plaisir ! Une fois ouvert, il prit tout son temps pour lire. 

« Bonjour mon commandant, 

Je tenais à vous informer que Nell, ma femme à accoucher il y a deux jours de cela d'une petite fille. On la nommée Annaky. Je peux vous dire qu'elle a déjà bon caractère sûrement hérité de sa mère ! Nell et moi souhaitons que vous soyez son parrain. Nous serions très heureux que vous acceptiez notre demande.  

Je vous ai envoyé également quelque photo de la petite. 

De plus, je sais d'après vos mails que vous commencez, je dirais à « péter un câble » ! A lors je vous conseil très fortement d'aller faire une petite promenade sur le littoral, direction sud, le paysage est magnifique ! ! Arrêter vous au point de vue dit « Albatros » (Je l'ai inventée, ce nom !). 

Je suis sûr que vous allez adorer !  

Mon commandant je vous passe le bonjour du Général qui je site « J'espère qu'il s'amuse bien, sinon je viendrai lui botter les fesses s'il ose se re-pointer devant moi avec cette mine de déterrer qu'il avait avant ! ». Et je crois qu'il n'avait pas l'air de plaisanter ! Tu sais comment il est. 

Nell et moi espérons seulement que vous trouverez la paix quelque soit vos choix de vie. N'oubliez, que nous sommes vos amis inconditionnels. 

Nous vous souhaitons encore une fois de passer de bonne vacance ! 

P.S : N'oubliez pas votre promenade ! 

Nnoitra et Nell » 

Grimmjow fut très ému par cette lettre. C'était très rare que Nnoitra soit aussi dans le sentimentalisme. Apparemment être père l'avait attendrie ! Cela amena un sourire au bleuté. Il fouilla dans l'enveloppe et trouva trois photos de la petite. Sur la première un Nell vraiment rayonnant la tenait, sur la deuxième un Nnoitra un peu ma à l'aise, mais souriant la tenais et enfin sur la troisième elle était endormie dans son berceau. Elle est magnifique ! Son lieutenant avait véritable de la chance. Il était heureux pour lui.  

Toutes ces bonnes nouvelles lui avaient mis du baume au cœur et remontez le moral. Mais il était quelque peu intrigué par ce que Nnoitra lui avait suggéré. Cela avait piqué sa curiosité ! 

Il enfila sa veste et prit ces clés de voiture et partit satisfaire sa curiosité.

****

Il était parvenu au point de vue après avoir parcouru environ six kilomètres, il se gara et sortit du véhicule. Il était scotché devant la vue, devant ces yeux un magnifique coucher de soleil et c'est ce moment qu'il l'avait vu, en contre bas sur la gauche, cette petite maison faite de bois. Elle était cachée par les arbres alentour. Sa curiosité piquée à vif, il s'approcha, Il y avait un chemin pour y accédé, mais il était jonché de ronce et d'arbre en tout genre. Enfin après quelques petits détours il put y pénétrer. De l'extérieur elle avait l'air petit, mais à l'intérieur il fut surpris par un espace assez conséquent qui semblait être un salon. Deux heures plus tard, il avait fait le tour de cette demeure. Pour conclure, il avait été séduit par cet endroit ou régnait une atmosphère très chaleureuse malgré la poussière. Il avait même découvert un vaste balcon qui donnait sur l'océan.

Sa décision fut prise rapidement, et cela, sans hésitation.

C'est ainsi que quatre mois après cette découverte merveilleuse, il le transforma en restaurant le « Code Rouge ».

Grimmjow s'y connaissait en restaurant, car avant la mort de ces parents, son père l'avait formé pour reprendre sa succession. Mais le destin en avait décidé autrement.

Depuis le jour où il acquerra ce bijou, il s'était enfin trouvé.

Nnoitra et Aïzen en furent heureux et promis de le rendre visite prochainement.

*****

Ce faisait maintenant huit mois qu'il était à Los Angeles, dont trois à diriger le Code Rouge d'une main de maître. Il avait quitté l'armée sans aucun regret. Il avait gardé des contactes du Japon, dont ses amis à qui il était allé rendre visité exceptionnellement pour le baptême de sa filleule Annaky. Et avait profité de ce séjour pour régler quelques papiers administratifs, vendre son appartement et débarrasser complètement son bureau professionnel. Il avait expédié le tout à sa nouvelle adresse.

Il apprit également que Nnoitra avait eu une promotion et était monté au grade de colonel. Il fut très heureux pour son ami. C'est donc le cœur léger qu'il rentra aux États-Unis

Il lui avait fallu environ trois mois pour retaper complètement la maison et un autre mois pour faire les aménagements nécessaires. Durant les travaux il avait trouvé par hasard, un chemin menant à la plage, chemin qu'il avait aménagé lui même pour son plus grand plaisir.

Un matin où il se rendit sur son petit chantier, il entendit des petits reniflements et des plaintes. Il s'approcha du buisson d'où venaient les bruits. Il vit une petite boule de poil tout noir, recroquevillé sur lui même. C'était un tout jeune chiot. Délicatement il le prit dans ses mains. Il chercha aux alentours si la mère était dans le parage. Effectivement, il le trouva mort à dix pas plus loin. Il avait encore un autre chiot près d'elle, il était encore vivant. Celui là était couleur caramel. Il les prit et l'emmena chez lui, les installa, puis il redescendit avec une pelle pour enterrer la chienne. Le coeur lourd il décida qu'il finirait les travaux demain.

Après quelques jours, il se rendit compte qu'il adorait ces chiens et il décida de les garder. Il appela le brun Mike et le noir Miko.

Pour le restaurant il engagea une dizaine d'employés et lui même donnait un coup de main en salle si nécessaire. Le Code Rouge avait eu un très bon succès et sa réputation c'était fait par le bouche à oreille, donc il pas eu besoin d'engager des frais dans une publicité qui ne s'avérait pas utile.

Un soir en fermant le restaurant, il se dit qu'il était content de la tournure qu'avait prise sa vie. A ce jour il se demandait encore comment Nnoitra et Nell avaient suent ? Lors de sa visite il avait posé la question à Nell qui avait juste répondu :

« Nous sommes tes anges gardiens tout simplement !! Ne te pose pas trop de question Grimm, sinon tu auras une migraine pas possible ! Contente-toi d'apprécier les choses à sa juste valeur ! »

Elle l'avait embrassé sur la joue et était partie rejoindre son mari.

Il fallait qu'il réfléchisse à un moyen de les remercier. Sa décision prise, il rentra chez lui, mais ce qu'il trouva c'était une maison vide avec seulement deux molosses pour l'accueillir. Il se sentit bien seul dans ces moments là. C'est donc seul qu'il s'endormît dans le canapé.

******

Yuzu et Karin déposèrent religieusement un bouquet de roses blanches sur la tombe de leur mère; Halalibel Kurosaki. Silencieusement, elle récitait une prière pour elle. Cela faisait maintenant deux ans qu'elle était morte brutalement.

« Maman, aujourd'hui Karin et moi sommes en vacance chez grand père Isshin. »

« Maman, Yuzu et moi avons fêté nos six ans la semaine dernière. Papa nous a offert à chacune un album photo de toi avec nous lorsque nous étions encore bébé. »

« Papa nous a dit que c'était toit, qui l'avait fait spécialement pour nous. » Ajouta Yuzu.

« Nous avons demandé à grand père Isshin de nous emmenées de voir pour de remercier. » Répliqua Karin.

« Merci maman pour ce merveilleux cadeau. » Dirent-elles en cœur.

Ishin c'était un peu mis à l'écart de ses petites filles pour qu'elles soient un peu d'intimités. Elles étaient adorables ainsi. Lorsqu'elles lui avaient demandé cette requête, il n'avait pas pu refuser. En elles, lui avait fait jurer de ne rien dire à leur père. Discrètement, il écouta leur monologue.

« Maman cela fait maintenant longtemps que tu n'es plus là. Karin et moi souhaitons que papa soit de nouveau heureux avec quelqu'un. Nous savons qu'il fait des efforts pour cacher sa solitude quand nous sommes présents. »

« Bientôt, Yuzu et moi allons partir en pensionna, et il va se sentir bien seul ! »

Ishin était estomaqué par ce qu'il entendait. Si son fils savait, il en aurait fait une syncope.

« Nous souhaitons Yuzu et moi que tu lui envoies quelqu'un de bien pour lui tenir compagnie et que cette personne nous aime également. »

« En plus, nous voulons que cette personne ait deux chiens, si c'n’est pas trop demandé. » Ajouta Yuzu.

Après quelques minutes, les deux petites se regardèrent et hochèrent la tête pour confirmer ce qu'elles avaient dit à l'instant.

En cœur elles dirent « merci ».

Isshin avait comme l'impression qu'elle s'adressait réellement à leur mère et cela lui fit dresser les cheveux sur la tête. Mais cela le réconfortait quand même en pensant que quelqu'un de bien veillait sur son fils et ses petites filles.

Tous les trois après une dernière prière s'en allèrent.

« Merci grand-père de nous avoir amenés voir maman. » Dis Karin.

Yuzu se contenta de hocher la tête.

*****

Halalibel regarda partir ses enfants et son beau père avec le sourire aux lèvres. Ses filles aimaient tellement leur père. Elle espérait ne pas les décevoir. Car elle ne les avait pas attendus pour mettre en marche certains événements. Elle était tout excitée à cette idée. Elle sentait qu'elle allait bien rigoler, elle connaissait si bien son marie !

Puis après un souffle de vent, la silhouette disparut dans un éclair aveuglant. Le pauvre jardinier qui avait assisté à la scène haussa simplement les épaules et continua son travail tout simplement.

*******

Pendant ce temps, Ichigo venait de finir sa journée et il avait hâte de rentrer chez lui. Il était épuisé, son agenda avait été plus que surchargé cette semaine du fait que c'était l'été. Il avait à peine vu ses filles qui étaient en vacance chez leurs grands-pères Isshin et Ryukuen pour cette semaine. Il espérait qu'ils ont été sages sur avec les filles.

Il était en train de ranger son matériel de plonger dans l'arrière-boutique quand il entendit la clochette de l'entrée sonner. Terminant rapidement son travail, il se hâta vers le comptoir.

« Bonsoir ! »

Ichigo fut stupéfait de découvrir un homme fort séduisant, même voir très beau qui lui faisait face. L'orangé se surprit à le détailler des pieds à la tête, pour en conclure que cet homme était très attirant et qu'il devait faire tourné des têtes sur son passage, car il se dégageait de lui un certain magnétisme, non négligeable.

Magnétisme qu'il subissait de plein fouet lorsqu'il croisa ce regard bleu qui le scrutait comme lui venait de le faire quelques minutes plus tôt. Ichigo se sentit rougir de cette inspection qu'il savait minutieuse.

L'orangé pu voir un sourire appréciateur sur le visage de cet homme. Il pensa sur le coup qu'il était heureux de plaire encore. Puis il se gifla intérieurement d'avoir eu ce genre de pensée déplacer. Il se reprit rapidement.

« Monsieur; en quoi puis-je vous aider ? »

******

Nnoitra : Eiram-sama je suis fier de toi ! Tu as parfaitement suivi mes directives !!

Eiram-sama : Quoi ? Quelles directives ? Je n'ai fait que suivre mon instinct, rien de plus !!!

Fièrement je levait la tête de mon bureau vers eux

Nell : Arrête chérie c'est moi qui lui aie tout soufflée ! Ne prend pas la gloire des autres !!! Ajouta -t-elle.

Scandalisée j'abats mon point sur le meuble.

Eiram-sama : Personne ne ma rien soufflé d'accord !! Bouclé là !!

Grim : Pas la peine de t'énerver !! N'écoute pas ces amateurs !! Ils ne sont là qu'en décoration. KYAKYAK !!!

Les deux protagonistes le regardèrent avec un regard polaire. Lentement ils s'avancèrent vers lui jusqu'à l'acculer au mur.

Eiram-sama : Aller vous chamailler ailleurs, moi j'ai une fic à terminée !!

Courageusement je les mirent dehors à coup de pied au fesse. Et je leur crie :

• Eiram-sama : N'oublier pas que je l'auteur, alors ne me poussé pas about !!!!!!

  CHAPITRE SUIVANT

Code rouge

Grimmjow x Ichigo

CHAPITRE I

DECISIONS

Grimmjaw Jaggerjack était assis à son bureau, comme à son habitude, le nez plongé dans des rapports de mission. Trois heures plus tôt, il s'était mis à l'aise en dégrafant quelques boutons de sa chemise et en remontant ces manches. Ces cheveux bleus était en bataille ce qui montrait qu'il était y passait souvent ses mains, signe qu'il était fatigué, mais cela s'ajoutait à son charme et lui donnait un côté rebelle. Le visage concentré avec un léger froncement de sourcil était fin et régulier. Ces yeux aussi bleus que ces cheveux étaient fatigués à force de lire tous ces documents. C'était un homme très séduisant et très beau avec un physique avantageux. Sa concentration dans son travail était tel qu'il n'avait pas entendu son assistant pénétrer doucement dans son bureau avec une tasse de café fumant qu'il déposa sur le rebord du bureau. Celui-ci attendit silencieusement que son chef eu finit pour parler, respectant son travail.

C'est seulement au bout de quelques minutes que Grimmjow en refermant le dernier rapport de mission classée « secret défense », remarqua enfin son lieutenant. Levant un regard étonner vers lui.

« Nnoitra ? ! »

« Mon commandant. »

« Lieutenant, que faites-vous encore ici ? » Regardant sa montre. « N'étiez-vous pas sensé être en permission depuis quatre heures maintenant ? »

Grimmjow était surpris que son lieutenant se trouve encore dans les locaux administratifs de l'armée. Sachant il était pressé d'être en permission.

Se redressant sur son siège il attendit.

« Oui. » Répondit Nnoitra simplement. Il n'avait jamais était un grand bavard.

« ....? »

« Je souhaitais m'entretenir avec vous avant de partir, mon commandant. »

Très attentif à son subordonné tout à coup, il croisa les mains sur son bureau en y déposant son menton, la tête légèrement penchée sur le côté. Le connaissant il l'interrogea.

« De quoi vouliez-vous m'entretenir lieutenant ? »

Nnoitra hésita quelques secondes et cela fit naître une inquiétude en Grimmjow, car en voyant ce grand gaillard qui le dépassait physiquement en taille et en force dans cet état, et qui allait, toujours droit au but dans tous les domaines possibles, le surpris.

L'incitant calmement il dit :

« Je vous écoute Jigura. »

Après un silence, le lieutenant se lança.

« Mon commandant, comme vous le savez j'ai eu une permission de trois semaines pour la naissance prochaine de mon enfant »

« Oui, je le sais. C'est moi qui te l'ai accordé. »

« Mmh. ...Mon commandant, je suis sous votre ordre depuis six ans maintenant. Depuis tout ce temps, je ne vous ai jamais vue prendre un seul jour de congé, cela sans compter le fait que vous avez été hospitalisé deux fois pour blessure grave. »

Nnoitra fit une pose pour bien appuyer sur ce fait, puis en se raclant la gorge reprit.

« Moi, et le Générale voyons bien que depuis quelque temps vous semblez différent, voire... triste... et... abattu. Nous savons que votre séparation avec Starck n'a pas été facile. On comprend que vous avez eu du mal à vous en remettre. Six mois ont passé depuis, je peux voir que le commandant que je connais n'est plus. Alors, le Général vous a accordé sous ma demande un congé sans solde, qui fut accepté avec joie. Je le cite : « Il était tant qu'il prenne se congé. Ces hommes n'en pouvaient plus, bientôt j'aurai été obligé de le virer !». Donc pour conclure, vous êtes définitivement vous aussi en congé à partir de maintenant. » Regardant sa montre il précisa : « c'est-à-dire à minuit zéro une pour être exacte. »

Grimmjow n'en revenait pas, il était totalement abasourdi. D'un son lieutenant avait aligné plus d'une dizaine mots, de deux que ces deux amis aient pu comploter derrière son dos sans qu'il le sache et de trois que ses hommes en avaient assez de lui. Il n'arrivait tout simplement pas digérer tout cela.

« Quoi ! ? » Fut la seule chose qu'il put dire.

« Vous avez très bien entendu mon commandant. » Dit-il pour confirmer ces dires.

Nnoitra contourna le bureau et s'approcha de lui et déposa une enveloppe dans sa main. Amicalement, lui tapota légèrement l'épaule.

« Vous les avez bien mérités ces vacances. » Sans rien ajouter de plus il sortit rapidement du bureau avant que son chef et ami ne sorte de sa stupéfaction et ne réagisse comme il le savait, assez violemment. Discrètement, il sourit à son initiative, se félicitant de son idée. Le coeur léger il se rendit chez lui là où l'attendait sa femme Nell.

****

Il lui avait fallu un moment avant qu'il ne reprenne ces esprits. Lui, prendre des vacances ? Pourquoi ? Ces dernières vacances remontaient à quand ? Il ne s'en souvenait même pas. Depuis qu'il était dans le corps militaire, il avait pris un congé seulement deux fois quand il y fut obligé du fait de son hospitalisation et ensuite de sa convalescence pour blessure au combat. Et ces fois-là, il avait râlé. L'armée était toute sa vie, c'est pour cela que Starck, celui avec qui il vivait depuis trois ans l'avait quitté ne supportant pas de passé au second plan. Il s’était rencontré au bal des officiers et s'était tout de suite plu. Ils n'avaient pas tardé à vivre ensemble. Un an après Starck avait quitté l'armée pour se reconvertir en tant qu'avocat dans le civil. Il gagnait bien sa vie. Puis peu à peu, son impératif militaire l'avait accaparé, le faisant s'éloigner de Starck.

Il y a deux mois, ils eurent une violente dispute ou Starck lui lança un ultimatum, lui ou sa carrière. Alors, il avait préféré quitter le domicile le soir même. Son orgueil et sa fierté avaient pris le dessus. Depuis ils ne s'étaient ni vu, ni parlé, vivant chacun de son côté. Bien sûr, dans un premier temps il fut abattu et triste et cela s'était ressenti sur son travail. Mais aujourd'hui il pensait qu'il avait tourné la page et qu'il avait repris sa vie en main.

Apparemment non ! Son lieutenant et son Général lui avaient bien fait comprendre que non en le mettant carrément à la porte de l'armée. En plus avec satisfaction.

Il n'en revenait toujours pas !

Grimmjow se leva de son bureau et se tourna vers sa baie vitrée où il pouvait voir la ville de Tokyo en effervescence. Puis lentement, il ouvrit l'enveloppe que lui avait remise Nnoitra. À l'intérieur se trouvait un billet d'avion pour un séjour d'un mois à Los Angeles et des papiers concernant la location d'une villa près de la plage à Venis Beach.

Nnoitra avait laissé un mot :

« Mon commandant, je vous souhaite de bonnes vacances, mais surtout de suivre ce que votre cœur vous dicte, même si pour cela vous devez laisser la vie militaire. Peut-être que vous trouverez le véritable amour avec un grand A ».

« P.S : Contacter moi en cas de problème et départ illico ! »

Grimmjow eu un véritable fou rire à ces mots qui ne ressemblait guerre de Nnoitra. Il avait deviné qu'il avait la patte de Nell dans ces mots. Il se reprit. Il posa son front contre la vitre.

« Mais bon sang, qu'est-ce que dois-je faire ? » Souffla t-il.

Devait-il prendre cet avion ou pas ?

Deux heures plus tard, Grimmjow Jaggerjack avait pris la décision de changer sa vie avec l'opportunité que lui laissaient ses amis Nnoitra et Aizen. Prenant toutes ces dispositions, il embarqua cinq heures plus tard vers une destination qui allait, il l'espérait changer sa vie.

*****

P.S : J'espère que ce premier chapitre vous plaît.

*****

Grim : Eiram-san ! tu pouvais pas faire mieux ! Hein ! Je ressemble à quoi là ?

Eiram-sama : Je fais ce que je veux, c'est moi l'auteur.

Grim : Ta intérêt ! Sinon.

Nnoitra : Sinon rien du tout, menaça mon fidèle gardien.

Grim : Toi dégage, on ta pas sonné, OK ! En PLUS ton perso il n'est pas mieux ! Toi qui deviens tout mieilleux !! Kyakya !!!!

Nnoitra sorti sa lame pour corrigé cette impertinent, et se mis à le poursuivre avec un rire cruel.

Eiram-sama : Et ne vous battez pas !!! Vous êtes sensé  êtres pote, je vous le rappel !!!!

Désespéré, je retourne à ma plume. Puis un sourire démoniaque s'afficha sur son visage d'ange.

Eiram-sama : Ils vont ce qu'il vont voir. C'est moi qui commande !! Haaahaa !!!

  Chapitre suivant