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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 06:18

 

CHAPITRE III

Une deuxième fois et pour toujours

 

 

Ce soir la lune était à son zénith. Le ciel était dégagé, malgré le fait qu’il avait plut plus tôt. L’air était frais et doux, l’odeur de la terre mouillé et des plantes étaient agréable. Le roux aimait ces moments, juste après la pluie. Tout semblait « neuf », propre de passage humain. L’eau nettoyait tout sur son passage, même les sentiment les plus sombres. C’est ce qu'il aimait à croire. La pluie avait un effet apaisant sur lui depuis qu’il avait vaincue Grand Fisher. C’est tranquillement qu’il avançait vers le lieu où il lui avait donné rendez-vous. Ces jambes frôlaient les herbes hautes encore humide., cela le fit frissonner. Il était impatient de voir Mayuri et surtout de savoir ce qu’il avait préparer comme surprise. Arrivé sur place, il regarda et scanna les alentours, mais il n’y avait personne dans la clairière. Patient, il se réfugia sous un gros chêne un peu plus loin. Quelques minutes plus tard, il sentit une main se poser sur son épaule et il se retourna en grognant.

 

« Tu en as prix du temps ! »

 

« Puis-je savoir qui est la personne que vous attendez Kurosaki »

 

Ichigo ne s’attendait pas trouver le noble en face de lui, il fut surpris quelques seconde, assez pour que le noble comprenne que ce n’était pas lui qu'il attendait, c’est sûr. Il se reprit rapidement.

 

« Que faite-vous ici ? »

 

« C'est plutôt à moi de vous poser cette question, n'est-ce pas ? »

 

« Je me promenait tout simplement, j'aime ce temps, il très agréable. »

 

Le noble était plus que sceptique à cette réponse. Il lui semblait plus quévident que le jeune homme attendait quelqu'un. Le voyant partir dans cette direction, il n'avait pu s'empêcher de le suivre. Sa curiosité fut la plus forte. Il voulait savoir ce que cachait l'attitude du roux. Depuis ces moments passé à la douzième division, le roux était différent. Cela était assez subtil, mais la différence était bien là.

 

Le noble le regarda fixement, mais ne pu décelé que de l'agacement du à sa présence.

 

« J'ai appris par le capitaine Hitsugaya que vous aviez fini votre mission, donc je suppose que vous allez retourner à Karakura bientôt. »

 

« Effectivement, vous supposer bien. »

 

Ichigo trouvait que le noble était un peu trop proche de lui. Il se dit alors que Mayuri n'allait pas se montrer dans ce cas présent Sinon il risque d'être découvert. Si le scientifique lui faisait un signe, il pourrait fausser compagnie à Byakuya. Et au même moment, l'objet de son attention fut plus rapide que lui en apparaissant rapidement derrière le brun et lui souffla une poudre soporifique au visage. Celui-ci ne fit pas deux et sombra dans le sommeil.

« Tu en as mis du temps à intervenir! »

 

« Ah, ces jeunes ! Aucun signe de reconnaissance envers leurs ainés! »

 

Ichigo sourit à sa remarque. C'était très rare qu'il faisait de l'humour.

 

« Qu'est-ce qu'on fait de lui ? »

 

Le scientifique eu un sourire terrifiant. Et Ichigo se dit qu'il ne valait mieux ne pas savoir pour sa conscience morale. Alors il se baissa et souleva le noble.

 

« Je reviens rapidement. » Dit seulement le roux avant de disparaître en shyumpo.

 

Mauyri serra les poings « Ce foutu noble, toujours là où il ne le fallait pas ! » Le roux était trop gentille. A sa place, il l'aurait laisser dans la nature à la merci d'un hollow pour lui apprendre à rester en dehors de ce qui ne le regardait pas. Cela avait mis son humeur un peu en branle. Il se reprit rapidement. C'était leur denier soirée ensemble avant un bout de temps. Il voulait que cela soit mémorable. Il avait tout prévue de A à Z. D'ailleurs, il ne c'était pas encore changer, donc il laissa filtrer ses liens spirituelle pour que le roux le retrouve à l'endroit du rendez-vous. Il fila donc tranquillement se préparer.

 

Quand à Ichigo il n'avait mit que quelque minutes pour faire l'aller retour. Il avait déposer le noble dans son jardin sous un cerisier, puis il était revenu sous le chêne. Il avait craint un moment que leur soiré tombe à l'eau. Heureusement, il était encore tôt. Ichigo retrouva Mayuri grâce à ces liens spirituelles. Il arriva en shyumpo devant à ce qui semblait être une simple cabane dans une forêt, tout près d'une rivière. Il avança tout doucement, puis franchit la porte qui d'ailleurs était ouverte. A l'intérieur, tout était spacieux et fait que de bois. Les couleurs dominant était le rouge et le bleu. Il visita rapidement les lieux. Bien qu'à l'extérieur, le chalet semblait petit, à l'intérieur tout n'était qu'espace. Au bout d'un moment, il trouva une chambre, sur le lit se trouvait un mot de Mayuri.

 

« Ichigo fait comme chez toi et n'hésite pas à prendre un bain, dans l'armoire tu trouveras tout ce qui te plaît. Je t'attends sur la terrasse dans une heure. »

 

Court et concis, il n'en attendait pas moins de lui. Tout en riant il se dirigea vers la salle de bain. Le roux se fit plaisir, il se fit couler un bain moussant, se détendit dedans un petit moment. Sa journée avait été long. Surtout que c'était la première fois qu'il pouvait se détendre ainsi. Chez son père c'était toujours la guerre avec qui aura la salle de bain en premier et chez le noble, il avait la net impression d'être sous surveillance. Donc la détente, il ne savait pas ce que c'était. Mayuri lui offrait quelque chose qu'il souhaitait véritablement, la paix, le calme, un lieu serein aussi bien pour le physique que pour le morale. Il poussa donc un soupir de bien être. Une demi heure plus tard, il sorti de la salle de bain et se dirigea vers l'armoire. Il l'ouvrit et en resta bouche bée. Il avait plus que le choix. Il se décida pour un kimono bleu avec des bambous orange imprimé dans le dos. Il trouva également des guettas. Ainsi vêtu, il se rendit sur la terrasse.

 

Mayuri scrutait le lac juste en face du chalet, la lune s'y reflétait. Il trouvait cela fascinant et magnifique. Tout le monde croyait que dans chaque chose il voyait une expérience et pas d'âme. Tous le croyait sadique, cruel et sans âme. En quelque sorte c'est vrai. Son masque lui colle tellement bien à la peau, qu'aujourd'hui il s'y est habitué. Ce que les autres pensent, il s’enfichait totalement. Sauf pour Ichigo. Ce que le roux pensait ou ressentait lui importe énormément. Ce jeune homme l'a conquis totalement.

 

« Tu m'as l'air bien pensif. Je suis sûr que tu penses à moi. »

 

« Tu es bien prétentieux pour penser cela. »

 

« C'est que je commence à bien te connaître. »

 

Ichiho s'approcha de Mayuri et le pris dans ses bras. Le scientifique se rendit compte que le roux le dépassait de quelques centimètres. Il avait grandit depuis la première fois qu'il l'avait rencontrer.

 

« Ichigo tu es magnifique. »

 

« Merci je te retourne le compliment. De plus, je suis ravi de porter ses vêtements, je n'en avais jamais porter d'aussi beau. »

 

Mayury caressa légèrement sa nuque et lui murmura à l'oreille : « Ces vêtements son spécialement pour toi afin que je prenne plaisir à te déshabiller plus tard. »

Les joues d'Ichi se colorèrent légèrement à ces mots plein de promesse. Pour reprendre contenance il se gratta la gorge essaya de changer de sujet.

 

« A part cela qu'as tu prévue pour nous en cette belle soirée de pleine lune ? »

 

Mayury ne pu s'empêcher de rire, mais ne s'en formalisa pas, après tout ils avaient toute un nuit pour eux.

 

« Je te propose de dîner d'abord , j'ai déjà tout préparer, il n'y plus qu'à passer à table. »

 

« Tu sais je suis toujours d’accord pour un bon dîner ! »

 

« Tant mieux, alors installe toi je reviens. »

 

Il se dirigea vers la table que lui avait désigné Mayuri et s'y installa. La décoration de la table était sobre, sans tape à l’œil. Une nappe blanche, des couverts en argent et des des serviettes bleu nuit, tout cela rehausser par un simple rose rouge dans un vase et quelque bougie parsemé ici et là. Ichigo se sentait bien dans cet atmosphère. En ce lieu, il oubliait tout ce qui pouvait le faire souffrir, être avec cet homme lui donnait l'impression d'être quelqu’un. Pas seulement le héros de la Soul Society, le shinigami remplaçant, le vizard. Avec lui il devenait un homme, cela le rendait heureux. Si quelqu’un avait su il l'aurait pris pour un fou. Il ne connaissait rien de cet homme si on mettait de côté sa réputation de capitaine de la douzième division. Ichigo revînt à la réalité en sentant sa main se poser sur sa nuque.

 

« A quoi pouvais-tu bien penser pour être aussi magnifique ? »

 

Ichigo piqua un far à ces paroles.

 

« Mais à rien du tout ! »

 

« Menteur! »

 

Ichigo se gratta l'arrête du nez tout gêner.

 

« En fait je pensais à toi et à comment je me sentait bien en ta compagnie. »

 

Mayuri pensait à l'instant qu'heureusement le roux ne pouvait le voir car il était derrière lui. Car les paroles qu'il prononça le fit rougir comme un adolescent. Il avait l'impression que son cœur explosait en milliers d'étoiles tellement cela le rendait heureux. Il essaya de se reprendre rapidement, pour cela il tira le petit chariot prêt de la table pour y servir à dîner. Quant à Ichigo il se sentait un peu mal à l'aise car il n'avait pas eu de réponse.

 

« Cela sens délicieusement bon ! »

 

« Ichigo. »

 

Le roux leva son nez de son assiette et fixa Mauyri.

 

« Oui. »

 

« Tu es le seule et tu seras l'unique personne avec qui je me sens aussi bien. »

 

Ichigo était tout chambouler à ses paroles, mais garda un air tout serein. Pour tout réponse, il le sourie simplement.

 

Cela leurs suffisaient amplement.

 

Le dîner se déroula parfaitement. Ichigo se montra un peu volubile et Mauyri l'écouta avec plaisir.

 

Pendant ce temps à Karakura, tous les amis d'Ichigo s'étaient réuni au magasin d'Uahara. Ils avaient hâte de revoir le roux, d’après la rumeur le roux avait fait d'énorme progrès. Tout le monde émettait plusieurs hypothèses sur la soudaine capacité du roux pour le kido, surtout Uahara Kisuke. La rumeur comme quoi le capitaine de la douzième division avait fait des expériences sur le roux l'inquiétait énormément. Yoruishi l'avait rasuré sur ce sujet mais il était inquiet quand même. Il avait toujours sue qu'Ichigo avait de grande capacité. Jusqu'à présent personne n'avait sue le mettre en valeur, même pas lui. De plus il sentait que Yoruichi-chan ne lui disait pas tout. Il était certain qu'elle avait découvert quelque chose d'important, mais pour une raison qu'il ignorait elle ne voulait rien lui dire. Il se consolait en se disant qu'à un moment ou un autre lorsqu'elle sera saoul, elle cracherai le morceau. La dite personne en question s'amusait bien se soir, mais elle se rendait compte qu'elle était dans le collimateur du blond au bob. Qu'est-ce qu'elle regrettait d'être passé par cette rue ce soir là. Elle n'aurait jamais dû savoir pour ces deux là. D'ailleurs elle était encore estomaqué. A cette pensée, elle pâlit un peu. Chad qui se trouvait assis prêt d'elle le remarqua.

 

« Yoruichi-san tout va bien ? »

 

« Oui ne t’inquiète pas, c'est que j'ai pensé à un mauvais souvenir. »

 

« Ne vous inquiété pas pour Ichigo. »

 

Yoruichi surprise recracha son saké.

 

« Qui te dit que je m’inquiète pour ce gamin irresponsable ! »

 

« Vous n'êtes pas la seul rassurez-vous, moi je lui fais confiance, Ichi à toujours suivit son cœur. C'est comme cela qu'il grandit. »

 

Yoruichi sut lire entre les lignes.

 

« Toi, comment tu l'as su ? »

 

« Votre curiosité est sans fin Yoruichi-san. »

 

« Crois-moi, celle-là je ne voulait pas le savoir! »

 

« Alors n'en parler pas, faites comme-si vous ne saviez rien, c'est simple. »

 

« Qu'est-ce que tu dois oublier Yo-rui-chi-chan ? » Susurra Uahara dans son oreille.

 

« D'après Chado-san je dois oublier ton idiotie! »

 

« Quoi, mais... »

 

« Pas de mais ! Ne parlons plus de sujet qui fâche, trin qu’on plutôt! »

 

« Mais moi j'ai rien dit! »

 

Yoruichi l'ignora et retourna faire la fête avec tout le monde, elle avait le cœur plus léger. Le moment venu elle sera là si le roux avait besoin de lui. Elle est son amie après tout.

 

En regardant Chado, Kisuke se dit à lui même que cela ne valait pas la peine de questionner car il était pire qu'une carpe. Dépité, il poussa un soupir.

 

Quittons ces joyeux lurons et revenons non loin du sereitei. Ichigo et Mayuri se promenait prêt du lac. Pour leur dernier soir ensemble, Mayuri voulait marqué l’événement. Tout les deux savaient qu'ils n'allaient pas se revoir avant longtemps, surtout s'ils ne voulaient pas se faire remarquer. Il ne fallait qu'il change leur habitude. D'ailleurs, il repensa à un événement qu'il avait oublié jusqu'à maintenant. Il fallait qu'il en parle à Mayuri.

 

« Ichigo, tu me semble bien pensif. »

 

« Je viens de me rappeler de quelque chose dont je devais t'en parler. »

 

« De quoi s'agit-il ? »

 

« La dernière fois ou on est allé au bain public, lorsqu'on c'est quitté, on était pas seule dans les environs. »

 

« Quoi ? »

 

Mayuri s'arrêta de marché à cette annonce.

 

« Qui ? »

 

« Yoruichi-san. »

 

« Pourquoi tu n'as rien dit à ce moment là ? »

 

Ichigo sentait qu'il était plus agacer qu'en colère.

 

« Ne t'en fais pas, elle ne dira rien, elle c'est gardé les secrets, c'est même sa spécialité. » Dit-il en souriant.

 

« Oui bien sur. »

 

Le scientifique n'ajouta rien d'autre de peur de casser un peu l'ambiance de la soirée. Mais il était un peu inquiet car cette intrigante pouvait à tout moment retourné cette information à son avantage. Il irra discuter avec à elle à l’occasion. Mais pour l'instant il avait autre chose en tête.

 

Ichigo qui regardait le ciel se refléter sur l'eau sentit tout à coup son corps basculer en arrière.

 

« Mais... »

 

En une fraction de seconde ils se retrouvèrent dans la chambre. Ichigo se laissa tomber mollement sur le lit.

 

« Prévient moi lorsque tu vas faire se genre de chose. »

 

« J'ai décrété que la promenade était fini et que c'était l'heure du désert. »

 

Ichigo se redressa un peu agacer.

 

« Mayuri je sais que notre relation est récente, mais je voudrais que tu ne décides pas seul. »

 

Mayuri s'avança lentement vers lui l'air menaçant.

 

« Kurosaki tu chipotes pour des détails maintenant, je te savais fonceur, tu me déçois. »

 

Ichigo fit la moue.

 

« Tu sais très bien de quoi je parle. »

 

Ichigo s'assit en tailleur et le regarda droit dans les yeux.

 

« Mayuri pour notre avenir et si tu le souhaite réellement qu'il y en ai un, il faut que l'on se parle. Cela nous évitera des désagréments a tout les deux. »

 

« Je suis tout à fait d'accord avec toi. »

 

« C'est vrai ? »

 

« C'est pour cela que je t'avoue tout de suite que là maintenant j'ai envie que tu me prennes. »

 

« Quoi ?! »

 

Ichigo était si confus qu'il en perdit le fils de ses pensées. Il ne savait plus où il en était. Il n'était pas sûr d'avoir bien entendu. Perdu dans ses pensées, le roux se ne rendit pas compte que Mayuri s'était rapprocher et s'était même assis tout prêt de lui. Il resta à le fixer en attendant la réponse, voir la réaction du roux. Ichigo réalisa enfin la porter des paroles de Mayuri.

 

« Es-tu sûr de toi ? Je veux dire... que, tu sais Mayuri, il n'y pas d'urgence. »

 

« Ichigo. »

 

Il lui encadra le visage de ses mains afin d'accentuer ses paroles.

 

« Tu sais Ichigo, on ne se reverra pas avant trois mois, et on aura pas l'occasion que l'on a se soir. Et je veux scellé notre union comme il se doit. »

 

« Mayuri, tu parle comme si c'était notre nuit de noce et que l'on c'était marié! »

 

« C'est parce que pour moi, c'est comme si c'était le cas. »

 

Le roux fut bouleverser par les paroles de Mayuri. Cet homme chamboulait tous ses principes, ses croyances, tous se à quoi il croyait être. Il le chamboulait. A cet instant il n'avait qu'un désir lui faire l'amour. Tendrement, il l'embrassa, il le bascula sous lui sur le lit. Mayuri commençait à perdre pied, le simple fait de sentir le poids du corps d'Ichigo sur lui le fit bander. D'ailleurs, le roux était dans le même état.Au bout de quelques minutes, Ichigo dénoua son yukata et celle de Mayuri par la même occasion. Chacun pouvait admirer le corps de l'autre. Ichigo se mit à le caresser sensuellement. De longue minutes s'écoulèrent, pendant laquelle Mayuri atteignait des pics de plaisir jusque là inconnu pour lui. Lorsqu'Ichigo frotta son sexe contre le sien, il devint aussi dur que du bois. Le scientifique en lui était stupéfait par ses sensations. Il avait l'impression de redécouvrir son corps, chose pour le moins incongrue car il connaissait son anatomie sur le bout des doigts. Les brumes du plaisirs lui fit de nouveau perdre pied. C'était bien la première fois pour lui qu'une autre personne que lui donnait du plaisir et surtout à lui. Ichigo se livrait corps et âme, et de part par sa demande, lui aussi. Ichigo était d'une douceur, ses carresses était légère. Qui aurait cru que ses mains aussi fin tenait une arme aussi puissante que Zangetsu. Le corps d'Ichigo était long et finement musclé. Il avait quitté son corps d'adolescent pour un corps d'homme mur. Cela se voyait. En tout, il avait le plaisir de le voir et même de la toucher. Mayuri était au ange. Après un baiser rempli de tendresse, le roux s'aventura vers son anus afin de le préparer correctement. Sans le vouloir, Mayuri sursauta lorsque la langue de son amant l'effleura. A ce geste, Ichigo fit preuve de davantage de douceur. Sa langue le lécha, puis sensuellement entrait et sortait. Ichigo reproduisait la pénétration avec sa langue. Mayuri n'en pouvait plus. Une des mains d'Ichigo tenait fermement sa verge. Il voulait plus d'Ichigo. Il le voulait en lui totalement.

 

« Ichi, vient, maintenant. »

 

Ichigo releva la tête et lui fit non de la tête avec un sourire sadique.

 

« Pas tout de suite mon amour. » Murmura-t-il.

 

« Ichi... Je t'en supplie. »

 

C'est alors, qu'Ichigo enfonça un doigt en lui et il crut mourir de plaisir. Lentement le roux le prépara en faisant des mouvements de ciseaux tout en lui suçotant la verge.

 

Ichigo prenait soin d'aller lentement, sans précipitation. Il ne voulait pas faire de gaffe. Pour leur première fois, lui en tant qu'actif, il voulait le faire bien. Ichigo senti que son amant était près à le recevoir, il lui écarta les jambes, puis d'une traite il s'enfonça en lui. Les deux amants ne bougeait plus, pour l'un car il attendait que l'autre s'habitue à lui et pour l'autre parce que la douleur le surprit. Ichigo était inquiet pour son amant.

 

« Mayuri ? »

 

« ... »

 

Ichigo n’attendit pas de réponse de son amant. Il avait du mal à se contrôler. Il fallait qu'il bouge sinon il allait exploser. Il se mit donc à bouger, lentement, puis de plus en plus vite. D'après les gémissement de plaisir et l'expression des yeux de son amant. Ils étaient rempli de tendresse et d'amour. Tous les deux se fixaient intensément. Le regard d'ambre d'Ichigo le troubla pendant quelques seconde. Lors d'un bref instant, Mayuri vit les yeux d'Ichigo devenir noir et doré comme si le hollow en lui remontait à la surface.

 

« Ichigo »

 

Dans un même soufle Ichigo et Shiro son hollow parlèrent en même temps.

 

« Mayuri, je t'aime tellement, je te donne tout de moi comme je prend tout de toi. Aujourd'hui, notre destin est scellé. Nous t'aimons. »

 

« Ichi, Shiro ? »

 

« Non ne parle pas, nous voulons simplement entendre des cris de plaisir. »

 

Comme pour confirmer leurs paroles, ils le pénétrèrent avec plus d'ardeur et jusqu'à la garde. Mayuri gémissait littéralement. Dans la chambre du chalet, on entendait que des souffles erratiques et gémissements, de temps en temps des petits cris venant du scientifique. Puis au bout d'un moment en entendit un râle, son, qui voulait dire que la jouissance avait été atteint. Pour son plaisir, Ichigo admira son sperme s'écouler de son amant. Ensuite, il s'étendit près de son amant et le pris dans ses bras. Celui-ci se pelotonna tout contre lui. C'est ainsi qu'il d’endormi. Quant à Ichigo, il se plongea en méditation afin d'entré dans son monde intérieur. Il voulait parler à Shiro. Il était encore un peu confus sur sur ce qui c'était passé pendant qu'il faisait l'amour à son amant. Lentement il s'approcha de Shiro qui était étendu sur le toit à regarder les nuages défiler. Ichigo le trouvait bien calme.

 

« Shiro ? »

 

« Alors mon roi, ne devrais-tu pas être avec lui ? »

 

« Peux-tu me dire ce qui c'est produit pendant... »

 

« Mon roi à déjà la réponse à ta question. »

 

Ichigo avait bien une petite idée, mais il voulait une confirmation de son hollow. Habituellement, Shiro agissait à contrario de lui. Ils sont des contraires tout en possédant les qualités de l'autre, mais bien plus prononcer. Shiro était son côté sombre et calculateur.

 

« Répond moi. »

 

L'ordre avait claqué sec et froid. Shiro eu un sursaut. Il était rare que le roux parlait ainsi. A contre cœur, il se redressa pour le fixer dans les yeux.

 

« Moi aussi je l'aime. »

 

« Pourquoi ? Comment ? »

 

« N'oublie que je suis toi et que tu es moi, mon roi. »

 

« ... »

 

« Au moins il y a une seule chose sur laquelle on est à égalité, c'est notre amour pour lui. »

 

Ichigo hocha simplement la tête songeur, puis quitta son monde intérieur. Les réponses de Shiro confirma ses hypothèses. Pendant un bref instant son hollow et lui avait été d'égal à égal. A ce moment là, Ichigo s'était sentit entier. C'est sur cette réflexion qu'il s’endormit enfin, Mayuri dans ses bras.

 

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8 décembre 2012 6 08 /12 /décembre /2012 16:11

Couple : Ichigo x Grimmjow

Disclaimer : Tous les personnages appartienne à Tide Kudo, mais l'histoire m'appartient.

Genre : romance

Rating : M

Titre : Le Code Rouge

 

 

Désolé pour les fautes de français.

 

BONNE LECTURE !!

 

CHAPITRE IX

 

Ichigo ne pensait pas vivre une telle expérience si tôt. Il était venu dans le but de lui parlé. De tout mettre à plat sur ses sentiments. Et enfin, de se donner une chance de connaitre le bonheur. Il ne voulait pas précipiter les choses. Sa carrière dans les forces spéciales lui avait appris la patience, chose qui n'était pas son fort avant de connaître Halibelle. Malheureusement son corps ne lui obéissait plus. Grimmjow avait su le titiller ou il fallait pour le faire réagir. De plus, cela faisait tellement longtemps qu'il n'avait connu cette sensation qui était l'orgasme. Cela était encore plus transcendant lorsque la personne qui vous donnait ce plaisir répondait sans le savoir à vos attentes. Tout n'avait commencer que par des caresses pour satisfaire un besoin pressant de se soulager mutuellement. Grimmjow et lui ne se quittaient pas des yeux pendant que chacun prodiguait à l'un et à l'autre des attouchement tantôt lent tantôt rapidement. Cela était devenu un jeu sexuel très érotique. Le bleuté ne perdait pas une miette des émotions qui transparaissaient sur le visage du roux, qui avait les yeux plissés et brillant de plaisir. Il supposait qu'il en était de même pour lui. Sans un mot pour gâcher se moment d'intimité. Ils s'étaient installés face à face. Les jambes d'Ichigo autour des reins de Grimmjow. Leurs pantalons à moitié descendu, juste pour laisser sortir leur objet de torture. Chemise et t-shirt au sol, froissé. Tous deux torses nus. Pendant les minutes qui suivirent, on entendait que des soupires et des gémissement qui ne laissait aucun doute sur ce qu'ils faisaient ensemble.

 

 

*****

 

 

Quarante cinq minutes plus tard, c'est un Ichigo tout souriant qui franchissait la porte de son père. Il avait eu juste le temps de se changer chez lui avant de venir. Tout était encore un peu confus dans sa tête, mais il se disait qu'il avait amplement le temps d'y pensé plus tard. Il n'aurait pas pensée qu'auparavant il aurait fait un truc comme se laisser à satisfaire un autre homme. Et celui-ci l'avait bien rendu. Il était encore sur un petit nuage. Dés qu'il aperçu son père, il essaya de dissimulé ses sentiments derrière un masque impassible.

 

Isshin à la vue d'Ichigo fonça sur lui avec un directe du droite. Tellement habituer aux accueilles un peu farfelue de son père, il ne fit que l'éviter, celui-ci se prie la porte d'entrée. Ichigo poussa un soupir lasse. Il se demandait quant est-ce que son père allait arrêter d'être un gamin. C'est sur cette scène que Rukia fit son apparition avec Renji main dans la main. Ils se séparèrent immédiatement dès qu'ils les virent son père et lui. L'envie ne lui manquait pas de les taquiner mais un certain restaurateur apparu à l'entrée juste derrière Isshin.

 

« Monsieur Kurosaki vous allez bien ? »

 

Le bleuté aida son futur beau fils à ce relever tant bien que mal.

 

« Au moins il y en à un qui se souci de moi dans cette maison. » Grogna-t-il dans a barbe.

 

« Papa... »

 

Grimmjow s'amusait de voir le comportement d'Ishinn, il aimait se faire passer plus bête qu'il ne l'était réellement. Cette homme, il l'aimait bien.

 

« Ne dit rien mon fils, je ne suis qu'un incompris. »

 

Il se tourna vers le restaurateur et d'un signe de tête l'invita à entrée dans sa demeure. Grimmjow salua Renji et Rukia, puis se tourna vers Ichigo à qui il fit un clin d'oil discret. Sans comprendre pourquoi le roux sentit ses joue rougir. Il se retourna rapidement et partie dans la direction du jardin d'où il entendait les rires de ses filles et de ses amis. Cette réaction ne fut dupe pour personne.

 

Contre toute attente Grimmjow s'intégra rapidement à la bande d'ami. Ce fut facile car il connaissait déjà la famille Kurosaki, Byakuya, Rukia et Renji. Il fit la connaissance du fils de Ryukuen, Ishida, celui-ci s'avérait plein d'humour une fois qu'on faisait abstraction de son air sévère hérité sans doute de son père. Quant à leur ami, ils étaient quelques peu spéciale. On peut considérer que c'était tous des fous, ils sont gentille, mais à petit dose. Les jumelles étaient heureuse de revoir leur ami Grimmjow. Celui-ci le cachait bien, car lui aussi était content de les voir. Le repas se déroula dans le bruit et la bonne humeur. Son sens de l'observation acquis grâce à sa carrière militaire lui appris bien des choses. Par exemple, l'expression d'indifférence qu'avait Byakuya face à Uryuu qui était plus prononcer que d'habitude. De Rukia qui avait envie de rapprocher de Renji, mais pour une raison inconnu garda ses distances. Des jumelles qui ne se croyait pas observer, murmurait à voix base je ne sais quoi, mais qui avait l'air louche à ses yeux, car elles ne cessait de lui lancer des regards en coin. En résumé, il s'amusait bien, mais restait sur ces gardes, car celui qu'il craignait le plus était Ishinn. Cet homme cachait bien son jeux. Il le devinait très rusé.

 

En fin de journée, Grimmjow réussit à avoir un moment seul avec Ichigo. Depuis qu'il était là il n'avait cessé de l'observer. Tous n'avait eu de cesse de réclamer son attention et le roux y répondait avec plaisir. Grimmjow se demandait comment il faisait pour resté calme, sauf bien sûr avec son père. Remarque, qui pourrait resté calme lorsque la personne en face avait un comportement loufoque. A cette pensée, il ne pu s'empêcher de sourire.

 

« Puis-je connaître la raison de se sourire ? »

 

« Bien sûr ! C'est ton père. »

 

En disant cela, il montra du menton Ishinn essayant d'échappé à Ruuyken. Ichigo poussa un soupir lasse.

 

« J'aime bien ton père Ichigo, c'est quelqu'un sur qui on peut compter. »

 

A ces paroles le roux semblait surpris, pourquoi il se le demandait. C'est vrai que son père était assez spéciale. Au premier abord on aurait dit un abrutie avec son comportement à deux bal, mais lorsqu'on le connaissait bien c'est une personne sérieuse, attachant, charmant et responsable. Pendant des années, et avant la mort de sa mère, il avait garder une certaine distance avec son père. Il était toujours occupé par son cabinet et ses patients. Sa mère occupait une grande place dans sa vie. Après sa mort il s 'était rendu compte à qu'elle point elle avait toujours été présent pour lui comblant ainsi l'absence de son père du à son travail. Au début cela n'avait pas été facile entre lui son père. Aujourd'hui, il se rendait compte à quel point il a fallu à son père beaucoup de patient et de persévérance.

 

"C'est quelqu'un de sûr. Il a toujours été là pour moi."

 

"C'est bien d'avoir un pilier dans sa vie, cela nous évite de dériver."

 

"Je ne l'aurai pas mieux dit !"

 

Tout deux hochèrent la tête de concert avec un beau sourire au lèvres. A cette instant ils se sentaient bien. Cette journée avait été bien rempli. Dans la cuisine, Rukia tous en faisant la vaisselle, les épiait du coin de l’œil. Renji c'était aperçu du manège de la brune. Elle lui cachait quelque chose sur ses deux là. D'ailleurs, il avait bien remarquer les coups d’œil que suscitait son patron et Ichigo. Comme si chacun attendait qu'ils fassent tous les deux un geste qui les trahirait. Renji trouvait cela stupide de leur part. Mais bon, il n'avait pas lui aussi à ce mêlé de cette histoire. Silencieusement, il aida la brune à ranger la vaisselle propre.

 

 

 

 

Le lendemain dans son lit, Ichigo se sentait léger, bien. En compagnie de Grimmjow, il retrouvait sa vrai nature, comme avecsa femme. Il ne pourrait pas comparer les deux, c’était impossible, mais il pouvait dire qu’en présence des deux il se sentait bien. Le soir venue, dans son lit il repensa à sa journée dominicale chez son père. La journée avait filé à toute vitesse. Ils avaient eu l’occasion de se parler seul à seul qu’une fois depuis que le bleuté avait débarqué chez son père. C’était comme si tous c’était donnée le mot pour pouvoir les surveillé, même ses filles s’y était mis. Quand à son frère il avait eu des envies de meurtre à son encontre. Il avait osé faire des allusions plus qu’explicite au bleuté quand à leur relation. Même de manière détourné, il avait rougit, lui qui était imperturbable. En tout cas, cette journée avait marqué le début de leur relation. Cela lui fit naître un sourire magnifique sur son visage. Il ne savait plus depuis quand il ne s’était pas sentie aussi bien. C’est avec joie qu’il se leva pour préparer le petit déjeuner des filles.

 

 

Au restaurent le Code Rouge, Rukia s’activait en cuisine, Renji était absent pour le service du soir, donc il fallait donner bouché double. Ce crétin avait oublié qu’il devait aller voir sa famille. Il donnait une réception pour les quatre-vingt-dix ans de leur grand-mère. Du coup, elle se retrouvait seule se soir. Mais heureusement que le patron était là, sinon elle aurait pu être débordé. Se samedi soir, il y avait du monde. Le service filait à bon train. Tout le personnel était présent. Grimmjow avait même prit deux extras au cas ou et il avait eu raison. Depuis son ouverture le Code Rouge fonctionnait très bien. Au départ, dans le milieu de la restauration personne n'avait misé sur l'inconnu qu'était Grimmjow à cette période. Personne ne le connaissait, sa réputation était à faire. Rukia se souvenait que le jour de son embauche, entre autre son homosexualité, le patron lui avait certifié que son salaire allait augmenter avec sa réputation, et il n'avait pas menti. Son frère également, lui qui avait déjà une très bonne réputation et un sens aiguë de la noblesse entre guillemet était fier de travailler dans se restaurant. La brune ne s'en vantait pas, mais grâce à ce travail, elle avait pu quitter la maison de son frère et emménager dans son propre appartement. Ces derniers années, cela avait été dur pour elle. Après ces études en cuisine, elle était tombé amoureuse d'un chef pâtissier. Elle était resté avec lui durant quatre ans. Quatre années de bonheur quel croyait acquise. Mais un jour elle découvrit qu'il la trompait avec une des clientes régulière du restaurant dans lesquels ils travaillaient tous les deux. Le choc fut rude et la rupture tout autant. Le salopard lui avait tout prit, il s'était assuré que tout les dettes qu'il avait emprunter était à son nom, même les bijoux qu'il avait acheter pour sa maîtresse. Sans son frère et ses amis, elle n'aurait pas pu remonter la pente. Cette histoire lui avait laisser un goût amer. L'ami qui l'avait beaucoup épauler avait été Renji. Elle fut agréablement surpris par cette personne que tout le monde sous estimait, même elle. A ce jour, il s'était créer un lien fort entre eux. Elle aurait aimer faire le pas entre la ligne qui délimitait amour et amitié. Elle voulait un simple geste de lui. Elle avait l'impression qu'elle pouvait attendre longtemps. Elle ne voulait pas le brusquer. Elle sourit en pensant à cela car c'était elle qui avait eu le cœur brisé, mais aussi son amour propre mis à mal. Parfois, elle se disait que le destin nous jouait de sale tour, il n'y avait qu'à penser à Ichigo.

 

« Rukia, Rukia... »

 

« Rukia revient sur terre, les clients attendent ! »

 

Cette dernière sursauta, c'était son frère qui la fit revenir à la réalité. Ces pensés était partie bien loin pendant quelques minutes. Elle se remit rapidement au travail.

 

Dans la salle, Grimmjow alternait entre serveur et sommelier. Il prenait les commandes et conseillait en vin. Dans la cuisine, il jonglait entre commis et chef cuisinier. Il aidait Rukia lorsqu'il avait un plat difficile à faire, car normalement cela incombait à Renji. En tout cas il adorait, lorsque c'était ainsi, cela le rendait nostalgique. Il repensait à son enfance, lorsqu'il aidait son père au restaurant familiale. Il aimait ça.

 

 

Le dimanche matin, Grimmjow se réveilla de bonne humeur. Aujourd'hui, c'était sortie familiale. Le frère d'Ichigo lui avait proposé de faire une ballade sur son bateau. Il n'y aura qu'Ichigo et ses filles, lui et Uryuu. Il avait hâte d'y être. Les sorties en mer, il adorait cela. Il se rendit donc à la Marina.

 

Ichigo était impatient, mais avec un peu plus de retenu que ses filles pour la ballade en mer. Il était davantage impatient de voir Grimmjow, même si leur geste était limité devant les filles, cela lui fit grand plaisir de passé la journée en sa compagnie. D'ailleurs en pensant au loup on en voie la queue. En le voyant, le cœur du roux s'accéléra. Grimmjow était à tomber au propre comme au figurer. Il ne savait pas pourquoi, mais une grande fierté l'envahie en sachant que c'était son homme qui avançait vers lui d'une démarche féline. Il évolue sur le ponton comme un poisson dans l'eau. Habillé d'un jeans et d'un débardeur bleue moulant, chausser de mocassin, les lunettes de soleil en sert tête, il était magnifique. D'un rien il charmait. Cette homme le fascinait. Ichigo savait qu'il ne disait pas tout sur son passé militaire et privée. Il n'allait pas lui jeter la pierre car c'était pareille pour lui. Il n'aimait pas trop cette période de sa vie.

 

Les filles interpella déjà grimmjow à peine qu'il est mit les pieds sur le bateau.

 

« Bonjour Monsieur Jaggerjack ! »

 

« Bonjour vous deux. Je vous ai déjà dit de m'appeler Grimmjow pourtant ! »

 

Après un regard d'accord avec leur père, elles acquiescèrent à cette demande.

 

« Bonjour Ichigo. »

 

« Bonjour Grimmjow. »

 

« Où est ton frère ? »

 

« Oh, il revient, il est allé voir le capitaine du port pour régler certain papier. »

 

« Ok. En tout cas ton frère possède un très beau bateau. »

 

« Oui, et il a travaillé dur pour l'obtenir. »

 

« Il navigue depuis longtemps ? »

 

« Avant même que nos pères se connaissent. C'est son grand père qui là initier. Lors des vacances scolaire son père ne pouvant s'occuper de lui, il partait chez son grand-père, il possédait une compagnie maritime. Je ne l'ai pas connue car il est mort d'une crise cardiaque un an avant qu'on se rencontre. D'après Uryuu il lui a tout apprit. »

 

« Donc je suppose qu'il dû hériter de son grand-père. »

 

« C'est exacte, mon frère possède une des compagnie maritime du Japon. »

 

« Waouh, c'est pas rien. »

 

Ichigo rit.

 

« Pour lui si pourtant. Par exemple ce bateau pour le payer, il a fait appel à des sponsors et il a travaillé tout un été en faisant des petits boulot. Il a fait en sort de séparer sa passion pour la compétition et son travail dans la compagnie. »

 

Grimmjow était impressionné. Il avait maintenant d'autant plus de respect pour le jeune homme. Deux minutes plus tard, Uryuu montait sur la bateau.

 

« Allez moussaillon, en route pour l'aventure. »

 

A ses mots les filles crièrent de concert. Les trois adultes sourirent à tant d’enthousiasme. La journée s'annonçait magnifique, la côte californienne en été était magnifique. Tous apprécient cette sortie en mer. Pour déjeuner ils accostèrent dans une petite crique. Tous le monde profitèrent de l'ocassion pour une petite baignade. Les filles s'amusaient bien avec Grimmjow. Il était attentif et au petit avec elle, ainsi qu'avec leur père. A chaque moment passer avec lui confirmait au fille que c'était lui que leur mère avait envoyer pour leur père. Pourtant il n'y avait pas de geste équivoque entre eux. Mais elles en étaient certaines. Leur journée ensemble arrivait à sa fin. Uryuu acosta tranquillement dans le port de long beach. Le soleil couchant rendait le port magnifique. Ichigo pendant quelques minutes se perdit dans les yeux bleu de Grimmjow. En cette instant il aurait aimé l'embrasser. Comme si son frère avait deviner ses intentions, il prit les filles avec lui pour aller parler au capitaine du port. A peine eurent-ils disparue de sa vue que le roux enlaça Grimmjow tendrement. Celui-ci était dos à lui et avait le regard perdue sur le coucher de soleil. Le restaurateur était surprit mais se laissa faire. Après un coup d’œil au alentour il rendit compte que le frère d'Ichigo et ses filles n'étaient plus à bord. Il eu un sourire. Le corps du roux contre le sien le détendit. Il se sentait bien dans ses bras. Un sentiment de plénitude l'envahi. Cette homme lui faisait du bien. Ichigo lui fit un bisous dans le creux de sa nuque.

 

« Ichi j'ai passée une agréable journée avec toi, avec tes filles et ton frère. »

 

« Je suis heureux de l'entendre. »

 

« Cela vous dit de venir dîner chez moi ce soir ? »

 

« Avec plaisir Monsieur Jaggerjack. »

 

Tendrement ils s'embrassèrent. Quelques minutes plus tard ils rejoignirent les filles et Uryuu à l'entrée du port. Ichigo fit part de l'invitation de Grimmjow, les filles sautèrent joie et Uryuu se dit que passé du temps avec eux lui faisait le plus grand bien. Tendit que la petite troupe prirent le chemin de la maison de Grimmjow, Nnoitra était à l'aéroport se Tokyo. Il était sur le point d'embarquer direction la Californie. Ce qu'il devait annoncer à son ancien chef ne lui faisait pas plaisir, loin de là. Depuis la lettre qu'il a reçu de Grimmjow, il n'a pas cesser de s’inquiète à son sujet. Le bleuté n'avait cessé de parler d'un certain Ichigo Kurosaki qui tenait une boutique de matériel de plonger. A ce qu'il avait comprit c'était le coup foudre et pompon était que ce jeune était hétéro. Nell et lui avait tout prévu pour le nouveau départ de son chef et ami, mais cette homme était une surprise. Il avait peur que Grimmjow se précipite trop. D'ailleurs c'est pour cela qu'il avait fait des recherches sur Kurosaki et sa famille. Cela avait été très instructif. Sa femme était contre sa décision de se rendre à Los Angeles. Ils étaient disputé à se sujet. Nnoitra blanchi. Il préfèrerait oublié ce qui c'était dit, car quand sa femme s'énervait c'était pas bon du tout pour lui. C'est donc en froid qu'ils s'étaient quitté. Ils étaient deux têtes de mule. Nnoitra se leva de son siège et se dirigea vers l'embarquement, car on avait annoncer son vol. Tous se retournaient sur son passage. Il faut dire que l'on remarqua bien avec sa grande taille et son uniforme.

 

 

Pendant le vol Halibel se tenait assis sur l'ail de l'avion, un doigt sur les lèvres. Elle était bien pensive. Pour notre tout jeune couple les jours ne vont pas être agréable. Des souvenirs douleureux allaient ressortir. Avec l'arrivé de Nnoitra leur passé militaire à tout les deux allait mettre à mal leur amour. Elle ne savait pas comment les choses allait évolué. En tout cas, il fallait qu'elle soit vigilante.

 

 

Le lendemain, Grimmjow venait tout juste de se réveillé qu'il entendit la sonnette d'entrée. Il se demandait bien qui pouvait lui rendre visite si tôt. Les chiens se mit sur leur garde, Grimmjow se tendit car cela signifiait que ce n'était pas quelqu'un qu'il connaissait. En tout cas que les chien n'avait jamis rencontré. C'est tendu qu'il ouvrit la porte. Le bleuté fut surpris.

 

« Nnoitra ? Mais qu'est-ce que tu fais ici ?

 

 

 

By Eiram-sama.

 

PS : Désolé pour l'attente de ce nouveau chapitre, en espérant que cela vous a plut.

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8 avril 2012 7 08 /04 /avril /2012 08:08

IIe PARTIE

Relation clandestine

 

Un mois, c'était pratiquement fini, et tous étaient contents du travail du roux, surtout le capitaine commandant. Il se disait qu'il avait eu raison de le nommer pour ce travail. Il s'était montré respectueux et responsable, de plus, il était travailleur. D'après le rapport de Rikichi, le shinigami remplaçant avait grandement évolué en sort du kidô. Le troisième siège était même agréablement surpris de son évolution. Kurosaki avait réussi le miracle de contenir son reiatsu. Cela n'était pas encore parfait. Mais l'effort y était. Il était sûr pour lui, que le shinigami remplaçant avait sa place à la soul society. Il suffisait juste qu'il termine sa vie terrestre. Une seule chose l'inquiétait. C'était la rumeur qui circulait comme quoi Kurosaki avait subi des expériences du capitaine Kurotsuchi et que sa progression n'était pas naturelle. Bien sûr il avait eu un entretien à ce sujet avec le concerné. Il avait mis au moins dix bonnes minutes avant de pouvoir assimiler l'information. Il l'avait congédié en lui disant que cela ne prêtait pas à conséquence du moment qu'ils restaient discrets. En y repensant, il était toujours aussi surpris. Il se consola en se disant qu'ils étaient encore jeunes.

 

*******

 

Ichigo n'avait bu que deux verres de saké et il sentait déjà tout léger. Rukia était revenu à la soul society pour une semaine et Renji avait décidé de réunir tous leurs amis pour une petite soirée sympa. Ishida, Inouie et Sado étaient également présent. Il était heureux de revoir ses amis. Ainsi, il pouvait avoir des nouvelles de Karakura ainsi que de ses autres amis. Quant à sa famille, il avait des nouvelles régulièrement grâce à Rukia et à Kisuke. On pouvait dire qu'il était heureux. Sauf que personne ne savait qu'il lui manquait quelque chose. Secrètement, il avait rêvé de se rapprocher de Mayuri, le connaître davantage. Malheureusement, celui-ci faisait tout pour l'éviter. Il était déçu. Il avait connu une nuit formidable et inoubliable ensemble. Il y a des soirs, il en rêvait encore et là il se traitait d'idiot.

 

Il fut interrompu dans ses pensées par Renji.

 

« Ichigo, cela te dirait de venir d'entraîner avec moi demain ? »

 

« Pourquoi, si je peux me libérer. »

 

« La dernièrement fois j'ai dû m'absenter en urgence. »

 

« Tiens, maintenant tu es un homme occuper Ichigo ! » Intervint Rukia qui était assis juste à côté de Renji.

 

« C'est vrai Ichigo, tu n'es pas beaucoup venu nous rendre visite la onzième. Si tu es venu, tu n'y es pas rester longtemps. » Ajouta Yumichika.

 

Ikkaku hocha la tête pour confirmer. Matsumoto asséna une clac dans le dos du roux en éclatant de rire.

 

« Fouter lui la paix à Kurosaki ! Il bosse dur tout les jours. De plus, je n'ai jamais vu mon capitaine si heureux de travailler. Pour vous dire, avant on l'entendait gueuler dans toute la division. Maintenant on se demande s'il y a un capitaine. »

 

Personne n'osa lui dire que c'était à cause d'elle et de sa fainéantise. Qui oserai, après tout c'est grâce à elle qu'une fête était réussit. Donc tout le monde se mit à rire en portant un toast. Ichigo, était vraiment heureux d'être avec eux. Rukia, s'approcha de lui discrètement.

 

« Ichigo ? »

 

« Oui. »

 

« Est-ce que tout va bien pour toi ici ? »

 

« Oui, pourquoi ? »

 

« Je te sens soucieux depuis qu'on c'est revu. Tu me le dirai quelque n'allait pas, hein ? »

 

Ichigo fut toucher que Rukia s'inquiète pour lui, mais malheureusement il ne pouvait pas en parler à qui que se soit pour l'instant.

 

« Tu es mon amie Rukia, bien sur que je t'en parlerai, si j'avais un problème. »

 

La brune ne fut satisfaite de la réponse, mais s'en contenta. Elle savait que le moment venu il lui en parlerai. Elle ne le sentait pas encore prêt. Le sujet s'arrêta là car Matsumoto vint se penché sur le roux pour l'inviter à danser. Leur petite soirée fut une réussite. Mais malheureusement, ses amis devait retourner sur terre le lendemain après-midi. D'ailleurs, il avait pu remarquer qu'Inouie et Ishida s'était considérablement rapprocher. Mais il ne leur fit aucune remarque. C'était à eux d'en parler s'ils le voulaient. Et Sado était égale à lui même.

 

Le lendemain, en fin de journée, il se décida à faire une petite promenade. Son entraînement avec Renji fut annuler car celui-ci avait eu une réunion des lieutenants imprévue. En fait, il avait oublié. Mais bon ! Donc, maintenant, il avait du temps libre. La veille il avait été excité à l'idée de montrer ses progrès en Kidô à Renji. Tanpis se dit-il. Pendant une heure il déambula dans le sereitei. De temps en temps, il croisa des amis voir des connaissances. Puis ses pas le conduisit au bain public. Cela lui ferait du bien de se détendre. Lorsqu'il y pénétra, la jeune à l'accueil lui dit qu'il n'y avait personne, donc il pouvait être à son aise. Celle-ci lui souhaita un bon bain puis s'éclipsa. Dix minutes plus tard il poussa un soupir de contentement. L'eau chaude soulageait son corps engourdi. Il somnola pendant un moment. Mais une caresse sur sa joue le fit sursauter. Son cœur rata un battement. Il cligna des yeux pour bien être sur de ce qu'il voyait. Il était plus que surpris.

 

« Mais... »

 

« Bonsoir Ichigo. »

 

Le cœur ne pouvait plus s'arrêter de battre à une folle allure. Mince, il s'était fait à l'idée que pour lui ce n'était qu'un jeu, voir une passade ou même un test scientifique. Vraiment, il ne s'attendait pas à tomber sur Mayuri au bain public. Il essaya de se reprendre rapidement.

 

« Bonsoir. »

 

« A cet heure ci, normalement il n'y a personne. »

 

Après un moment de silence.

 

« Je suis content de te voir Ichigo. »

 

Ichigo ne put s'empêcher de rougir. Heureusement ses joues étaient déjà rouge du fait de l'eau chaude.

 

« Moi aussi, je suis content de te voir. » Murmura le roux.

 

Un silence s'installa. Chacun était plongé dans l'observation de l'autre, Ichigo discrètement et Mayuri avec toute la subtilité d'un scientifique. Chacun trouvant l'autre aussi fascinant que ce jour là. Ichigo rompit en premier le silence.

 

« J'ai une question à te poser. Pourquoi se masque. » Demanda-t-il droit dans les yeux.

 

Le scientifique ria car il ne s'attendait pas à une telle question et aussi direct.

 

« Eh bien, pour divers raison que je te dirai plus tard si tu veux. »

 

« Oui je veux. »

 

« On peut dire que tu sais ce que tu veux Ichigo. »

 

« On m'a appris qu'il fallait saisir les osassions qui se présentaient. »

 

« Dans ce cas... »

 

Mayuri lui saisi le bras, et l'attira à lui.

 

« Je n'arrête plus de penser à toi. J'ai essayé de t'effacer de ma mémoire. Tu trouble mon esprit si logique. Peut importe ou je me trouve, tous ne parle que de toi que j'en deviens jaloux. Que m'as tu fait ? Ichigo je ne comprends pas. »

 

« Je pense que cela s'appelle de l'amour tout simplement. En tout cas, c'est un début qui y ressemble »

 

« J'ai l'impression que tout à l'air si simple pour toi ! »

 

Ichigo s'arracha à son étreinte et recula d'un pas.

 

« Non, ce n'est pas facile au contraire. L'amour ce n'est pas facile, surtout lorsque la personne en face est dans le déni. C'est que l'on ne se connaît pas réellement nous deux. On a passé une nuit ensemble. En plus, je ne me rappel même pas de la journée passé le lendemain du pari. Je ne sais même pas ce que tu m'as fait dans ton laboratoire. »

 

Mayuri fut surpris. Il croyait que le capitaine commandant lui avait dit. Il n'aimait vraiment les bureaucrate. Il poussa un soupir irrité.

 

« Ichigo, écoute, le capitaine commandant m'avait ordonné de te faire une batterie de test pour savoir si tu étais apte à accomplir ta mission qui consistait à assister le capitaine de dixième division. D'ailleurs, tu avais consenti à le faire en signant les documents de confidentialité. Mais apparemment tu as perdu la mémoire à cause des somnifères que je t'avais donnée. »

 

Ichigo éprouva du soulagement en entendant ces paroles. Il est vrai que récemment il a été convoquer dans le bureau du commandant. Il n'avait rien à cacher, donc il lui révéla ce qu'il y avait eu avec le capitaine de la douzième division. Le vieux avait été surpris. Mais, il n'avait rien ajouter à part le fait de rester discret. Il ne savait que dire sur les rumeurs qui circule en se moment sur lui. Au début, il avait eu des doutes. Son zampakutô et son holow lui avait confirmer que non. Il avait eu peur que ses amis le regarde différemment, avec un regard soupçonneux et de pitié. Il n'avait en rien changer ses habitudes et son comportement. Ils ne lui avaient fait aucune remarque, bien que cela leurs démangeait, surtout Rukia. Il était content maintenant car il y voyait plus clair. Le hasard avait bien fait les choses. S'il ne s'était pas rencontrer aux bains public, ils n'auraient pas pu s'expliquer.

 

« Je comprends mieux certaine chose, maintenant. » Dit le roux en se remettant confortablement dans l'eau.

 

Mayuri vint s'assoir près de lui.

 

« Tu sais que tu fais peur à beaucoup de monde avec ton air de démon. Tu peux vraiment être effrayant ! »

 

« C'est ce que je suis, c'est ce que je veux. »

 

« Mais tu n'es pas seulement ça. Je t'es vu. »

 

En entendant cette réponse, il sourit. Et cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas sourit réellement. Décidément, le roux l'affectait plus qu'il ne le croyait. Et se soir là, il ne fit que discuter. Puis, pendant le mois qui suivi il se retrouvait régulièrement aux bains public. A chaque rencontre il se découvrait davantage. C'était leur jardin secret. Ils se croisaient de jour et ne s'adressait la parole que si nécessaire. Ichigo continuait à augmenter son niveau en kidô tout en faisant son travail d'assistant. Mayuri lui, ne changea pas. Pour sa lieutenante il était revenu à la normale. Personne ne savait à part le commandant. Et le scientifique ne savait pas que le commandant savait. Quel ironie ! Mais cela mise à part, cela ne le gênait pas vivre cette relation dans la clandestinité. Il avouerait qu'il avait peur de la réaction de ses amis.

 

******

 

On était en fin de matinée, et il régnait un silence monacale dans le bureau de la dixième. Les deux personnes présente en ces lieux étaient très concentrer à finir la dernière touche d'un rapport qui avait mis un mois et trois semaines à être bouclé. Au bout de se rapport, il y avait derrière une longue procédure qui avait été mis en place. A midi tapante, tout deux posèrent leurs plumes.

 

« Enfin c'est fini ! »

 

« Pas tout à fait, il faut... »

 

« Ah Toshiro ne fait pas ton rabat joie. On a fini, point. »

 

Celui-ci poussa un soupir et se gratta la tête. Ichigo voyait qu'il était entrain de capituler.

 

« De toute façon, on peaufinera le reste demain matin. Allez, silteplaît ! To-shi-ro ! »

 

Le jeune homme capitula. Donc le roux se retrouva avec un après-midi de libre. Il décida d'aller s'entraîner dans une forêt tout prêt d'ici. En chemin, il croisa le capitaine de la sixième division. Le noble lui semblait bien pensif. En fait, le comportement du roux l'étonnait et l'intriguait. Sans s'en rendre compte, il commençait à l'estimer.

 

« Salut Byakuya! »

 

« Kurosaki. »

 

Tout deux marcha côte à côte en silence.

 

« Kurosaki êtes vous retourné voir le capitaine Kurostuchi dans son laboratoire ? » Demanda subitement le noble.

 

« Oui et non, pourquoi cette question ? »

 

« Mmh. »

 

« Oui, parce que c'est mon travail de me rendre dans chaque division et non, il n'a pas refait d'examen sur moi. Cela répond-t-il à vos interrogations. »

 

« Pour le moment. » Puis il disparu en shyumpo.

 

Ichigo était surpris et confus. Qu'est qui c'était passé à l'instant ? Il se le demandait. Il ne s'attarda pas et parti s'entraîner. Il était fébrile car se soir il devait se voir. Il lui avait fait passer un mot par le biais de Nému ce matin même. Il était curieux de savoir qu'est-ce qui lui réservait.

 

******

 

Ichigo était sur le terrain d'entraînement de la sixième division. Tout compte fait, il n'était pas allé s'entraîner dans la forêt. Ses pas l'avait conduit à la sixième division. Cela faisait un moment qu'il devait s'entraîner avec Renji, mais son emploi du temps de ministre et celui de Renji ne correspondait jamais. Il s'était dit que peut être qu'aujourd'hui il tenterait sa chance. C'est au détour d'un couloir qu'il croisa le troisième siège Rikichi.

 

« Salut Ichigo. »

 

« Tiens Rikichi, justement je cherchait Renji. Il est disponible aujourd'hui ? »

 

« Normalement oui. Mais plus tôt je l'ai vue sortir de la division. Je ne sais pas où il est allé, désolé. »

 

Le roux poussa un soupir de frustration. I l commençait à en avoir mar. Il avait envie de se défoulé.

 

« Tanpis. »

 

Le troisième siège vit un roux dépité faire demi-tour pour repartir. Au moment ou il disparu au détour du couloir, le brun se souvint qu'il avait quelque chose à donné au roux. Il lui couru après.

 

« Ichigo, attends ! »

 

« hn... »

 

« Ichigo, tiens c'est pour toi, c'est un cadeau pour tes progrès. Maintenant, on peut vraiment dire que tu es de niveau capitaine et un shinigami accompli. Tu as maintenant des bases solides pour continuer ta progression. »

 

Le roux prit le livre que lui tendait le brun. Il lu le titre.

 

« L'art de la guerre de Sun Tsu. »

 

« Je suis sûr que tu appréciera ce livre. »

 

« Merci. »

 

Rikichi haussa la tête avec un sourire radieux, et avant de retourner à ses tâches il lui dit :

 

« Ichigo je te conseil de ne jamais vraiment montrer ta véritable force et surtout tes progrès en kidô. »

 

 

*******

 

Tranquillement, il était assis sous un arbre à lire un livre que Rikichi lui avait offert pour preuve de ses progrès. « L'art de la guerre » de Sun Tzu. Cela le passionnait. En lisant ce livre, il repensait à tout ses combats qu'il avait mené, mais qu'il n'avait pas forcément gagné comme il le souhaitait. Les principes de Sun Tzu correspondait en y réfléchissant à sa manière de voir les choses. Les propos du petit brun lui revînt. C'est vrai que s'il montrait ses véritables capacités, nombre de shinigami voudrait le défier, surtout le capitaine de la onzième division. A cette idée il en frissonnait d'effrois. Il ne préférait pas y penser. De toute façon le seul qui occupait ses pensés était Mayuri. Il se posait beaucoup de question sur leur relation. Ils étaient beaucoup vue ses dernier temps. Ils avait principalement échanger des baiser et des caresses sans jamais aller plus loin. Il n'était pas sûr des sentiment du scientifique. Ils s'étaient considérablement rapproché. Par moment il était tellement heureux qu'il en était euphorique. Mais malheureusement, il devait se contenir devant ses amis pour ne pas éveiller les soupçons. Déjà que Rukia l'avait à l'œil. Et ses temps-ci, il croisait un peu trop souvent Rukia. Cela l'inquiétait. Elle l'espionnait, à n'en pas douter, pourtant il n'avait pas changer de comportement, du moins le croyait-il. Mais bon, il fallait qu'il arrête en conjonction, ce n'était pas dans ses habitudes. Il repris donc sa lecture.

 

Depuis son bureau, Byakuya observa le roux. En deux mois, celui-ci avait changer, il dirait plus qu'il avait mûri. Dans un sens, il le comprenait, avec tout les combat qu'il avait mener, il gardait encore une peu de son innocence. Le noble ne voulait qu'il change pour devenir un être comme lui, froid, distant. Il lui faisait penser à lui lorsqu'il était jeune. S'il apprenait que se scientifique fou avait toucher un seul de ses cheveux, il lui ferait sa fête. Il se le fit la promesse.

 

Dans son laboratoire, Kurotushi se hâtait de finir son travail afin de quitter au plus tôt sa division. Il avait préparer une surprise pour le roux. D'habitude, il y aurait longtemps qu'il aurait atterri dans son lit. C'est vrai que cela c'est bien produit au début. Il avait sut, tout de suite que le roux ne voulait pas de ça, pas que ça. Ce jeune homme avait le don de le rendre plus humain. Surtout, il voulait avec cette soirée marqué le début d'une relation, serte clandestine, mais qui pour lui était important.

 

Avant de quitter sa division, il terrorisa un peu ses hommes en leur donnant une masse de travaille à finir pour avant hier. Ordonna à Nému de transmettre un message à Kurosaki. Et il fila préparer sa soirée. Il n'avait pas oubliée qu'Ichigo retournait dans le monde humain dans une semaine afin de reprendre son poste. Dorénavant, il ne pouvait pas se voir quand il le souhaitait. Il allait devoir s'arranger autrement pour se voir. De plus, Kuchiki avait décidé de jouer au chien de garde sur la personne du roux, cela l'agaçait, même, cela le rendait jaloux. Il n'aimait pas partager. Il fallait qu'ils soient davantage précautionneux s'il ne voulait pas d'ennuis.

 

A bientôt pour la suite !

Désolé du retard.

Eiram-sama

 

Suite part III 

 

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28 octobre 2011 5 28 /10 /octobre /2011 08:19

 

Couple: Ichigo x Mayuri

 

Disclamer: Tous les personnages appartiennent à Tite Kubo, mais l'histoire m'appartient !

 

Rating: M

 

Titre: Le secret d'Ichigo.

 

Synopsis: Que se passe-t-il lorsque Ichigo découvre la vrai visage du scientifique fou, Mayuri Kurostuchi, capitaine de la douzième division du Gotaï treize ? Suite de l’OS d'une « Découverte plus qu'agréable ! ! ! »

 

 

Ier PARTI

Après cette nuit

 

 

Citation : « Rien n'est vraiment sûr à cent pour cent dans une vie et c'est cela qui fait les plus belles surprises ! »By Eiram-sama.

 

Ichigo se sentait bien, il avait très bien dormi, son corps était détendu. Le futon sur lequel il dormait était très agréable, doux et chaud. Il avait la sensation étrange d'avoir fait un rêve irréel. D'ailleurs, en y repensant il devint tout rouge. Comment avait-il pu rêver de ce fou, non pas rêvé, mais fantasmer sur ce fou. Il y avait pris du plaisir en plus. Zut alors ! ! Lentement, il ouvrit les yeux, la lumière diffuse du jour éclairait sa chambre à travers les rideaux à demi tirés. Il pouvait apercevoir le ciel d'un bleu magnifique avec quelques nuages blancs. Une légère brise s'engouffra par la fenêtre ouverte, cela lui fit du bien. Il essaya de repenser à la journée d'hier, mais tout était un peu confus. Il décida de se lever. Se redressant d'un seul coup assis, une douleur dans le bas du dos le coupa le souffle. « Aiiiiie !! Mm mm. » Il se frotta le dos pour se soulager. Il grimaça. Pourquoi avait-il mal ? Il se le demandait. Puis, il réalisa que son rêve n'était peut-être pas un rêve. Difficilement, il se rendit dans la salle de bain, il ressentit une gêne non négligeable entre les jambes. Lorsqu'il fixa son reflet dans le miroir, ce qu'il vit le statufia sur place. Merde ! Notre Ichigo avait les cheveux en pétard, apparemment après avoir, il semblerait, passé une folle nuit. Ses yeux luisaient d'une lueur satisfaite. Le pompon était qu'il avait dans son coup un énorme suçon. Comme un automate, il défit son yakuta qui glissa au sol. Là, devant ces yeux se trouvait un autre magnifique suçon sur le bas de sa hanche droite. L'effet fût immédiat, il devint rouge pivoine.

 

« Ho non !!!! »

 

Comment a-t-il pu faire cela ? Apparemment, il a été consentant, peut-être pas au début, mais ensuite. En y repensant, des frissons parcoururent tout son corps comme pour en redemander. En tout cas, Mayuri était un Dieu du sexe sans aucun doute possible ! Qui croirait que sous ce masque affreux se cache un Être d'une beauté magnifique. Le choc passé, il prit sa douche et enfila sa tenue de shinigami remplaçant. Pour cacher les marques inavouables, il les banda comme pour une blessure. À défaut, il pourra dire que c'était le résultat d'un combat avec Kempachi. À première vue, le capitaine de la douzième division l'avait ramené dans sa chambre au manoir des Kuchiki durant la nuit. Il ne souvenait de rien. Il ne réalisa pas encore ce qui s'était produit, c'était sa première fois, et cela a été merveilleux. Mais maintenant, que va-t-il se passer entre eux ? Est-ce qu'il n'était qu'une expérience ? Juste un objet sexuel qui allait être jeté ensuite. À n'en pas douter qu'il ressentait quelque chose pour lui, sinon il aurait pu s'échapper facilement. Si ses souvenirs son bon, il avait fait un pari qu'il avait gagné holà main, mais il fut déclaré perdant malgré tout. Ce cher scientifique avait manifestement « triché » pour arriver à ces fins. Et le résultat fut différent de ce qu'il avait cru. Mais bizarrement, il n'était pas en colère. Il avait encore l'impression de flotter sur un nuage. Ichigo était encore confus lorsqu'il entra dans la salle à manger pour le petit déjeuner. Le maître de maison s'y trouvait installé en zeisa avec une tasse de thé à la main.

 

« Bonjour, Kuchiki Taïcho. » Dit Ichigo en s'installant lui aussi confortablement.

 

Le noble haussa un sourcil signe de son étonnement. Qu'arrivait-il à Kurosaki pour l'appeler ainsi ? Délaissant son thé il l'observa attentivement. Il avait l'air tout à fait normal, à part qu'il semblait ailleurs. Le noble se demandait ce qu'avait bien pu faire ce scientifique fou comme expérience sur Ichigo. Comme tout le monde, Kuchiki Byakuya savait pour le pari. Il ne l'avouerait jamais, mais il avait parié sur le jeune homme. À ce qu'il avait vu sur l'écran et comme tout le monde, Ichigo avait perdu d'un cheveu. Le rouquin n'avait pas remarqué l'attention dont le noble Kuchiki lui accordait.

 

C'est à cet instant que Rukia fit son entrée et s'installa silencieusement à côté d'Ichigo.

 

« Bonjour Nii-sama, Ichigo. »

 

« Bonjour Rukia. »

 

Rukia entama son petit déjeuner non sans un regard pour le roux comme pour le mettre en confiance. Elle aussi avait noté le comportement étrange d'Ichigo. Malicieusement, elle demanda innocemment :

 

« Ichigo, dis-nous comment c'est passé ton petit séjour à la douzième. »

 

L'intéresser faillit s'étouffer avec son thé qu'il buvait. Recrachant le tout le plus discrètement possible ;

 

«Mm, mm ! »

 

« Ça va Ichigo ? »

 

« Mm... Oui Rukia-san. »

 

La brune à l'entente de ce « san » à la fin de son prénom en resta interdite, comme le noble d'ailleurs qui ne put le cacher. Lorsque Ichigo releva son visage, le frère et la sœur le fixaient étrangement.

 

« Pourquoi me regardez-vous ainsi ? J'ai quelque chose sur le visage ou quoi ? »

 

« Non » répondit les deux bruns en cœur.

 

Le roux sentit qu'il avait intérêt à se faire discret et partir tout de suite. Le regard de Rukia ne lui disait rien qui vaille. Elle allait le cuisiner jusqu'à ce qu'il craque.

 

« Mm... Je dois partir aller voir Toshiro ce matin. »

 

Sans plus attendre, il se leva.

 

« Je ne suis pas au courant. Je l'ai vue, hier soir il ne m'a rien dit ! »

 

« Il m'a fait prévenir par un papillon de l'enfer ce matin. C'est d'ailleurs à cause de lui que je ne dors plus ! »

 

À ces mots Byakuya eut un soupir discret. Il était sûr que le roux ne pouvait pas changer en une journée.

 

D'un shyumpo, il disparut de la demeure des Kuchiki.

 

C'est en silence que le frère et la sœur continuèrent leur petit déjeuner chacun plongé dans une grande réflexion sur le comportement du roux.

 

****

 

Ichigo avait quelque peu menti sur le fait qu'il s'était fait réveiller par le papillon de l'enfer de Toshiro. Mais bon ! Il se demandait ce que pouvait lui vouloir le jeune capitaine. C'est d'un pas tranquille qu'il se rendit la capitainerie de la dixième division. Le roux fit tout son possible pour ne plus penser à sa soirée avec le capitaine de la douzième division. Il avait plein de questions sans réponse sur son comportement vis-à-vis de ce fou au corps et au visage sublime. À cette pensée, il ne put s'empêcher de rougir fortement. C'est à ce moment que le hasard lui fit rencontrer Madarame Ikkaku, le troisième siège de la onzième division.

 

« Yo Ichigo t'es malade ? »

 

« Ikkaku ! Non-pourquoi ? »

 

« De loin je t'ai vue devenir tout rouge. Alors, je me posais la question. Au fait où tu vas de si bon matin ? »

 

« Je vais voir Toshiro. Il m'a fait demander. D'ailleurs, il ne faut pas que je traîne car je suis déjà en retard. »

 

Sans plus attendre, il disparut en shyumpo sous les yeux d'Ikkaku.

 

Le bonze se demandait bien pourquoi le roux était si fuyant. Et puis après tout, il s'en fichait. C'est sur cette pensée qu'il retournait à sa division.

 

*******

 

Ichigo se fit discret jusqu'à la dixième Division. Il avait l'impression que ce qu'il a fait était inscrit sur son visage. Il ne souhaitait pas que tout le Sereitei soit au courant de sa mésaventure aussi agréable qu'il eu été.

 

Il débarqua comme à son habitude par la fenêtre.

 

« Yo Toshiro pourquoi tu m’as fait demander ? »

 

« Ne m'appelle pas ainsi, appelle-moi capitaine Hytsugaya ! »

 

« Oui, oui ! Alors ? »

 

« Hum, hum, le commandant ma ordonner de mettre en place un système de classement identique ainsi qu'un moyen de mieux coordonner nos forces lors d'une attaque et cela pour toutes les divisions. »

 

« Quel rapport avec moi ? »

 

« Étant donné quand se moment les attaques d’hollow se font rare sur la ville de Karakura. Ta présence quasi permanente n'est plus nécessaire. Donc, tu es réquisitionné pour m'assister dans cette tâche. »

 

« Mais ... »

 

« Il n'y pas de mais, Kurosaki c'est un ordre du Capitaine commandant. Ta tâche consistera pour l'essentiel de jouer les intermédiaires entre les divisions, d'assurer le relais d'information, de communiquer entre les différents services et de me faire un rapport. »

 

« Matsu... »

 

« Pas la peine de demander, Matsumoto ne sera pas disponible, car elle assurera la gestion de la dixième division. Nous avons deux mois minimum pour mettre tout cela en place. »

 

« Mais cela veut dire que je vais rester à la soul society pendant deux mois sans retourner à Karakura ? »

 

« Ne t'inquiète pas Kuchiki-san sera toujours affecter là bas. ».

 

Ichigo n'était pas du tout rassuré. Il croyait qu'il allait partir d'ici rapidement, cela lui aurait évité de croiser le capitaine de la douzième division. Il ne savait pas comment se comporter. Et surtout si ses amis lui posaient des questions sur le temps passé avec ce fou. Que devait-il répondre ? Il était dans une impasse.

 

Le roux salua Toshiro en lui promettant qu'il serait là tôt demain matin sans faute.

 

Tout en marchand, Ichigo repensa au jour précédent, à ce fameux pari. Tout avait débuté dans la taverne qui se trouvait dans le 70e district du rugonkai. Comme d'habitude, toutes les personnes souhaitant faire la fête étaient présentes. Phénomène rare, car tous les capitaines étaient présents. Cela faisait trois mois qu'Ichigo avait eu dix-neuf ans. Donc, il était tout à fait dans la légalité quant à sa présence dans ce bar. Bon, on disait qu'il était tous présents pour faire la fête. C'était Matsumoto qui fêtait son anniversaire. La soirée était bien avancée et le saké coulait à flot pour le plaisir de certains dont on ne citera pas le nom. Tout à coup, le sujet « stratégie de combat » et « science » fut abordé. Comme vous le savez, cela termina par un pari. Durant la discutions, trois camps s'étaient formés, le premier qui privilégiait de foncer dans le ta, le second qui était pour une bonne stratégie et le troisième qui était partagé. Comme vous vous en doutez le premier camp rassemblait la onzième division et quelques shinigami, le deuxième comptait dans ses rangs la deuxième, la sixième, la neuvième, la dixième et la douzième division et le troisième à n'en pas douter la treizième, la huitième et la septième division. Quant à la quatrième division, elle était neutre. Ichigo au début ne voulait pas participer à la conversation qui à vue de nez commençait à dégénérer. Tout du moins, jusqu'à ce que Mayuri Kurotsuchi ne remette en question son intelligence, car il était, je le cite : «  Toujours bon qu'à foncer dans le combat sans stratégie sans au préalable évaluer le niveau de son adversaire. » À ces mots acerbes que même le noble Kuchiki n'aurait osé faire sortir de sa bouche, tout le monde se tut. Tous attendaient la réaction du roux. Celui-ci ne cilla pas au contraire. Il était habitué à ce que le catalogue de cette manière. Il allait répondre qu'il s'en foutait de ce que l'on pensait de lui, car dans ces cas-là, la plupart du temps il était seul devant l'adversaire. Mais l'intervention du lieutenant Matsumoto Rangiku le prit de vitesse.

 

« Moi je dis, que pour départager tout le monde, pourquoi ne pas faire un pari. Et Ichi sera notre représentant ! »

 

C'est ainsi qu'il se retrouva embarqué au nom de certains dans le laboratoire de la douzième division avec tout ce beau monde. Arrivé là bas, le capitaine Kuchiki demanda quel sera exactement l'enjeu en cas de victoire ou de défaite. C'est à ce moment-là qu'Ichigo vit la lueur de convoitise dans les yeux de ce fou. Il en eut des frissons. Il se demandait bien comment il allait pouvoir s'en sortir indem. Il poussa un long soupir qui passa inaperçu de tous, sauf pour Rukia qui compatissait sincèrement.

 

C'est avec de grands gestes théâtraux que le capitaine de la douzième division présenta son invention qui avait pour but de tester les capacités d'un shinigami lors d'un affrontement avec un arrancar, ou bien lors de diverses situations qui éprouveront sa bravoure, sa force, son intelligence et son sens du devoir. Et c'est dans cette énorme pièce que devait entrer le roux. Après les explications d'usage, Kurotsuchi arriva au point important du pari, l'enjeu du pari, celui qui sur ses seules épaules repose la bourse de certain. : Kurosaki Ichigo.

 

« Si Kurosaki perd, j'aurai le droit de le réquisitionner dans mon laboratoire pour vingt quatre-heures. Et s’il gagne, bien entendu, vous toucherez la cagnotte mise en jeux. »

 

À ces mots, tout le monde présent eut un moment de compassion pour le roux qui malheureusement pour celui-ci ne dura pas très longtemps. À cet instant, il aura souhaité être chez son père et ses sœurs et même avec cet abruti de Kon. Mais son honneur de shinigami était en jeu, donc c'est la tête haute qu'il entra dans l'appareil de ce fou.

 

« C'est bon, qu'en en finisse rapidement. » Souffla Ichigo, mais d'un ton déterminer.

 

Voici comment il fut entraîné dans cette folie.

 

Au bout d'une heure dans la machine infernale, Ichigo Kurosaki était au plus haut de sa forme, il avait passé les épreuves un à un sans difficulté, et tout cela, en suivant son instinct. Tous les parieurs ou presque était aux anges. Mais arrivé au test où l'on éprouvait le sens du devoir du shinigami, Ichigo rata le test d'un cheveu. À ce moment-là, son sens du sacrifice lui fit défaut. La machine le déclara perdant. Quand le résultat tomba, personne ne prit la parole, trop choqué pour cela. Quant à Kurostuchi, il jubilait.

 

Quant au roux, il était dans l'expectative, il ne comprenait pas. C'est d'un pas lent qu'il sortit de la machine de Kurotsuchi. Il leva la tête et constata que plus de la moitié des parieurs étaient partis. Il restait Renji, Byakuya, Ukitake, Toshiro, Hisagi, Ikakku et Yumichika dans le laboratoire. Ils ne comprenaient pas ce qui s'était produit.

 

Kurotsuchi s'avança près du roux et se tourna vers eux.

 

« Ichigo Kurosaki à rater le test, car il n'a pas su mettre en avant le bien commun et à suivre les ordres donnés. Il a effectivement réussi sauver les otages retenue, mais il n'a pas attendu les renforts qui l'auraient pu le soutenir dans le combat et mettre les otages à l'abri. Dans son action, un otage fut blesser et dont lui même, de plus, le hollow à failli détruire tout un village et ses habitants. » Souligna-t-il.

 

« Mais il a quand même réussi ! » Cracha Renji.

 

« Oui. » Approuvèrent les autres.

 

« Mais Kurotsuchi a raison, les probabilités auraient été différentes s'il avait attendu cinq à dix minutes de plus. Il a foncé tête baiser sans réfléchir à plusieurs facteurs, comme les hollows qui étaient plus nombreux, le village qui était tout pré de la zone combat. » Ajouta le noble Kuchiki.

 

« C'est donc moi qui ai gagné le pari. » Dit le scientifique en se frottant les mains. « Donc demain comme prévu je réquisitionne Kurosaki pour vingt-quatre heures dans mon laboratoire. »

 

« Nému raccompagne tout ce beau monde dehors. » Dit-il sans plus de cérémonie, puis il retourna à ces expériences le sourire aux lèvres.

 

Ichigo comme tous les autres rentrèrent dans leurs quartiers. Il avait le moral au plus bas, les paroles de Kuchiki ne cessaient de se tourner en boucle dans sa tête. Ce soir-là, il se remit en question. Puis, il ne souvint pas de s'être réveillé dans sa chambre, mais dans une grotte.

 

Voilà comment il en était arrivé à ce point de sa vie. Sur un malheureux pari qui changea bien des choses.

 

C'est sur cette dernière pensée que le roux se rendit à la sixième division. Il devait s'entraîner au sort de kidô avec Renji qui en passant était aussi nul que lui. De toute façon, il avait besoin de se dépenser physiquement et de penser à autre chose qu'à sa nuit avec Mayuri.

 

Arrivé à la capitainerie, Ichigo se dirigea directement sur le terrain d'entraînement. Lieu où il s'attendait à voir des shinigami s'entraîner et qui dit s'entraîner dit bruit, crie, explosion et autres. Mais il n’y avait rien de tout cela. Il se demandait où ils étaient tous passé. Au loin, il aperçut un shinigami, c'était Rikichi, qu'il interpella.

 

« Eh oh Rikichi. »

 

Ce dernier s'avança vers lui.

 

« Kurosaki qu'est-ce que tu viens faire ici ? »

 

« Renji et moi devions nous entraîner, mais je vois qu'il y a personne. Où sont-ils tous passés ? »

 

« Quelques shinigami de la division, dont le lieutenant Abaraï sont en intervention dans le sud du Rukongai. Quant au capitaine Kuchiki, il assiste à une réunion de son clan et ensuite, une réunion des capitaines, il ne revient à la division qu'en fin de journée. »

 

Ichigo ne cacha pas sa déception au troisième siège, lui qui comptait la dessus pour se changer les idées.

 

« Dit moi Kurosaki quel genre d'entraînement vous deviez faire avec le lieutenant Abaraï ? »

 

« On devait s'entraîner au kidô.»

 

A ces mots, le jeune shinigami ne put cacher son amusement d'imaginer tous les deux entrain de s'entraîner. Mais vu la tête du roux, il eut un peu pitié de lui. Tout le monde, malheureusement savait son niveau au kidô. Il se dit que cela pouvait être un défi pour lui de réussir à lui inculquer les bases du kidô.

 

« Dis-moi Kurosaki si tu es toujours d'accord pour t'entraîner, je peux être ton professeur le temps d'une matinée. Ce matin, je n'ai rien de très important à faire à part quelques papiers administratifs à remplir et je peux les remplir tout en d'assistant. »

 

Ichigo n'en croyait pas ses oreilles, mais bien sûr qu'il était OK.

 

« C'est avec joie que j'accepte ta proposition. »

 

Il était tout comptant d'enfin s'activer. Le troisième siège lui indiqua un arbre plus loin où il pouvait s'asseoir tranquillement.

 

« Bon avant de commencer la pratique, je vais de donner quelques explications et aussi de poser quelques questions afin de connaître tes connaissances sur le sujet. »

 

Ichigo ne voyait pas d'objection à cela. Cela lui semblait plutôt logique.

 

Voyant Kurosaki hocher la tête il commença son explication.

 

« Je vais pour commencer te faire un petit résumé des techniques de shinigami. Comme tu le sais sûrement nous avons quatre formes basiques de combat : le zanjutsu qui est une technique à l'épée, le hakuda qui le combat au corps à corps, le hadou qui est une technique de déplacement et pour finir le kidô qui est la voie de l'esprit. »

 

« D'après ce que je sais, Kurosaki tu maîtrises les trois formes de base du combat pour un shinigami normal, sauf bien sur le kidô. »

 

« C'est exact. »

 

« Peux-tu me dire en quelques mots ce qu'est le kidô ou du moins ce que tu en comprends.»

 

« Le kidô permet de lancer des attaques avec son énergie spirituelle, donc il faut pouvoir concentrer son reiatsu dans sa main. Mais je crois qu'il faut également réciter une phrase d'invocation. »

 

Rikichi poussa un soupir intérieur, car les connaissances du roux étaient incomplètes et bâclées. En fait, toutes étaient à refaire.

 

Ichigo se dit que c'était une chance pour lui d'être tombé par hasard sur ce shinigami.

 

« Ce que tu dis n'est pas faux, mais il manque des informations. Je vais essayer de combler tes lacunes. Donc, le kidô est en fait des sortilèges où soient des arts des démons. Ces techniques reposent en effet sur la concentration d'énergie en un point, ce qui permet de lancer une attaque dévastatrice. C'est pour cela que seuls les shinigami peuvent l'utiliser. Ils se composent donc du Bakudo et du hado. Le Bakudo sont des sorts d'entrave, avec eux tu peux bloquer plus ou moins partiellement la cible et le hado sont des techniques destructrices qui se lancent avec une phrase d'invocation « art destruction nº... »Il agit comme la résonance d'une vague au sein des molécules du corps. Pour faire court, elle produit la source d'énergie individuelle. »

 

« Voilà, est-ce que tu as compris les deux composants du kidô. »

 

« Mm mm, c'est le hado et le Bakudo, mais d'après ce que je sais aussi, tout dépend de la quantité de reiatsu qu’un shinigami dégage. »

 

« Tout a fait. »

 

Ichigo était soufflé. En fait, il a tout compris et facilement. Rikichi a su avec des mots simples réussir ou tout le monde avait échoué. Au début, il avait une vague idée de ce qu'était le kido grâce aux explications de Renji et de Rukia. Bien entendu, lors de ces précédents combats, il avait eu a faire à du kidô de très au niveau. Mais grâce à sa force spirituelle il avait toujours pu s'en sortir dans un combat. Maintenant, il se rendit compte à quel point cela pouvait être important. Pour la première fois, il prit la résolution de maîtriser le kidô.

 

Quant à Rikichi il avait l'impression de voir un enfant découvrir u nouveau jouet. La lueur qu'il vit briller dans les yeux ambre du roux le fit plaisir.

 

« Kurosaki avant toute chose tu dois savoir maîtriser ton reiatsu, ensuite apprendre par cœur les invocations textuellement. Donc je te propose de se revoir dans une semaine pour t'évaluer, après cela tu pourras passer à la pratique. Est-ce que cela te convient ? »

 

« Oui, d'ailleurs je commence à travailler provisoirement avec Toshiro demain matin. Tu sais comment il est ! Donc, cela me convient. »

 

Tous les deux se levèrent et se dirigèrent vers les bureaux. Ichigo resta jusqu'au déjeuner, puis récupéra les sorts de kidô manuscrit pour les apprendre tranquillement.

 

Sur le chemin du retour, il se rendit compte que ces quelques heures passées avec Rikichi lui avaient permis de se détendre. Il avait mis de côté Mayuri Kurotsuchi.

 

*******

 

De son côté, le scientifique de la douzième division était comme à son habitude plongé dans ses expériences. Personne n'aurait pu se douter à l'exception de sa lieutenante que l'esprit du capitaine était troublé. Il avait eu du mal à se concentrer dans son travail et il fit comme toujours passer ses nerfs sur ses hommes. On pouvait qualifier son comportement d'habituel, sauf que là il poussait des soupirs à tout bout de champ. Il avait pensé au début, qu'après avoir le roux dans lit, son esprit passerait à autre chose, mais non. Un scientifique comme lui ne comprenait pas ses réactions face à ce shinigami remplaçant. Dans sa vie, il avait toujours privilégié la science et avait comblé ses besoins sexuels avec des femmes comme des hommes, la chose faite son esprit passait à autre chose. Ce n'était pour lui qu'un besoin secondaire, voire tertiaire. Il oubliait toujours leurs visages. À cette pensée il soupira un énième soupir. C'est à cet instant que Nému vint lui rappeler la réunion des capitaines.

 

 Lorsqu'il pénétra dans la grande salle, tout le monde était déjà présent. Il fut surpris que le capitaine de la sixième division s'approche de lui.

 

« Capitaine Kurotsuchi. »

 

« ... »

 

« Il est de mon devoir de venir vous demander ce que vous avait effectué comme expérience sure le shinigami remplaçant. Il me semble qu'il disparut pendant une journée. Personne dans votre division, même pas votre lieutenant ne savait ou vous étiez passé pendant ces vingt quatre-heures. Et ce matin, j'ai pu m'apercevoir qu'il avait quelques blessures. »

 

« Cela ne vous regarde en rien. »

 

« J'exige d'avoir une réponse où sinon j'informerai le capitaine commandant sur-le-champ. »

 

« Capitaine Kuchiki, il m'avait semblé comme tout le monde ici que vous exécrez Kurosaki Ichigo. À moins que vous vous sentiez coupable d'avoir confirmé le résultat du test, donc ainsi m'avoir permis de gagner le pari en jeu. »

 

« Vous avez faux sur toute la ligne capitaine Kurotsuchi. »

 

« Ah bon, vous croyez. »

 

« Dans tous les cas... »

 

« Je vous arrête tout de suite Kuchiki-san, le capitaine commandant a été informer que le shinigami remplaçant à été réquisitionner pendant vingt-quatre heures dans mes laboratoires et cela avec son accord signé. Et j'ajoute que mes expériences ne vous concernent en rien. »

 

Sur ceux il laissa là pour rejoindre sa place de capitaine, car le commandant fit son entré, mais sans être agacé par l'intervention de ce chef de clan pour le roux.

 

Le capitaine Kuchiki en fit de même, tout en continuant à fixer son homologue. Le noble était frustré de ne pas avoir de réponse concrète. En tout cas, il n'avait plus à s'en faire trop si le capitaine commandant était courant. Mais il restait quand même sur sa fin, car le comportement du roux ce matin lui avait semblé étrange. Le jeune homme semblait distrait. Il fut interrompu dans ses pensées par le commandant Yamamoto.

 

« Capitaine, je vous ai réunis aujourd'hui afin de vous informer qu'il y aura dans les prochains mois une modification des procédures d'urgences. Jusqu'à présent, chaque division avait sa propre procédure. Dorénavant, toutes les divisions s’aligneront sur une même procédure. J'ai assigné à cette tâche le capitaine de la deuxième division Hytsugaya Toshiro qui sera assisté par le shinigami remplaçant Kurosaki Ichigo. »

 

Yamamoto Genryusay laissa un temps d'assimilation aux capitaines, puis enchaîna.

 

« Après la guerre contre Aizen, nous avons renforcé nos pertes, reconstruit ce qui a été détruit, nommez de nouveaux capitaines. Maintenant, il nous faut consolider nos liens. »

 

« Commandant, si je puis me permettre Kurosaki Ichigo est affecté à la ville de Karakura en tant que shinigami remplaçant au vu de son statut actuel. Il est encore vivant si je puis dire. D'ailleurs, il est encore étudiant. » Intervint le capitaine de la treizième division.

 

« Comme a dit Ukitake-san il ne peut pas rester à la Soul Society aussi longtemps. »

 

« Capitaine c'est en raison de son statut particulier que j'ai expressément demandé au capitaine Kurotsuchi d'effectuer un examen approfondi de Kurosaki Ichigo. D'après ses résultats, ce jeune homme peut évoluer dans les deux mondes sans aucun problème physique et mental jusqu'à bien entendu sa mort dans le monde réel. »

 

Le capitaine commandant conclut la réunion en disant qu'une note leur parviendra dans la journée pour détailler l'enjeu de cette procédure et également les objectifs attendus pour chaque division. Ensuite, chacun se dispersa vers leur occupation habituelle.

 

*******

 

Ichigo Kurosaki arriva tôt au bureau de la dizième division comme promis la veille à Toshiro. Celui-ci fut extrêmement surpris, mais se reprit rapidement.

 

« Kurosaki, aujourd'hui tu vas m'aider à classer tous ses documents que tu vois sur mon bureau. Ils viennent de la salle d'archives. Nous allons étudier les précédentes procédures avant que l'actuelle ait été mise en place. »

 

Ichigo poussa un soupir intérieur. Il sentait qu'ils allaient s'amuser. Au moins, pour un début il n'avait pas à courir partout entre les divisions et surtout il n'allait pas pouvoir le rencontrer lui tout de suite. Cela l'arrangea pour le mieux.

 

Il se rendit compte qu'une journée était courte lorsqu’on n’avait pas fini son travail. Maintenant il comprenait pourquoi le jeune capitaine n'arrêtait pas de gueuler sur la pauvre Matsumoto lorsqu'elle s'absentait in considérablement.

 

Ce que cela avait de bien, c'était qu'il en savait davantage sur l'histoire de la soul society et des treize armées de la cour. Et il eu confirmation de ce que Rukia lui avait dit. Les shinigamis ont essentiellement deux rôles distincts. D'une part, ils se doivent de protéger les âmes et les humains sur Terre. D'autre part, ils guident les âmes errantes vers la Soul Society. Ichigo pouvait s'apercevoir qu'il y avait une hiérarchie bien l’huiler derrière. Lui, qui surtout avait toujours foncer dans le ta, voyait maintenant le côté lourd de l'administration. De plus, chaque division avait des fonctions bien précises. Par exemple, la quatrième division qui était le corps médical, la douzième division qui était les recherches et développement technologique et la onzième qui était plus portée sur les combats en première ligne. Bien sûr, je ne cite que cela. Donc, on pouvait dire que chaque division se coordonnait bien. Sauf, que chacun avait l'habitude d'agir seul. Les informations arrêtaient de circuler. Toshiro et lui, devaient rassembler le tout dans une seul procédure dans différent situation. Ichigo souriait seul le soir dans son futon en y pensant. Il avoue qu'il n'avait imaginer faire cela un jour. A son avis il n'était pas le seul à en rire.Et en y pensant cela faisait maintenant deux semaines qu'il assistait Toshiro, et au bout d'un certain temps, tous les deux étaient tombés dans une routine assez familière. Il arrivait même qu'Ichigo donnât son avis sur un ou telle question. Quant à sa progression au kidô cela se faisait normalement. Il avait réussi à mémoriser deux sorts de hado et une de Bakudo. Rikichi y était pour beaucoup, il l'avait beaucoup conseillé. Renji lui, il ne l'avait que le croiser quelques fois quand il se rendait à la sixième division. Le pauvre avait l'air d'être débordé ou s'était tout simplement lui. Il avait eu des nouvelles de Rukia récemment. Celle-ci tentait toujours d'avoir le fin mot de l'histoire sur son séjour à la douzième, mais il tint bon et l'envoya voir ailleurs. Il n'avait pas envie de repenser à ses sentiments, à penser à lui. D'ailleurs, il ne l'avait pas revue depuis, et à chaque fois qu'il se rendait à la douzième division il se confrontait toujours à Nemu sa lieutenante.

 

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30 juillet 2011 6 30 /07 /juillet /2011 10:33

Salut à tous !

 

 

Je suis désolé , tout simplement désolé de ne pouvoir publier la suite de la fiction "Le Code Rouge". Les corrections n'étant pas fini je la met de côté. De plus, dans trois jours je pars en vacance pour 15 jours et puis je reprend le boulot directe. Ces derniers temps je n'ai pas eu le temps de me poser correctement pour tapper quelques lignes. C'est triste ! En tout cas, je remercie tous ceux qui m'on laisser un ou des commentaires, cela me fait très plaisir !

La bonne nouvelle c'est que je vais assister au mariage de mon frère à Lyon le week end prochain, puis je monte à Paris. Peut être que dans l'avion j'aurai des idées pour des ones shots, qui c'est !

 

Je vous dis à dans 15 jours et pour ceux qui sont déjà en vacance, profiter-en !

 

 

Eiram-sama

 

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10 juin 2011 5 10 /06 /juin /2011 17:42

Bonsoir à tous !

 

Voici quelques nouvelles :

 

Le Code Rouge est toujours en cours d'écriture, le chapitre 9 est en attente de publication et le chapitre 10 est en cours. J'ai décidé de publier deux chapitres en même temps entre juin et juillet.

 

Je me suis rendu compte que j'avais plusieurs fic sur le feu, j'ai voulu aller trop vite en besogne. Maleureusement mes doigts ne suivent pas la vitesse de mon imagination ! Que dire ! Je me suis dit "stop", "une fic à la fois" pas de précipitation ! J'ai été quelque peu dissiper ces derniers mois. Donc maintenant je me recentre sur l'essentiel qui est de finir les projets en cours.

 

Je m'excuse auprès de vous pour l'irrugularité de mes publications.

 

Je remercie également tous ceux qui m'on laisser des commentaires. J'oublie parfois d'y répondre, mais je me ratrape lors des news !

 

Je remercie également tous ceux qui lisent mes fic ou tout s'implement ceux qui s'attarde sur mon blog.

 

Voilà ! je vous quite avec une citation à moi : "L'écriture est une aventure aussi bien que le récit en lui même, ou il faut autant de courage et de patience pour en voir la fin !"

 

Eiram-sama

 

 

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13 avril 2011 3 13 /04 /avril /2011 14:03

 

CHAPITRE VII

La surprise Partie 2

 

 

Pendant ce temps chez Urahara, la famille Kurosaki, ainsi que les amis du rouquin étaient tous rentrés chez eux. Les uns sur terre et les autres à la Soul Society. Mais tous n'allaient pas dormir tout de suite, principalement deux lieutenants qui s'étaient fait remarquer par leur baiser enflammer. Mais cela est une autre histoire ! Revenons, chez le scientifique blond. Blond qui se retrouvait avec tous à ranger. Il avait fait la bêtise de donner congé à ses fidèles employé. Erreur, erreur ! Cela mise à part, il était de bonne humeur, car il avait eu ce qu'il voulait. Il avait contracté une bonne affaire. Avec le noble il avait obtenu un droit d'entré à la Soul Society, mais aussi la possibilité de consulté les archives. Chose qu'il ne pouvait faire auparavant, car celle-ci était protéger par un sort puissant que seule la famille Kuchiki avait la clé, car gardien de l'histoire de la Soul Society. La négociation avait difficile. Il fallait croire que le noble était vraiment mordu. D'ailleurs, il se demandait encore comment cela avait été possible. Pour un étranger, il ne pouvait pas se sentir. L'amour ! Il faut croire qu'il avait encore un côté fleur bleu.

 

Kisuke riait seul de ses pensées, lorsqu'il reçu son éventail sur la tête.

 

« Aie ! »

 

« Crois-moi-tu mérite plus, sale manipulateur. » Siffla la femme chat.

 

« Hein! »

 

« Ne fait pas l'innocent. » Dit-elle tout en l'empoignant par le col de son shikahusho.

 

« Franchement je... »

 

« Quel était le véritable but de cette fête ? Bien sur à part d'accoquiner Ichi avec Bya ! » Hurla-t-elle tout en secouant.

 

« Chaton... »

 

« N'essaye pas de m'amadouer Kisuke Urahara ! »

 

« C'est...bon...c'est bon, je...vais tout te diiire. Mais...lâche...moiiiii. »

 

Yoruichi le lâche brusquement et mis ses mains sur ses hanches et attendit.

 

Kisuke avait oublié que parfois Yoruichi faisait peur.

 

« Les archives de la Soul Society. » 

 

« ... »

 

« La famille Kuchiki a la garde de l'histoire de la Soul Society. » 

 

« ... »

 

« Je veux juste vérifier une prophétie qu'un jour un vieux shinigami condamner par Yamamoto m'en à parler juste avant de mourir. »

 

« ... »

 

« Tu sais que tu ne m'aide pas. »

 

« T'en as pas besoin. »

 

« Bon la prophétie disait : « Un jour arrivera le véritable héritier de la Soul Society et de la dimension du roi, mais il règnera également dans le monde réelle. Il réunira les trois mondes. Ses pouvoirs n'aura nulle autre égale. »

 

« Et qu'est-ce que cela à avoir Ichigo ? »

 

« Cela à tout avoir au contraire ! »

 

« Explique. »

 

« Désolé je ne peux tout de dire, car je trahirai un secret que j'ai jurée de garder. »

 

« À qui tu as fait cette promesse ? » 

 

« Je ne... »

 

« Mmh »

 

« Bon. C'est Masaki Kurosaki. »

 

« Quoi ! »

 

« ... »

 

Un long silence fit place entre eux, chacun plongé dans ses pensées. Yoruichi elle encaissa ces révélations du mieux qu'elle pu. Apparemment elle ne cessait de découvrir des choses. Ichi l'étonnera toujours.

 

Elle fit demi-tour pour partir un sourire aux lèvres.

 

« Tu ne vas tout de même pas partir en me laissant comme cela ! »

 

Elle éclat de rire et s'enfuit en shyumpo.

 

Kisuke reconnaissait bien la Yoruichi. Maintenant il lui restait à tout ranger.

 

« Aller le génie courage ! » se dit-il pour s'encourager.

 

******

 

Au manoir des Kuchiki, Ichigo et Byakuya dinaient tranquillement. Le repas se déroula sereinement. Les sujets de conversation étaient riches et varié. Chacun évitait le sujet sensible pour le moment, leurs sentiments. Ils savaient aussi bien l'un que l'autre qu'ils devaient profiter au maximum de ces moments aussi simple soit-il.

 

Après le repas, ils allèrent prendre place dans le jardin près du bassin des carpes koy. L'air était fraîche et pur, la lune était à son zénith et resplendissait. C'était une nuit calme. Discrètement les gardes faisaient leur ronde de nuit. Le noble avait tellement attendu ce moment, être enfin avec le roux, même si pour le moment il ne l'avait pas encore touché. En tout cas pas comme il aurait voulu. Il y avait eu quelques effleurements. Depuis l'arrivée du roux, il ne cessait de l'observer. Ichigo était magnifique, il se dégageait de lui une force indomptable, et une sérénité qu'il n'avait lorsqu'ils étaient rencontrés pour la première fois au mont Hokyoku. Il a prit quelques centimètres en plus. Il le dépassait même d'un cheveu. Son corps était celui d'un homme dans la force de l'âge. Ses cheveux étaient aussi indisciplinés. Byakuya avait également remarqué qu'Ichigo portait une boucle à l'oreille de couleur bleu. Elle était fine et discret. Son maintient également avait changé. Tous chez lui respirait la noblesse et même plus. Malgré ces quelques changements le roux n'avait pas changé dans le fond. Il avait toujours son franc parlé un peu brut du décoffrage. Il était chaleureux et faisait tout pour que son entourage se sente bien et cela malgré ces ronchonne ries.

 

Byakuya avait l'impression que cette soirée d'anniversaire est beaucoup plus une surprise pour lui. Il avait la joie de redécouvrir le roux. Son regard sur lui avait encore changé. Un lien fort existait entre eux. Il n'arrivait pas le définir. Les paroles d'Isshin lui revinrent en mémoire. Il le croyait être le seul à pouvoir canaliser son fils et peut être bien plus. En tout cas, tous deux passaient un agréablement moment. C'est silencieusement que d'un commun accord ils se levèrent pour se promener. Tout à coup le noble s'arrêta de marcher et fixa sa main droite. Main qu'Ichigo avait entrelacée entre ses doigts.

 

« Bya ? » 

 

« ... »

 

Le doux sourire qu'affichait le roux le combla. Il ne pu aligner un mot. Son coeur battait à un rythme effrayante.

 

« Ichi. »

 

« Si on rentrait, il commence à faire frisquet dehors. »

 

« Mm. »

 

C'est main dans la main qu'ils rentrèrent. Les serviteurs se firent discrets à leur passage. Pour certain, il ne pure que montrer leur respect à l'homme qu'était devenu Ichigo. Tous ressentaient le changement. Il émanait de lui une aura apaisante et une force nulle commune. Ils se souvenaient d'un jeune fougueux et impétueux.

 

Quant à Ichigo il se sentait apaiser. Il n'aurait pu imaginer meilleur soirée d'anniversaire. Son cadeau lui plaisait indéniablement. Byakuya, l'homme qu'il aimait était près de lui. Mais il eu un pincement au coeur en pensant qu'il pouvait le perdre s'il apprenait sa ligné royale. Il était réaliste, lorsque tous apprendra la vérité, leur comportement changera et cela il ne le souhaitait pas. Il se morigéna de se perdre dans ses inquiétudes. Il devait penser au moment présent. Il n'avait qu’à suivre son instinct. Il le devait.

 

C'est pensif qu'il se retrouva dans la chambre du noble. Le moment de surprise passé, il observa le noble évoluer dans son environnement. Byakuya avait ouvert le shoji donnant sur le jardin. Ichigo le trouva magnifique ainsi. À pas de velours il se mit derrière lui et l'enlaçant tendrement. Il enfoui son visage dans le creux de son coup.

 

« Byakuya, merci pour cette soirée. » 

 

« Ce n'est pas moi qu'il faut remercier, mais tes amis. »

 

« Mes amis son précieux à mes yeux, mais pas autant que toi dans mon coeur. »

 

« Ichigo... »

 

« Attend, écoute moi. Il y a des choses qu'il faut que tu sache, non plutôt que j'ai besoin de te dire. »

 

Le noble alla se retourner vers lui, mais il resserra son étreinte tendrement. Le noble n'eut d'autre choix qu’acquiescer silencieusement.

 

« Je sais que je suis encore jeune, que je n'ai guère d'expérience dans le domaine du coeur. Je ne suis même jamais intéresser aux filles ni aux garçons. Par la force des choses et grâce à ta soeur je suis devenu shinigami. Je me suis battu et je me battrai encore, pour ma famille, mes amis et les êtres qui ne le peuvent pas eux-mêmes. Je suis fidèle dans mes choix et je le resterai quoi qu'il arrive. Depuis toujours je me suis fier à mon instinct. »

 

Byakuya écouta le roux attentivement, tout en essaya de deviner ce qu'Ichigo cherchait à lui dire.

 

« Avant mon anniversaire j'étais quelques peu distrait. Je me posais des millier de question sur mes sentiments pour toi. C'est ainsi que je me suis fais surprendre par l’espada numéro six Grimmjow Jaggerjack. Ce jour là j'avais décidé de venir de parler directement. »

 

« Ichi... »

 

« Non. Laisse-moi finir. » Murmura t-il. « C'est pendant ma convalescence que je me suis rendu compte que le lien qui nous unie est très fort. Inconsciemment je l’avais déjà accepté. »

 

Petit silence.

 

« Sache que le jour de mon anniversaire ma destiné à été irrémédiablement changer. Pour le moment je suis incapable de te dire en quoi. Je sais qu'il faut que je fasse encore le point dessus. »

 

Délicatement il retourna le noble et pris son visage afin de le regarder dans les yeux. Ichigo avait l'impression de se perdre dans ce regard. Ce regard qui était remplit de tant d'amour qu'il doutait le mériter.

 

« Byakuya Kuchiki je suis amoureux de toi. Je t'aime. En sachant cela acceptes-tu mes sentiments pour toi ? »

 

Le noble n'en revenait pas. On pouvait dire qu'il était tout chamboulé. Jamais au grand jamais on lui avait fait une déclaration d'amour si si, il n'avait même pas de mot tant il était ému. Le silence du noble mettait à bout de nerf le roux.

 

« Bya... »

 

Il ne put finir, car le noble avait saisie sa bouche pour un baiser tendre et doux.

 

« Ichigo je t'aime et je prends tout de toi. Sans que je m'y attende tu as su conquérir mon coeur. Je ne pourrais pas te promettre le bonheur absolu et une vie sans douleur et larme. Mais sache que je serais toujours présent pour toi comme j'espère tu le seras pour moi. »

 

Byakyua ri puis ajouta : « Avant cet incident je ne souhaitais qu'une chose c'était te possédé corps et arme et assouvir mon désir pour toi. Tout en pensant quand faisant cela je pourrais d'oublier, d'effacer de mon coeur, je croyais à une passade. Mais te voyant inconscient et peut être mort, mon coeur c'est arrêté de battre et j'ai su. »

 

Le roux était heureux, il se sentait tout léger à présent. Il ressentait également le bonheur de Zangetsu et Shiro. Des deux c'était Shiro qui pleurait.

 

C'est ainsi qu'ils s'enlacèrent.

 

********

 

Plus tard dans la soirée, quelque part dans le cimetière de Karakura, près de la tombe de Masaki Kurosaki, deux ombres se tenaient debout l'un en face de l'autre. Ces deux personnes portaient chacun un cap noir qui cachait leur identité, mais chacun savait qui était l'autre.

 

« Cela faisait bien longtemps qu'on ne s'était vue, n'est-ce pas ? » murmura l'homme qui portait des guettas.

 

« L'heure n'est pas au souvenir. Ses pouvoirs et sa ligné lui ont été révélés comme prévue il y a longtemps. Maintenant il faut le préparer à sa destiné. » Dit la femme d'un ton dure.

 

« Je ne te connaissais pas ce côté ma chère, dure, froide et impitoyable. »

 

« Le temps de la douceur est révolu. »

 

L'homme poussa un soupir résolu.

 

« Je regrette ce que tu es devenu. Si Isshin savait pour elle il serait... »

 

« Non, tu me la promis il y a longtemps de garder ce secret. Une promesse est une promesse. »

 

Il poussa un autre soupir.

 

« Bien, ma chère, si c'est toujours votre volonté. »

 

« Oui, mais revenons à l'essentiel. N'oubliez pas qu'il ne devra pas s'unir à quiconque avant un an. Même à son âme soeur, avant que ses pouvoirs ne soient arrivé à maturité, sinon il perdrait à jamais. »

 

« Vous n'oubliez pas qu'il est unique et que jusqu'à présent il à tout fait plus vite que les autres. »

 

« Mais pour en être sur il vaut mieux patienter un an. »

 

« Ce sera dure. »

 

« Ne vous inquiété pas, j'ai scellé une ceinture de chasteté à Ichigo à sa naissance. Le jour où il dévoilera ses sentiments à son âme soeur et si c'est réciproque, le sceau s'activera. »

 

« Quoi ! ! Vous avez osé lui faire ça ! »

 

« Ne vous inquiété pas, lorsque le sceau s'activera, il scellera également son âme soeur. »

 

« On peut dire que vous avez pensé à tout. »

 

« Non pas à tout. Car c'est vous qui vous occuperez des imprévues. Mon cher je dois vous laissez. Je me suis même trop attardez en ces lieux. Tenez-moi informé régulièrement. »

 

« Mm hai, hai. »

 

L'ombre de la femme disparu dans la nuit sans un bruit. L'homme se disait que les tâches qui l'attendaient seront délicates, surtout que l'intérêt de plusieurs personnes avait été réveillé. Il se tourna vers la tombe et dit dans un murmure avant de disparaître à son tour : « Veille bien sur ton fils Masaki. »

 

********

 

Les deux hommes ne s'étaient pas rendu compte du halo étrange de couleur bleu qui les entourait. Chacun sans rien comprendre tomba inconscient à même le sol. Quelques minutes plus tard, Shiro, Zamngetsu et Zenbonzakura apparurent auprès d’eux.

 

« Eh bien, he bien ! Si c'est pas beau tout ça ! N'est-ce pas touchant ! »

 

« ... »

 

« ... »

 

« Je voie que l'émotion vous étouffe vous deux ! » S'esclaffa le hollow.

 

Sans un mot les deux zampakuto transportèrent leur maître sur le futon du noble. Ils les installèrent confortablement. Voyant que personne n'écoutait ses jérémiades, Shiro alla prendre l'air à l'extérieur en grognant.

 

Tout trois s'installèrent confortablement avec du saké à l'extérieur. Ce n’était pas tout les jours qu'ils pouvaient en profité.

 

La nuit se déroula calmement avec trois « anges gardiens » veillant sur le sommeille réparateur des deux tourtereaux.

 

********

 

Byakuya sentait une douce chaleur l'envelopper, il se sentait bien. Délicatement il ouvrit les yeux. Il fut surpris, il se retrouva dans un monde intérieur sans aucun doute là-dessus. Comment pouvait-il se retrouver dans un tel endroit ? Un ciel d'un bleu pur, des grattes ciel partout, une douce brise lui caressait le visage. Cette endroit lui paru familier. Mais il ne voyait pas comment.

 

« Je suis ravie de vous rencontré Byakuya Kuchiki. Vous ressemblez à votre père dans sa jeunesse. »

 

Le noble se retourna sur lui même, mais il ne vit personne autour de lui, il ne ressentait pas cette présence comme hostile.

 

« Qui êtes-vous ? »

 

Un vent plus fort se leva, une silhouette commença à se former, trouble et plus nette ensuite. Une femme apparu, très belle, rousse. San visage lui semblait familier.

 

Voyant l'air interrogateur du noble, la femme ne pu s'empêcher de sourire. Elle décida de se présenter.

 

« Je suis Masaki Kurosaki. »

 

« Comment est-ce possible ? »

 

« Je n'ai que très peu de temps devant moi. Alors écouté moi attentivement. Vous êtes dans le monde intérieur de mon fils Ichigo. »

 

« Mais où sont zanpakuto et son hollow ? »

 

« Ne vous inquiétez pas à leurs sujet. »

 

« Où est Ichigo si je suis dans son monde intérieur ? »

 

« Pour un noble de votre réputation, vous parlez beaucoup jeune homme ! »

 

Byakuya se repris et lui signe de continuer de parler. Il fut quelque peu vexer d'entendre cette remarque.

 

« Bien, pour répondre à votre question, mon fils est en train de dormir pour le moment. Vous êtes tous deux tomber dans un sommeil profond causé par l'activation d'un sceau qui a été apposer à mon fils lors de sa naissance. Ce sceau est en quelque sort une ceinture de chasteté. Elle c'est activé car mon fils à trouver son âme soeur. »

 

« Mais pourquoi ce sceau ? Et ... »

 

« Le sceau c'est lié à vous également. »

 

« Cela veut dire que... »

 

« Oui. Et le pourquoi ne peut être encore dévoilé. Mais je suis sur que vous le devinerez bientôt. »

 

« Ichigo le sait-il ? » 

 

« Non. »

 

 Pourquoi me faire venir ici ? »

 

« C'est simple, je voulais que vous le sachiez afin que vous soyez là lorsque mon fils aura besoin de vous, de votre soutien, de votre amour. Je sais que vous vous posez de nombreuses questions. Certaines réponses vous seront dévoilé ne vous inquiété pas Byakuya Kuchiki. Et sachez que sa durée dépendra que de mon fils »

 

« Mais... »

 

« Je vous le confie, veuillez sur lui. »

 

Byakuya rouvrit brutalement ces yeux. Il était à nouveau chez lui. Ichigo était allongé près de lui et dormait paisiblement. Il était encore troublé de sa rencontre avec la mère du roux. À n'en pas douté ils se ressemblaient. Il se fit la promesse de toujours veillez sur lui et sur leur amour. C'est sur cette résolution qu'il s'endormit en enlaçant le roux.

 

********

 

Le soleil se leva tant sur la Soul Society que sur la vielle de Karakura. Tous avaient eu le réveil difficile, sauf bien entendu un couple nouvellement former. Il faut dire que chacun avait fait le fête jusqu'à plus tard, même que rentré au Sereitei, certain lieutenant avait continué leur cuite. D'autre dirait que c'était une journée normal avec un réveil normal pour certain. À Karakura, Isshin pris le petit déjeuner que sa fille Yuzu avait préparé sous l'indifférence de sa fille Karin. Les deux jeunes filles allèrent à leur école tandis que leur père se rendit à sa clinique. Chez Urahara, Jinta, Ururu et Tessaï rentra dans le magasin pour trouvez leur chef aussi joyeux qu'à son habitude. À la Soul Society le lieutenant de la première division Sasakibe Chojiro se présenta à la demeure du clan Kuchiki et demanda à voir Ichigo Kurasaki à la demande du commandant Yamamoto Genruisei.

 

C'est discrètement que se rendit une des domestiques aux appartements privés du noble, tout en espérant avoir bon accueil.

 

Dans la chambre Ichigo était réveillé depuis un moment et n'avait de cesse d'admirer son amoureux dormir, tout en repensant à ces quelques jours écoulés. Il se demandait quel comportement il devait avoir maintenant qu'ils étaient avoués leurs sentiments. Il ne savait ce qu'avait décidé Byakuya par rapport à son clan et surtout par rapport au commandant Yamamoto. Est-ce qu'il pouvait exposer leur relation au grand jour ? C'est sur ses interrogations qu'il entendit un léger bruissement derrière le shoji, puis doucement celui-ci s'ouvrit juste un peu. Une servante se tenait juste derrière.

 

« Kuchiki-sama ? »

 

« Chuute, doucement. »

 

Reconnaissant la voie de l'invité de son maître, celle-ci murmura : « Kurosaki-sama le lieutenant de la première division Sasakibe Chojiro demande à vous voir tout de suite et en urgence. »

 

Ichigo fut surpris.

 

« Mm, dit lui de m'attendre dans le jardin, juste le temps de me rafraîchir. »

 

« Oui Kurosaki-sama. »

 

La servante partie Ichigo se leva doucement du futon. Avant de partir, il lui fit un doux baiser.

 

Il se prépara rapidement et se rendit dans le jardin l'air interrogateur inscrit sur son visage. À sa vue le lieutenant le salua rapidement.

 

« Kurosaki Ichigo vous sachant à la Soul Society le Commandant Yamamoto vous convoque immédiatement dans sa division. »

 

« Pourquoi ? »

 

« Vous le saurez si vous venez. »

 

« Bien. »

 

********

 

Ichigo se tenait droit et fixait le Commandant en silence en attendant qu'il termine de signer les documents que son troisième siège lui avait apporté juste à son arrivée. Il se demandait bien pourquoi le vieux l'avait convoqué. Il était quelque peu frustrer, il n'avait pas pu profiter du réveil du noble. Jusqu'à présent il n'y avait pas eu de problème qui porte à conséquence à part l'apparition de deux espadas le jour de son anniversaire. Il avait intérêt à se la jouer fine vue comme le vieux avait un esprit affuter comme une lame à double tranchant. Surtout qu'il fallait absolument que personne ne sache qui il était réellement.

 

Le roux était tellement pencher dans ses pensées qu'il ne s'était pas aperçu que le vieux en question le détaillait de haut en bas.

 

Yamaji était surpris de trouver un jeune homme calme et poser devant lui. À son souvenir le shinigami remplaçant était fougueux, impétueux et toujours prêt à foncer dans un combat. Et surtout il avait une grande gueule et avait tendance à ne pas obéir aux ordres. Le jeune Kurosaki était devenu mature apparemment, quoique il fallait se méfier. Il avait souvenir d'un autre jeune homme identique sauf qu'il était brun. On peu dire que le fruit n'était pas tombé de l'arbre.

 

« Kurosaki Ichigo, j'ai eu un rapport me faisant état de l'intrusion de deux arrancars dans le monde humain et cela dans le seul but de vous kidnapper. »

 

Ses paroles eu tôt fait de ramener le roux dans la réalité.

 

« Mmm »

 

« Encore aujourd'hui nous ne savons qu'elles ont été leurs objectifs premier. Pourquoi ce traître s'intéresse à vous, de plus est le jour de votre anniversaire. »

 

« ... »

 

« On m'a rapporté également que vous avez réussit à les battre, mais que vous avez été gravement blessé. Je peux constater que vous allez mieux. »

 

« ... »

 

« Qu'est-ce que vous avez dire concernant ce rapport ? »

 

« Rien, le rapport que vous avez lu est exactement ce qui s'est passé. Moi aussi je me demande encore pourquoi il en avait après moi. »

 

« Kurosaki je veux que vous soyez sur votre garde. »

 

« Oui, bien sur. »

 

« Vous pouvez disposer. »

 

Ichigo s'inclina rapidement et fit demi-tour.

 

« J'oubliais, il va de sois que votre relation avec le capitaine Kuchiki reste discrète tant qu'elle ne soit pas officialiser par la chambre des 46. »

 

« Mais...' »

 

« Sachez jeune homme que je suis au courant de tous ce qui se passe ici, de plus j'ai connu votre père ! »

 

Ichigo n'eut pas l'occasion de dire quoique ce soit que le vieux s'était éclipsé. Il fut troublé par les paroles de Yamaji concernant son père et encore plus pour lui et Byakuya. Il se demandait bien par qu'elle moyen il l'avait su. Mais il oublia rapidement tous cela en réalisant qu'en quelque sort sa relation avec le noble avait eu le consentement du Commandant lui même. Et cela lui enlevait un poids des épaules. Mais il restait encore le problème du clan Kuchiki. Il était persuadé qu'il n'allait pas accepter cette situation. Ichigo voyait déjà se profiler lui devant les arguments qu'il allait entendre.

 

« Byakuya-sama c'est un homme, enfin ! De plus, ce n'est pas un noble, il est humain et ce n'est qu'un shinigami remplaçant. Nous allons être la risé de tout le Sereitei. Nous allons être déshonorés ! N'oublier pas que vous avez le devoir d'amener le clan au sommet, etc. Et patati et patata... »

 

À ces pensées Shiro ne pu s'empêcher de rire. « À mon roi ce serait un plaisir pour moi de tous les détroussées ces coincés du cul ! »

 

Le fait d'imaginer la scène Ichigo ne pu s'empêcher également de rire. Ce qui lui attira les regards de certain shinigami. Il s'en foutait royalement, car il était tout heureux. Il hâta ses pas pour arriver dans les bras de son noble de petit ami.

 

******

 

Dans la demeure des kuchiki, Byakuya eu la désagréable surprise de s'être réveillé seul. Il s'était même demandé s’il n’avait pas rêvé. Mais le yakuta que le roux avait porté la veille était plié sur un meuble. Il alla se rafraîchir, s'habilla et se rendit sur la terrasse afin de prendre son petit déjeuner en espérant y trouver Ichigo. C'est distraitement qu'il s'y rendit. Il repensa encore une fois à ce que lui avait dit la mère d'Ichigo. Moralement il se demandait s’il allait pouvoir le supporter. Il avait tant rêvé de la posséder corps et âme. Il faudrait qu'il se renseigne.

 

Dans un couloir il fut interpellé par un des serviteurs.

 

« Bonjour Byakuya-sama. »

 

« ... »

 

« Je vous informe que le jeune Kurosaki c'est rendu tôt ce matin dans le bureau du Commandant à sa demande expresse. Le lieutenant Sasakibe Chojiro est venu l'escorter lui même. »

 

« Pourquoi n'ai-je pas été prévenu plus tôt. »

 

« Kurosaki-sama nous l'a expressément interdit Byakuya-sama »

 

« ... »

 

Le serviteur se retira rapidement, car l'aura froide qui entourait son maître lui donna des frissons.

 

Byakuya était mécontent, mais il se reprit bien vite. De toute façon sa colère n'avait pas lieu d'être. Il savait bien que le Commandant avait sans doute voulu avoir confirmation des rapports sur le dernier incident de la bouche de l'intéressé lui-même. Mais il aurait aimé qu'Ichigo le réveille avant de partir. De plus, il avait donner l'ordre à tous le personnels d'obéir à Ichigo comme si c’était lui.

 

D'un mouvement souple il s'installa à table et pris son petit déjeuner en silence.

 

Tout à coup le noble sentit une douce étreinte du roux qui s'était faufilé discrètement derrière lui.

 

« Bonjour. »

 

« Bonjour. »

 

« J'avais espérer que tu dormais encore. »

 

« ... »

 

« Figure toi que nous avons la bénédiction du Commandant à condition de rester discret. »

 

« Comment ! »

 

« Maintenant j'ai toute ton attention Byakuya Kuchiki. »

 

Ichigo lui vola un baiser et partit s'assoir en face de lui. Tout sourire il lui conta son entretien avec Soutaicho. Mais au lieu de voir Byakuya se détendre cela fut tout le contraire. Il le sentait inquiet.

 

« Bya, ne brûlons pas les étapes. C'est déjà bien qu'il le sache et peut importe comment. Ce sera un atout dans notre manche fasse à ton clan, tu ne crois pas ? »

 

Le brun fut surpris qu'Ichigo est compris son inquiétude fasse à la réaction de certain dans le clan. C'était même un miracle qu'il ne l'on pas encore convoquer à une réunion. Ses derniers temps ils le poussaient à participer à des Omiai. Et le fait qu'Ichigo soit encore humain, encore moins noble ne jouait pas en sa faveur. Être le chef de clan parfois lui pesait. Il poussa un long soupir. Il sentit le contact d'une main chaude lui serrer la main au dessus de la table. Levant la tête, les sentiments qu'il lisait dans le regard d'ambre du roux lui réchauffèrent le coeur. Il se sentit apaiser. Un doux sourire apparu à ses lèvres.

 

« Merci. »

 

« N'oublie pas, on est deux maintenant. »

 

Il hocha la tête et invita le roux à déjeuner.

 

C'est ainsi qu'un cap fut franchi, car des sentiments ont été avoué, des secrets ont été révélé, d'autres cachés dans la nuit. Toutes les pièces du puzzle rassemblé sur la même table de jeu. Les pions du destin ont commencés leurs œuvres.

 

C'est ainsi qu'un simple anniversaire mouvementé nous révéla bien des choses.

 

 

Fin

 

Ecrit par Eiram-sama

 

 

 

 

 

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25 mars 2011 5 25 /03 /mars /2011 14:32

Bonjour à tous !

 

Cela faisait très longtemps ! En tout cas pour moi. Il faut dire que les Kamis n'étaient pas avec moi, car il y un mois et demi il y eu un gros orage et éclair et cela à cramer mon écran (j'étais absente de la maison). Pour rajouter à cella mon portable avait choper un virus assez résistant. Pour résumé je n'avais plus accés à mes brouillons et les chapitres déjà écrit. D'ailleur j'ai perdu quelques fichiers. Mais je m'en remettrais ! Sourions, sourions ! Car quand je pense à ce qu'a subit et subit encore le Japon mes petits problèmes ce n'est rien.

 

Je tenais à remercier les personnes qui m'ont laissés des commentaires, cela me fais plaisir. Je tiens également à rassurer mes lectrices et lecteurs que je reprendrais les publications au mois d'avril. Et  surtout j'avais promis la fin d'Anniversaire mouvementée et la suite Le Code Rouge. Je sais qu'il faut toujours et dans les meilleurs cas essayer de tenir ses promesses.

J'ai l'espoir que cela vous plaira.

 

Je vous dis à bientôt ! ! ! !

 

Eiram.

 

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29 janvier 2011 6 29 /01 /janvier /2011 21:40

 

One shot

Rating: T

Disclaimer : Mashashi Kichimoto

Titre : Sasuke et le baiser inoubliable

 

 

Sasuke se leva de méchante humeur se matin-là. Il avait passé une terrible soirée. Naruto n'avait pas arrêté de le charrier. Il en avait eu assez et il était partie calmer sa colère sur le terrain d'entraînement. Sakura aussi n'avait pas arrêté de lui jeter des regards plus qu'étranges. Bon sang, il ne comprenait pas ce qui lui arrivait en ce moment. Ses coéquipiers voyaient bien qu'il n'était pas dans son état normal. Depuis un mois, oui un mois aujourd'hui que cet événement irréelle l'avait plongé dans le doute. Il ne cessait de penser à lui. À la sensation de ces douces lèvres sur les siennes. C'est vrai que c'était un baiser accidentel, non préméditer. Du moins, c'est ce qu'il croyait. En tout cas pas par lui.

 

FLASH BACH

 

Ils étaient tous invités chez Neji pour fêter une mission particulièrement difficile qui avait pris fin récemment. Le bonheur humeur était l'invité d'honneur. Le saké coulait à flots. Ils étaient tous Jounin, maintenant. Et certains, étaient AMBU, comme lui. Contre toute attente, c'était Naruto qui était capitaine AMBU. À son grand étonnement, Naruto était efficace dans son travail. Mais passons. Pour se situer dans le temps on était la deuxième semaine du mois de janvier. On était juste après les fêtes et il restait encore quelques décorations ici et là dans l'appartement de Neji. Il faut dire qu'après les fêtes ils étaient, lui, Shino et Shikamaru partit en mission de rang S qui s'avérait être de rang A, donc il n'avait pas eu le temps de les enlevés. Et ceci fut la cause du désarroi du beau brun à l'heure actuelle. Pourquoi ? Vous vous le demandez ? Eh bien, voilà, la soirée se déroulait à merveille jusqu'au moment ou par un heureux ou malheureux hasard (chacun son point de vue) les deux bruns se retrouvèrent sous une branche de Gui qui avait été placé entre la cuisine et le salon. Tout aurait pu se passer dans le silence et l'ignorance, ni vue ni connue si un certain blond n'avait pas ouvert sa grande bouche. Sasuke crut voir de la surprise sur le visage de Neji qui fut vite remplacé par son impassibilité habituelle. Apparemment, cette chose ne devait pas se trouver là. Ils se retrouvaient être le point de mire de tous. Et le blond qui le pointait du doigt avec un sourire sadique au lèvre. Sasuke devina toute de suite que c'était lui l'auteur de cette mauvaise blague. Il se jura qu'il allait le lui faire payer. Et vu le regard de Neji, le blond n'allait pas s'en sortir aussi facilement. Chacun allait ignorer le blond, lorsque Shikamaru prit la parole.

 

« Se serai trahir l'esprit de Noël que de ne pas vous embrasser. »

 

« Noël c'est fini. » Dirent les deux bruns en coeur, tout en le fusillant du regard.

 

« L'esprit de Noël est éternel. » Reprit le génie avec indifférence.

 

Toutes les personnes présentes n'osaient plus bouger et les fixaient l'air interrogateur. Même Naruto ! Lui maintenant qui avait perdu son sourire victorieux, les regardait avec une certaine curiosité. Il venait de se rendre compte qu'il allait devoir raser les murs pendant un moment.

 

Revenons à Sasuke, il avait horreur d'être le centre d'attention. Il faut dire que les filles l'avaient rendu ainsi bien malgré lui. Pour en finir au plus et sans réfléchir davantage il se tourna vers Neji et le saisie la hanche d'une main et de l'autre le visage. D'un mouvement rapide, il posa ses lèvres sur ceux de Neji. Celui-ci trop surpris, se laissa faire. Le sharingan n'avait pas eu à forcer le passage de la bouge du Huyuga. Leurs langues se rencontrèrent et à ce contact Sasuke s'électrisa. Pendant quelques secondes, les deux bruns échangèrent un baiser plus que profond. Sasuke sentit le corps du brun se relâcher tout contre lui. Cela ne dura que quelques secondes. D'ailleurs, Sasuke prit conscience qu'il était en train d'embrasser un homme lorsqu'il sentit la main de Néji lui prendre fermement la nuque. Et aussi brusquement, il le relâcha. Il se tourna vers ses amis de peur de croiser le regard du byakugan. Après réflexion, il aurait dû, car tous le regardaient les yeux ronds. Sakura s'était évanoui, Ino ouvrait la bouche comme un poisson. Tenten essayait de réveillé Sakura. Saï prenait des notes, Shoji avait arrêté de manger. Shikamaru contrairement à d'habitude était plus que réveillé. Hinata était devenu tout rouge et quant à Naruto il avait disparu. Eh oui, il avait profité de cet instant pour s'enfuir avant qu'il ne subisse un accident malencontreux.

 

Sasuke décida d'en faire autant, mais avec un peu plus de classe. Car il se refusait de s'attarder sur se qu'il avait ressenti lors de ce baiser.

 

 « Bonne soirée à tous. Neji merci de m'avoir invité, mais je dois partir. »

 

Cela, bien sûr sans regarder le brun, il se dirigea vers la sortie calmement. Son coeur depuis se fameux baiser s'était comme mis à battre au ralenti.

 

FIN DU FLASH BACK

 

Sasuke Uchiwa, dernier descendant du sharingan, ancien déserteur du village de Konoha. Il était destiné à faire revivre le clan Uchiwa. Du moins l'espérait-il, jusqu'à ce jour. Tous les anciens du village caché de la feuille l'avaient à l'oeil. Une certaine pression pesait sur ses épaules. Tous ses amis l'ignoraient, même Naruto. S'ajoutait avec cela le baiser. Il avait embrassé Neji et il avait aimé. Il ne se savait pas de penchant pour les hommes. Remarque qu'il n’avait jamais réfléchi. Depuis, le byagukan hantait ses nuits et ses pensées. Parfois, il le suivait à distance. Un mois était écoulé et il n'avait toujours pas eu le courage de croiser son regard ou même de lui parler. Il est vrai qu'il continuait de se voir par le biais de leurs amis. D'ailleurs, un malaise était à chaque fois présent, car il se sentait observer par tous. Tous ses faits et gestes étaient analysés. Ils en avaient assez. Tous, avaient essayés de lui parler. Même Kakashi. Quant à Naruto il s'était fait porter pâle pendant une semaine. Par vengeance, Sasuke était allé le voir chez lui. Il fut surpris de le retrouver tout cabossé, apparemment Neji l'avait trouvé avant lui. À cette vue, il fut incapable de retenir son fou rire. Et s'était sur ses faits que Sakura et Ino avaient vue un Sasuke rayonnant. Elles en tombèrent à la renverse.

 

Ce fut la seule fois ou le beau ténébreux ria de bon coeur. Ce qu'il ne savait pas s'était que ce jour-là Néji Huyuga passait par là par hasard. Son coeur rata plusieurs battements au vu de cette scène pour le moins rare. Et il se souvint avec encore plus d'acuité du baiser que Sasuke lui avait donné. Néji savait que le brun avait commis ce geste juste pour en finir avec cette situation plus qu'embarrassante. Pour lui, cela était tout autre. Le génie Nara avait profité d'un soir de faiblesse ou il s'était saoulé pour lui soutirer des informations sur ses sentiments pour l’Uchiwa. Il était persuadé que s'était également lui qui avait monté le coup de la branche de Gui. Il avait manipulé le blond finement. Ce n'était pas un génie pour rien. Malheureusement, non heureusement pensa-t-il maintenant qu'il s'en était rendu compte seulement lorsqu'il avait réglé son conte à Naruto. Il n'aurait pas eu le plaisir de voir Sasuke Uchiwa rire comme jamais.

 

Ceci étant dit revenant au présent. Nous disions donc que Sasuke se sentait mal, mal d'amour. He oui, le brun après de longues réflexions, il admit enfin ses sentiments pour le Byagugan. Il ne comprenait pas encore comment cela s'était produit, mais il ne pouvait plus le nié aujourd'hui. Au fil du temps, il s'était mis à mieux observer Néji. Il s'était mis à l'apprécier, même qu'un soir il s'était mis à faire des rêves érotiques sur le brun. Il en salit ses draps. Frustré, il était de plus en plus irrité. Ses coéquipiers le ressentirent. La tension dans leur groupe était palpable. Chacun en avait assez de son comportement lunatique.

 

Toute la journée, il se fit porter pâle auprès de l'hokage. Et pour le bien de tous, celle-ci lui donna même trois jours de repos. Elle avait eu vent des évènements. Ces jours seront salutaire pour tout le monde. De plus, la princesse des limaces avait eu une discussion avec le génie Nara. La situation semblait évident sauf pour les concernés. Un petit coup de pouce du destin serait la bienvenue. C'est ainsi que l'Uchiwa se retrouva seul dans sa demeure à se tourner les pouces. Au bout du deuxième jour, il décida d'aller se promener hors du village. Ses pas le menèrent près du lac. Fatigué moralement, il s'endormit dans l'herbe sous un peuplier. C'est les bruits d'armes qui s'entrechoquèrent qui le réveillèrent en sursaut. Un combat se déroulait tout près d'ici. Aussi discrètement que possible il s'y rapprocha. C'était des AMBU, trois au total qui luttaient contre des ennemis au nombre de six. Ils étaient encerclés. D'après leurs états, Sasuke en déduit que le combat avait commencé depuis un moment et loin du village. Il décida de faire demi-tour, pensant qu'ils pouvaient bien se débrouiller sans lui. Ils étaient des AMBU après tous. Mais un geste d'un des ennemis lui parut familier. Il en était certain c'était un des membres de l'akatsuki. Tobi l'insaisissable ! L'homme arbre qui avait toujours malgré la disparition de l'akatsuki réussi à disparaître au bon moment. Qu'est-ce qu'il faisait là ? Et les autres savaient-ils à qui ils avaient à faire. Il ne pu reconnaître les trois AMBU. Leur chakra était .bien dissimulé. Il ne pouvait pas partir ainsi. Il resta caché afin de regarder le combat et ainsi être sur le qui-vive pour intervenir si besoin était. Pendant quelques minutes, il avait oublié tous ses soucis pour se concentrer sur l'instant présent. Les combats étaient rudes. Ce n'était pas des enfants de coeur. Au bout d'un moment, trois des ennemis furent éliminés. Sur les trois restants, un était grièvement blessé. Il en valait de même pour les AMBU. Un des AMBU baissa sa garde pour soigner l'autre et c'est à ce moment que Tobi lança son attaque. Sasuke savait pour l'avoir vécu auparavant qu'elle était mortelle même pour quelqu'un d'expérimenté. Le poison qu'il utilisait était rare et extrêmement dangereux. Sans plus y réfléchir, Sasuke para l'attaque. Il le reçut de plein fouet. Sans faiblir, il lança une contre-attaque sur Tobi. Sans plus attendre, il emprisonna l'autre ennemi dans un monde à mille souffrances avec son sharingan. Il était sûr que l'homme arbre s'était déjà volatilisé comme à son habitude. Une fois la fumer dissiper, il remarqua, enfin que l'AMBU qu'il avait sauvé n'était autre que Néji. Son maque s'était brisée lors de la déflagration. Celui-ci le fixait les yeux grands ouverts, plus qu'étonner. À ce moment, il ne comprit pas pourquoi.

 

 « Sasuke... mais.. »

 

 « Est-ce que tout le monde va bien ? » Demanda-t-il d'une voix sifflante.

 

 « Oui, mais Shikamaru est blessé. Je l'emmène tout de suite au village pour le soigner. » Dit Saï tout en soulevant le Nara qui avait perdu connaissance.

 

Entre temps, le Byagugan avait repris ses esprits. Sasuke, lui sentit ses jambes se dérober sous lui. Il sentit un liquide chaud s'écouler le long de ses jambes pour s'écrase par terre. Pourtant, il aurait juré qu'il avait paré l'attaque. Le sournois ! Tobi avait utilisé son sabre et il ne l'avait même pas senti. Il s'en voulut pour son manque de vigilance. Tout à coup, tout devint noir. Il perdit connaissance.

 

Deux heures plus tard, Neji était à bout de nerfs. Il en avait assez d'attendre. C'est au bout d'une heure à peu près que lui et Sai avaient reçu des nouvelles de Shikamaru. Celui-ci s'en remettra d'ici quelques jours. Il avait trois côtes cassées dont un avait perforé ses poumons, le poigné foulé, une fracture des avant-bras et quelques coupures. Sai et lui aussi avait été examiné par les médecins, ils n’avaient que quelques bleus et écorchures. Mais, Sasuke lui faisait plus de deux heures qu'il était au bloc. Néji était inquiet pour l'Uchiwa. Il se posait temps de question sur ce qui s'était passé. Mais il n'arrivait pas à réfléchir calmement. En plus, tous leurs amis, presque tous étaient présent. Il ne voulait pas montrer ses sentiments devant eux. Son masque d'impassibilité commençait à fondre comme neige au soleil. Personne n'avait encore posé des questions sur ce qui s'était passé. Mais le brun avait appris que Sasuke était en congé forcé par l'hokage. Mais alors que faisait-il là ? À moins que ce fût qu'un pur hasard.

 

Néji repensa encore à la scène. Il avait juste baissé sa garde une seconde et la seconde d'après il se faisait soufflé par une déflagration. Juste avant il avait une ombre se mettre devant lui. C'était Sasuke. Son étonnement fut place à de l'inquiétude lorsqu'il vit le brun s'évanouir. Il le rattrapa avant qu'il ne touche le sol. Tout son flanc droit était maculé de sang. Sans plus y réfléchir Sai et lui les ramenèrent au village. À l'entrée, ils avaient prévenu les gardes que des ennemis étaient attachés dans la forêt. Et maintenant, ils attendaient.

 

Godaïme Hokage sortit du bloc en sueur. Il avait bien failli perdre Sasuke, mais par sa volonté de vivre, il s'en sortait. L'attaque que lui avait portée Tobi était terrifiante. Mélanger du poison avec cette attaque donnait encore plus de poids à son génie. Sasuke avait su le contrer, mais c'est le sabre qui changea la donne. Mais bon, le principale était que tout allait mieux. C'est d'un pas décidé qu'elle pénétra dans la salle d'attente. C'est Naruto qui se rua sur elle en premier.

 

« Alors ! Comment va-t-il ? »

 

« Il va bien. On a failli le perdre. Il lui faudra deux semaines de récupération. »

 

« Ouf. » Souffla le blond.

 

Tsunade était heureuse de les voir ainsi. C'était une équipe soudée. Elle jeta un regard à Néji. Celui-ci semblait beaucoup plus détendu. Elle le vit pousser un soupir discret. Elle imaginait très bien son inquiétude.

 

« Néji, Sai suivez moi, je veux avoir un débriefing sur ce qui c'est passé. »

 

« Et vous autres rentrez chez vous. »

 

Elle s'en alla suivi des deux AMBU. Tous essayaient de lire les expressions du visage de Néji et de Sai, mais rien. Kakashi se dit que de toute façon Tsunade le briefera après.

 

« Et si on allait manger chez Ichiraku pour fêter ça ! » Proposa Naruto 

 

Tous hochèrent la tête en signe d'assentiment.

 

********

 

Trois jours passèrent et la routine reprit son cour, sauf peut être pour Neji qui se rendait au chevet de Sasuke tous les soirs pour le veiller. Il ne s'était toujours pas réveillé. Tsunade avait dit que s'était tout à fait normal. Son organisme avait besoin de récupérer. C'est discrètement qu'il se faufila dans la chambre du brun. Il évitait de venir la journée, car Naruto ou Sakura traînaient toujours dans les parages. Neji attendait que le service de la rose se termine pour venir. Il n'avait en aucune façon l'envie de se justifier. De plus, depuis que Shikamaru était également hospitalisé il en avait profité pour parler avec le génie. Au fil du temps, ils étaient devenus des amis.

 

Neji raconta les faits après que Shika avait perdu connaissance. Il ne comprenait pas le geste de Sasuke. D'habitude, il n'aurait même pas levé le petit doigt. Il ne pensait pas qu'il avait découvert qui se cachait derrière ses masques d'AMBU. Le hasard avait voulu que Tsunade leur donne des masques différents pour cette mission. Et la lueur de surprise, si faible qu'il avait eu le temps de percevoir dans les yeux encre de Sasuke ne le trompait pas. Il ne les avait pas reconnut. Neji se rendait compte qu'il découvrait une autre facette de l'Uchiwa qui lui plaisait bien. Il le cachait bien sous ses airs d'indifférent. Il avait une âme de protecteur. Cela laissa un air rêveur sur son visage.

 

*****

 

Sasuke se sentait bien, une douce chaleur le réchauffait. Il sentait une caresse sur son visage. On lui tenait la main également. Cette main était douce et chaude. Son coeur s'emballa à ce contact. C'est ce constat qu'il ouvrit brutalement les yeux tout en saisissant cette main tant désirée depuis un mois. Cette personne surprise se leva brutalement pour s'enfuir, mais Sasuke lui saisit l'autre main. Ils se fixèrent quelque seconde sans rien dire. Sasuke crut voir de la peur dans ces yeux si magnifiques, blanc comme une perle.

 

 « Neji, tu vas bien ? »

 

La question surprit Néji. Il se reprit rapidement. C'est calmement qu'il se rassit près de Sasuke.

 

« Oui, je vais bien. Mais c'est plutôt à toi que je devrais poser la question non ? »

 

« Mh »

 

« Tu es à l'hôpital. »

 

Sasuke se concentra rapidement, puis tout le revint en mémoire. Sa promenade près du lac. Sa sieste si reposante, puis les bruits de combat et Tobi le sournois.

 

« Shikamaru ? »

 

« Quelques côtes cassées et son bras cassé, plus un poigné foulé, mais il va bien. Il doit sortir demain. »

 

« Mh. »

 

Un silence s'installa et Sasuke n'avait toujours pas lâché les mains de Néji. Celui-ci ne savait comment se comporter. Il ne s'attendait pas à ce qu'il se réveille pendant qu'il était là. Une petite voix dans sa tête lui dit que s'était peut-être le moment de dévoiler son coeur. Mais il avait peur d'être rejeté. De son côté, Sasuke essayait de se contrôler au mieux qu'il pouvait. Il avait tant rêvé de le tenir dans ses bras. Et maintenant que devait-il faire. Il décida de suivre son coeur pour une fois. De mettre de côté tous ses problèmes.

 

Tout à coup, Neji se sentit tirer vers le brun, sur le coup, il se laissa emporter et atterri allonger sur Sasuke. Il allait protester lorsqu'il croisa son regard si tendre. Il en fut soufflé. Tendrement, Sasuke l'embrassa. Le baiser était doux et léger. Néji se sentit fondre dans les bras du brun. Au bout, d'un moment, Néji réagit lui aussi à ce geste. Il s'installa plus confortablement contre lui. Il enfuit un de ses mains dans ses cheveux et de l'autre il lui tint la hanche. Le baiser augmenta d'intensité, il devint plus passionné. Néji cassa le baiser pour descendre dans son coup. Les gémissements que produisait Sasuke l’électrisèrent. Tout à coup, un raclement de gorge les figea dans leur geste.

 

Néji entendit le soupir d'agacement de Sasuke et cela le fit se détendre. Il se releva du lit et lentement se tourna vers ces personnes qui avaient brisé un moment magique. Tsunade se tenait à la porte de la chambre avec un sourire aux lèvres. Derrière elle se cachait une Sakura toute rouge.

 

Neji se permit de jeter un coup d'œil à Sasuke qui avait repris son éternel masque d'impassibilité.

 

« Eh bien, je suis contente de voir que tu vas mieux, Sasuke. »

 

« Mh »

 

« Mm, Néji pourrait-tu nous laisser afin que je l'examine. »

 

Néji allait partir lorsqu'il remarqua que Sasuke n'avait toujours pas lâché sa main. Et il le comprenait. Mais il le fallait. Il devait réfléchir à certaines choses. Il se pencha à son oreille et le murmura : « Je reviendrais te voir demain matin, promis. »

 

Sasuke consentit à lui lâcher la main après avoir confirmation d'une pression de la main de Neji. Il n'osait toujours pas le regarder en face. Il faisait preuve de beaucoup de sang-froid pour ne pas rougir.

 

Néji s'en alla un instant plus tard après avoir lancé à Sasuke un dernier regard.

 

Tsunade reprit rapidement son sérieux afin de consulter le malade. Le brun se laissa faire de mauvaise grâce. Sakura assista l'hokage en silence tout en fixant Sasuke d'un regard étrange.

 

L'examen fini, Tsunade s'assit sur le rebord du lit.

 

« Sakura s'est bon, tu peux finir ton service et rentrée chez toi, il se fait tard. »

 

« Mais... »

 

« Sakura je te rappel que demain tu pars en mission. »

 

« Bien Hokage-sama. » Dit-elle de mauvaise grâce.

 

Le brun regarda la brune partir avec soulagement.

 

Un petit silence s'installa qui fut vite rompit par la blonde.

 

« Sasuke es tu conscient de ce que tu fais ? »

 

« ... »

 

« Les anciens du village t'ont à l'oeil Sasuke ! Tu sais ce qu'ils attendent de toi ! »

 

« ... »

 

« Je ne pense pas que Néji et toi sachiez ce qui vous attend ! Bon sang SASUKE ! REPOND QUAND JE TE PARLE ! » Hurla la blonde face à ce silence 

 

« Je l'aime. » Dit-il simplement.

 

« Est-ce que lui t'aime ? »

 

« Je ne sais pas. »

 

« Mais vous étiez en train de vous embrasser. Et jusqu'à preuve du contraire, il faut être deux pour cela. De plus, il m'a semblé plus qu'actif. »

 

À cette remarque Sasuke ne put cacher une rougeur d'apparaître sur ses joues. 

 

Tsunade s'attendrit à cette vue.

 

« Sasuke sache que je te soutiendrais quoiqu’il arrive. Mais je t’en supplie parle avec lui demain. Et cela pour le bien de tout le monde ! »

 

« Mhm » Fit le brun avec incompréhension.

 

Tsunade ne put s'empêcher de rire franchement de la tête que faisait Sasuke. Il était certes un génie, mais en ce qui concerne les sentiments il était vraiment lent à la détente.

 

« Tout compte fait, Shikamaru avait raison ! »

 

« Comment ? »

 

« Oups ! Rien, oublie ce que j'ai dit ! »

 

C'est sur ces mots que la blonde lui souhaita une bonne nuit et s'en alla. La rapidité de Tsunade pour partir le laissa songeur. Qu'est-ce que Shikamaru venait faire là-dedans ? Puis tous s'emboîtèrent dans sa tête comme un puzzle pour en conclure que c'était le génie Nara qui était derrière se piège. Et il était tombé la tête la première. À ce constat il ne peut s'empêcher de rire. Son coeur trouva une légèreté qu'il n'avait jamais connue jusqu'à lors. C'est le sourire aux lèvres qu'il s'endormit.

 

De son côté, Néji ne trouva pas le sommeil. Il ne cessait de penser à Sasuke, à sa famille. Cela faisait bien longtemps qu'il était amoureux de Sasuke. Il avait déjà fait le point sur sa sexualité, sa famille et son amour pour le brun depuis un moment, mais qu'en était-il de lui ? Il ne voulait pas souffrir d'un rejet, surtout venant de lui. Avant, il se serait contenté de le voir vivre de loin, d'être tout simplement près de lui, sans pouvoir le toucher, mais désormais, il ne le pouvait plus. Depuis ce fameux baiser, il en sera incapable. De plus, ces baisés échanger dans la chambre d'hôpital avant que Sudnade n'arrive avec Sakura avait était tout aussi mémorable. Néji pensa même qu'il aurait pu perdre le contrôle s'ils n'avaient pas été interrompus. Le fait d'y repenser lui donna envie. Comme un fou, il se précipita sous une douche froide.

 

Le lendemain, matin, Sasuke sentit une main à n'en pas douter féminine lui touché le front, ensuite lui prendre le poignée, sans doute pour prendre son pouls. Au chakra qu'elle dégageait, Sasuke sut qui cela pouvait être.

 

« Tu n'es pas déjà parti en mission Sakura ? »

 

L'intéressé eut un sursaut de surprise et c'est à ce moment qu'il ouvrit les yeux.

 

« Je croyais que tu dormais ! »

 

« Je dormais.  

 

Par cette réponse, il lui fit comprendre que c'était elle qui l'avait réveillé.

 

« Désolé, Sasuke. »

 

Elle allait partir quand Sasuke lui pris la main.

 

« Sakura, dis-moi ce que tu as sur le coeur. Maintenant, avant de partir en mission. »

 

Elle hésita un moment. Puis la tête basse elle déclara :

 

« Tu le sais que j'ai longtemps été amoureuse de toi Sasuke. Je sais que tu n'as jamais rien fait qui pouvait me faire espérer. Après ton retour à Konoha, tu avais changé. Tu étais plus sociable, plus ouvert; alors j'ai cru que cela pouvait être possible nous deux. Ce baiser entre toi et Neji fut un choc terrible pour moi. »

 

Elle lui prit la main tendrement et le fixa droit dans les yeux.

 

« Je n'ai pas vu de signe avant-coureur. J'ai énormément réfléchi, tu sais. Sasuke ce baiser ce n'était rien n'est-ce pas ? Ce n'était qu'un moyen d'en finir avec cette situation embarrassante. Naruto n'a été qu'un imbécile de faire ça ! Et hier soir, tu n’étais pas toi même, tu venais de te réveiller ! Il a profité de la situation ! Il a... »

 

« Sakura arrête. »

 

Le med nin s'arrêta net son débit de parole. Le ton de Sasuke la glaça d'effroi. Ses yeux s'écarquillèrent de surprise. Elle était aller trop loin Le regard du brun avait changer pour devenir dure. Calmement il retira sa main dans celle de la rose.

 

« Sakura, je... »

 

« Non, ne dit rien ! »

 

« Si Sakura. Il faut que tu l’entendes. » Le brun se radoucit. « J'aime Néji et cela bien avant ce fameux baiser lors de cette soirée. Inconsciemment, je voulais ce baiser et Naruto me la offert sur un plateau. Non, je dirais Shikamaru. Ce baiser m'a permis d'ouvrir les yeux sur mes sentiments. Je me suis rendu compte que je recherchais sa présence avant ça. »

 

« Mais pourquoi ? »

 

« Là dessus je n'ai pas de réponse à te donner. Moi même je ne le sais. Tout ce que je sais c'est que je l'aime. »

 

Sasuke vit les yeux de Sakura se remplir de larme. Tendrement, il la prit dans ces bras. Elle se laissa aller un moment tout contre lui.

 

« Sakura, je suis désolé. »

 

« Tu sais, tu resteras toujours mon premier amour. »

 

« Tu resteras toujours mon amie et je suis sûre que tu trouveras chaussure à ton pied. »

 

« Mm »

 

L'atmosphère c'était alléger et ils passèrent un petit moment ensemble à parler de chose et d'autre. Puis elle du partir.

 

Sasuke fut soulagé d'avoir partagé ce petit moment avec Sakura. Après, un peu fatiguer il s'endormit.

 

Neji était anxieux, et le fait qu'il n'avait pas pu dormir hier soir n'arrangeait rien. Il avait promis à Sasuke de venir le voir. Il mourrait d'envie également. C'est d'un pas pressé qu'il se dirigea vers l'hôpital. À l'angle d'une rue, il buta contre Sakura. La jeune femme se retrouva par terre. Tout de suite, Neji l'aida à se relevé. Le brun perçut ses yeux rougis sûrement qu'elle avait pleurés.

 

« Sakura tout va bien ? »

 

« Neji, oui tout va bien ne t'inquiète pas pour moi. » Répondit-elle rapidement.

 

Elle ne s'attendait pas tomber sur lui. Elle se remettait à peine de sa conversation d'avec Sasuke. La rose voyait bien que le jeune Hyuga s'inquiétait. Son air soucieux et les cernes sous ses yeux lui disaient qu'il n'avait pas bien dormi.

 

« C'est plutôt, à toi que je devrais poser la question ? Tu sembles fatiguer. Tu n'as pas bien dormir ? 

 

À cette question innocente Néji ne put empêcher une petite rougeur apparaître sue ses joues.

 

« Heu... »

 

Sakura ne put s'empêcher de rire. Son coeur s'allégea d'un coup. Néji était quelqu'un de bien et apparemment les sentiments de Sasuke étaient partagés. Elle n'avait pas le droit de mettre une ombre sur leur bonheur.

 

Néji ne comprit pas pourquoi la rose de moquait de lui et il prit la mouche. Sans rien dire, il continua son chemin. Arriver au bout de la rue Sakura l'interpella.

 

« Néji ! »

 

Il s'arrêta dos à elle.

 

« Tu as intérêt à le rendre heureux ou je viendrai moi même de botter le cul, Huyuga ou pas ! »

 

Néji à ces mots sourie, il se sentait soulager qu'elle le prenne de cette manière.

 

*******

 

Sasuke en avait eu assez de tourner en ronde dans sa chambre. Si on peut qualifier un patient récalcitrant de raisonnable, alors le personnel de l'hôpital remerciait le ciel de ne pas avoir Naruto comme patient. Car l'Uchiwa contrairement à son ami le Blond avait demandé l'autorisation à Tsunade de faire une petite promenade sur le toit. Lors de sa visite de routine du matin, la blonde avait vu l'état d'anxiété du jeune homme. Lorsque Néji arriva, il trouva la chambre du brun vide. Il ressentit un petit pincement au coeur, mais un infirmier qui passait lui indiqua qu'il se trouvait. Il poussa un soupir de soulagement. Pendant un instant son coeur s'était arrêté. Il se reprit rapidement et se dirigea calmement vers le toit.

 

Quelques minutes plus tard, Sasuke sentit deux bras puissants lui enserrer la taille. Il se laissa aller à cette étreinte. Il ferma ses yeux afin d'apprécier.

 

« Sasuke. »

 

« Mmh »

 

« Ne joue pas avec moi. »

 

Le brun aux yeux d'encre se retourna brusquement.

 

« Je ne joue pas ! »

 

« Mais... »

 

Il fut interrompu par les lèvres du brun.

 

« Chute »

 

Leur front se touchait et leur souffle se mélangeait. Le coeur de Néji battait à cent à l'heure, ses jambes étaient devenues du coton, il s'accrocha aux pans de pyjama de Sasuke. Dire qu'il y quelques semaines il n’aura jamais imaginé être dans les bras du brun. Ah oui, il faut dire que Sasuke profita de son trouble pour l'enlacer encore plus étroitement. C'est à ce moment qu'il sentit l'excitation du brun.

 

« Sasuke ! »

 

« Mmh »

 

Néji eu un sourire, il ne changera pas. Après tout, un Uchiwa était fait comme cela. C'est tendrement qu'il lui murmura à l'oreille les mots qu'ils attendaient.

 

« Je t'aime Sasuke Uchiwa. »

 

« Je t'aime Néji Huyuga. »

 

Ils étaient sur le point d'échanger un baiser. Vous imaginez que l'instant était d'un romantisme à souhait ! Mais tout à coup, il fut interrompu par un bruit de porte défoncé.

 

« Je vous avais bien dit qu'il était sur le toit ! » Dit Naruto en pointant Sasuke du doigt.

 

Ils n'avaient pas eu le temps de réagir que le blond se faisait exploser le visage par Tsunade qui apparemment était très en colère. Les deux bruns furent si étonnés qu’ils ne réagirent même pas à cette scène si habituelle. Seulement avec l'échange d'un simple regard, ils disparurent dans un pouf de fumé pour se retrouver dans la chambre de Sasuke.

 

« Il faut que tu de repose, n'oublie que tu as été gravement blessé. »

 

Néji l'installa confortablement dans son lit. Il allait prendre un siège, mais suspendit son geste.

 

« Viens dans le lit avec moi. »

 

Néji le regarda étonner, et le regard suppliant de Sasuke le fit fondre. Et sans un mot il se déchaussa et retira tout son équipement de ninja afin qu'il ne soit gêné ni l'un ni l'autre. C'est tendrement qu'ils s'enlacèrent tous les deux dans le lit. Ils n'aspiraient qu'à être ensemble. Ils avaient ce que l'autre ressentait et s'était le principale pour le moment du moins pour l'instant.

 

Tandis que le nouveau couple se câlinait tendrement, sur le toit de l'hôpital Tsunade et Naruto s'était calmé et regardait se réveiller leur village tant aimé. Tout en souhaitant le meilleur pour leurs amis. Leur avenir sera semé d'embûche, mais plein de moments heureux ils en étaient certains. Naruto se disait qu'il pourrait conter à la prochaine génération l'histoire de Sasuke et du baiser inoubliable qui avait changé sa vie.

 

 

FIN

 

Ecrit par Eiram-sama

 



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30 décembre 2010 4 30 /12 /décembre /2010 22:05

 

CHAPITRE VI

La surprise partie 1

 

« Ichigo, désolé de ne pas avoir été là lorsque ces arrancars sont venus. »

 

« Ne t'inquiète pas pour ça Rukia. »

 

« Si je m'inquiète parce que je sens que quelque chose a changé. »

 

Ichigo ne sut que lui répondre sans la froisser ou la blesser, mais au moment ou il allait lui répondre, il sentit un regard sur lui. Sans même se retourner, il sue.

 

*****

 

Rukia devina que le silence de son ami était dû à la présence de son frère non loin de là. Elle n'était pas du genre à abandonner pour si peu. Elle comprenait qu'Ichigo était troublé. Son frère en imposait à n'importe qui. Mais elle devait avoir des réponses à ces questions, sinon elle ne sera pas en paix avec elle même. Pour refaire atterrir Ichigo de son nuage; elle lui donna une tape, assez forte sur la tête. Ce qui le fit basculer du rocher où ils étaient assis, il s'écrasa par terre comme un sac à patates, c'est-à-dire, sans aucune élégance. S'en suivit un cri pas très masculin. Le rouquin se releva aussitôt comme un ressort, tout en se frottant le bas du dos, les joues un peu rouges de honte de s'être fait avoir par Rukia. Il y était habitué aux claques de Rukia pourtant ! La brune éclata de rire devant la mine bouteur qu'avait son ami. Du coup, elle oublia pendant une seconde la raison pour laquelle elle voulait lui parler. Le regard d'Ichigo vers son frère le lui rappela vite fait. Elle barra la vue qu'avait Ichigo sur le noble qui discutait avec Urahara. Ce qui l'intrigua.

 

« Ichigo, baka ! On t’a pas appris à ne pas ignorer une fille qui te parle ! »

 

« Ah bon je croyais que c'était un dragon cracheur de feu. » Dit-il le plus sérieusement du monde.

 

Elle allait à nouveau lui coller une, quand elle vit la lueur malicieuse qui brillait dans ses yeux.

 

« T'es incurable ! »

 

Ichigo reprit son sérieux.

 

« Que voulais-tu me dire ? »

 

« Tu as changé. Pas en mal je te rassure ! Mais à ton contacte je me sens bien. Il se dégage de toi quelque chose d'apaisant. »

 

Rukia cherchait à mettre des mots sur ses sentiments.

 

« Avant ton attaque, j'ai bien vu que tu étais instable, on le ressentait grâce à ton reiatsu.(Elle savait maintenant que cet état était dû à ses sentiments pour son « Nii-sama », en partie seulement. Autre chose s'était produit elle en était sûr) Maintenant, on le sens à peine. C'est comme si que tu avais un contrôle total dessus. Cela m'a étonné. Et pas que moi ! »

 

En écoutant la brune une panique lui pris les trips. Il ne voulait qu'ils l'apprennent, en tout cas pour le moment, cela serait trop dangereux. Il aurait dû savoir que Rukia allait le sentir. Son instinct ne la trompait pratiquement jamais.

 

« Alors qu'as-tu à m'avouer ? Parle maintenant ! Je t'écoute. »

 

Elle croisa ses bras, le fixa de ses grand yeux et attendit. Elle ne fit attention au bruit que faisait leurs amis, ne le quittant pas des yeux. En fait, elle avait peur de ce qu'il allait lui répondre. Quant à Ichigo il n'en menait pas large. Et s'en plus y réfléchir il dit :

 

« En fait Rukia, je suis amoureux de ton frère. »

 

La brune en resta sans voix. Elle avait cru mal entendre.

 

« Quoi ? »

 

Ichigo se mordit les lèvres intérieurs en réalisant ce qu'il venait de dire. Cela avait été si facile de le dire en fait qu'il en ressentit du soulagement. S'était la première fois qu'il le disait à haute voie et à quelqu'un. Il en fut troublé.

 

Rukia, elle, en perdit la parole momentanément. Elle ne croyait pas le roux capable à l'heure actuelle d'assumer ses sentiments. Elle se trompait apparemment. Cela la soulagea quelque peu et lui enlevait une épine du pied. Elle se déculpabilisait aussi pour ce qu'elle avait manigancé en tant qu'assistante du scientifique blond. Au départ de cette conversation, elle avait eu l'intention de se rassurer sur ce qu'elle avait cru deviner et sur ce qu'elle savait réellement. Ichigo aimait son frère. Le noble l'aimait également à n'en pas douter. Ichigo cachait quelque chose concernant les véritables faits de ce qui s'était produit le jour de son anniversaire. Elle était persuader aussi que ce jour là elle avait failli le perdre. La seule chose dont était sûr était qu'elle avait entièrement confiance en lui et en son frère. Dans cette guerre contre Aïzen, voir un amour sincère naître lui donnait de l'espoir pour l'avenir. Ils lui donnaient de l'espoir. Au bout d'un moment, elle se reprit et pris son air sadique. Ichigo encore dans son trouble demanda innocemment :

 

« Est-ce que j'ai bien dis ce que je pense ? »

 

Les bras croisés, la brune acquiesça avec un grand sourire qui l'effraya.

 

« Oh oui tu l'as dis ! »

 

« Oups ! »

 

« C'est tout ce que tu trouve à dire pour ta défense ? »

 

Ichigo se dit qu'il avait réussi à détourner la conversation sur un autre sujet, bien qu'involontairement. Mais il en faisait les frais à présent. Cette information, il n'était pas censé la crier partout. Il s'était juré d'en parler au noble entre quatre yeux, surtout après la scène de la chambre et de la douche. Il savait qu'il n'avait pas rêvé. Ichigo était sur de ses sentiments. Donc il n'avait pas à s'en inquiété.

 

« Ichigo ! Ichigo ! Revient parmi nous ! » Dit Rukia en lui toquant sur le front.

 

« Mais... »

 

« T'étais encore plonger dans tes pensées, baka ! »

 

Le voyant ainsi, Rukia pensa après tout qu'elle avait eu ce qu'elle voulait au départ, c'est-à-dire les aveux du rouquin sur ses sentiments pour son frère. Bien qu'il avait dit ça pour détourner la conversation.

 

« Ichigo tu sais que tu peux toujours conter sur moi, n'est-ce pas ? Je serais toujours là pour t'écouter et te soutenir comme tu la fais en de nombreuse reprise pour moi. »

 

« Merci Rukia. »

 

Dans un élan soudain, le jeune homme enlaça la brune tendrement contre son coeur. Il était ému par ses paroles si simple et sincère. Depuis le jour où elle l'avait fait shinigami, un lien très fort les reliait l'un à l'autre. Ichigo se rendit compte que depuis son anniversaire, que tous ce qu'il lui était arrivé avaient un but précis précis. Des détails sans importance, peut-être, comme son amitié avec Rukia, qui lui avait permis de devenir le jeune homme qu'il était aujourd'hui. Quelqu'un de fort. Oui il était quelqu'un de fort. Pas dans le sens négative bien sur. Son soutient dans tous les actions qu'il avait mené jusqu'à présent avait renforcé sa confiance en ses capacités et d'aller plus loin.

 

Rukia fut troublé par ce geste si rare d'Ichigo. Elle savait ce que le roux ressentait à son égard. Une très grande amitié. Il la considérait même comme une de ses sœurs. Dans ses bras elle se sentait en sécurité. Et en cet instant, une douce chaleur se rependit en elle dans ce simple contact. Elle aurait aimé que ce contacte dure encore un peu. Mais malheureusement, la princesse Shihouin fit son apparition comme un diable sorti du placard et les sorties de leurs torpeurs.

 

« Comme ça on se fait des câlins en douce ! Tu cache bien ton jeu Ichi ! Aaah » Dit-elle en s'esclaffant.

 

« Moi aussi je veux des bisous, mon mignon ! » Ajouta-t-elle sensuellement, tout en s'avançant lascivement vers Ichigo qui avait entre temps lâché Rukia.

 

« Tu plaisante j'espère... » Murmura le roux tout en partant en quatrième vitesse en shyumpo.

 

« Ah Tu veux jouer à chat avec moi, je ne suis pas contre ! » Cria-t-elle avec un sourire carnassier.

 

Rukia se retrouva seule, trop abasourdi pour réagir. Ces deux-là ne changeront donc jamais !

 

Après s'être repris elle rejoignait les autres pour continuer à faire la fête. Elle savait désormais ce qu'elle voulait savoir. De plus, à ce stade de la soirée c'était à Urahara de joué.

 

******

 

Byakuya se tenait droit comme un piquer. Vêtu de son tenu de capitaine, avec son écharpe et ses mitaines, Il écoutait d'une oreille discrète ce que Urahara lui disait. Il n'avait de cesse de regarder vers sa soeur et Ichigo. Il faut dire que ce qu'il voyait ne lui plaisait pas. Il faisait tout pour garder son sang froid. Il était un Kuchiki bon sang ! Ichigo mettait à rude épreuve ses nerfs, qui était déjà à vif avec ce qui s'était produit il y avait si peu de temps. Lorsqu'il vit Ichigo et Rukia s'enlacer tendrement, il eu un pincement au coeur. Il voulait tant être à la place de sa soeur en ce moment. Il devait être patient. Il le savait pourtant, mais cela n'empêchait rien. Le grand Kuchiki Byakuya était tout de même inquiet. Avait-il eu raison d'écouter Urahara et Rukia. De plus, à ce qu'il avait compris Isshin était de mèche. Cet homme était un mystère pour lui. Perdu dans ces réflexions, il n'avait pas remarqué que Kisuke avait arrêté de parler pour l'observer attentivement. Il ne voyait pas que le scientifique avait un début de fou rire.

 

Kisuke avait du mal à garder son sérieux en ce moment. Au début il avait eu des doutes, doutes qui s'envolèrent maintenant. En tant qu'homme de science, il ne pouvait que constater que le noble était bien épris du rouquin. Même accro, il dirait, vue l'expression qu'il avait en regardant ces deux discuter. Tous ses scrupules s'étaient envolés au moment même ou il avait vue le noble décrocher de la conversation pour observer à le dérober Ichigo. Un moment leurs regard s'était accrocher, mais la brune y avait coupé court. À la tête de Byakuya, il aurait bien volontairement trucidé sa soeur.

 

« Mon p'tit Bya, patience ! On croirait voire le méchant loup guettant sa proie ! »

 

Cette petite phrase eu le don de le sortir de sa contemplation.

 

« Je voie que j'ai à nouveau votre attention, mon cher ! »

 

« ... » Il se contenta de lui lancer un regard froid.

 

« Pas la peine de s'énerver ! Je disais donc, mon cher, de ne pas oublier votre part du marché. »

 

« À ce que je sache, la votre n'est pas tout à fait remplie Urahara-san. »

 

« Oh ne vous inquiété pas elle le sera, elle le sera. » Dit-il en partant en le laissant seul à ces réflexions.

 

Il ne resta pas seule bien longtemps. Isshin discrètement s'était rapproché du noble. Il voulait avoir une petite conversation avec lui sans que son fils ne l’aperçoive. Debout derrière un rocher, dos au noble, il attendit.

 

« Vous n'êtes pas très discret Kurosaki-san. »

 

« Je voulais que vous me remarquiez, nuance. »

 

Silencieusement il alluma une cigarette et apprécia une première bouffé avec délectation. Il s'accordait se petit plaisir que très rarement. Seulement à des événements exceptionnels. Il avait assisté à la conversation de son ami avec le noble. Il reconnaissait bien là kisuke de profiter de cette occasion afin d'y gagner quelque chose. Il se promit de lui demander plus tard ce que cela pouvait être. Laissant là ces pensées, il jeta un regard au noble. Celui-ci n'avait pas changé sa position d'un yota. « Ah la noblesse avec ses codes et principes ! » pensa-il.

 

Sans qu'il s'y attende c'est Byakyua qui déclencha les hostilités en premier.

 

« Pourquoi êtes-vous partie de la Soul Society, Kurosaki-san ? Je n'ai trouvé aucun capitaine Kurosaki, ni même de famille Kurosaki. Vous n'avez jamais existé, du moins officiellement. C'est comme vous aviez été effacé ! »

 

Après un moment de silence, il écrasa sa cigarette sur le rocher près de lui et leva les yeux vers ce ciel artificiel et déclara sérieusement.

 

« Le temps des éclats n'est pas encore arrivé. Patience la vérité saura sortir de l'ombre. L'essentiel aujourd'hui c'est mon fils, son bonheur. Bientôt des heures sombres l'attendront. Tant qu'Aïzen ne sera pas neutraliser, le danger restera lattent. Je veux qu'il connaisse le bonheur, ce qu'est l'amour, comme je l'ai connu avec sa mère. »

 

« Malgré que soit avec un homme, de surcroit beaucoup plus âgés que lui. »

 

« Croyez moi, vous n'êtes pas si vieux, l'avenir vous le dira prochainement. De plus que soit avec une femme ou un homme, l'amour reste le même. Quand deux âmes sont destinées à être ensemble, qu'importe le sexe de celui-ci. »

 

« Que de parole sage Kurosaki-san, vous cacher bien votre jeux. Cela ne répond pas à mes questions. » Enonça le noble calmement.

 

Isshin ria sous cap.

 

« Je vous aime bien Kuchiki Byakuya ! Tout ce qu'il faut à ma tête de mule de fils. Il aura besoin de quelqu'un de solide et qui a la tête sur les épaules. »

 

« Qui vous dit que je resterai à ces côtés. »

 

« Premièrement vous êtes noble, deuxièmement vous avez des principes et tenez toujours paroles et troisièmement vous êtes raide amoureux de mon fils. On voit dans vos yeux que vous le voulez plus qu'autre chose. Et votre regard ne trompe personne ! »

 

Sur ces paroles le père du rouquin parti dans un éclat de rire discret. Byakuya n'en croyait ses oreilles. Lui qui était la maîtrise même du contrôle avez été d'une transparente accablante devant ces personnes qu'étaient sa soeur, Uahara et Isshin. Il craignait en plus que Yoruichi soit au courant. Non il était persuadé qu'elle savait. Le noble poussa un long soupir. Dans les prochains jours, il sentait qu'il allait avoir la visite d'une chatte fouineuse dans sa demeure. Elle allait juste pour le plaisir lui en faire baver. Il en avait des frissons d'avance. Il chassa bien vite ses pensées sinistres pour rejoindre les autres à la fête.

 

*******

 

Ichigo avait discrètement utilisé ses nouveaux pouvoirs justes pour clouer le bec de Yoruichi. C'est lui qui lui était tombé dessus au moment ou elle s'y attendait le moins. Elle ne l'avait même pas senti venir derrière son dos. La jeune femme ne cacha pas sa surprise. En y réfléchissant plus, Urahara lui avait semblé plus que bizarre, il lui cachait quelque chose en rapport avec le roux. Allez savoir quoi ! Il ne lui avait pas tout dit. Sacré Kisuke, il allait entendre parler d'elle. Avec fair plaie, elle accepta sa défaite avec la promesse d'une revanche. Ce que le roux accepta avec joie.

 

De son côté, Ichigo regretta que son orgueil ait dicté sa conduite. Surtout qu'il avait l'air suspect auprès d'elle maintenant. Il chassa vite ses pensées qui allaient lui gâcher sa soirée. Après tout c’était son anniversaire ! Demain il aura le temps d'y réfléchir. Ils avaient plusieurs décisions à prendre. Il sentait au fond de lui que pas avant très longtemps il pourra faire la fête avec ses amis. Une guerre se préparait et il était le seul qui pourrait peut être renversé la balance.

 

La soirée se déroula dans les festivités, à part un petit incident qui jeta un certain froid sur l'assemblé avec l'apparition des vizards. Mais bien vite, l'atmosphère se détendit considérablement. Tous s'étaient mélangés, capitaines, lieutenant, civile, renégat. Pour une soirée, ils avaient mis de côté leurs différents. Ils profitèrent à ce qu'ils leur semblaient êtres leurs dernier moment de détente avant longtemps. Aizen n'allait certainement pas tarder à refaire surface pour de nouvelle offensive.

 

Comme à leur habitude, il ne pouvait avoir de fête sans dispute ou sans défit à relever. Tous furent surpris de découvrir que les défit simple et idiot soit-il pouvait révéler des sentiments cacher. On ne savait plus qui l'avait lancé. Le défit s'adressait au lieutenant Abaraï Renji sur ces compétences à faire fondre quelqu'un seulement avec un baiser. Celui ne voyant rien venir comme à son habitude jura sur son zampakuto qu'il était capable de plus que cela. L'alcool aidant bien sur. Cela ne tomba pas dans l'oreille d'un sourd, car le petit lieutenant aux cheveux roses Yashiru Kusajishi, malicieusement elle dit :

 

« Tête d'ananas prouve nous ce que tu vaux ! »

 

« Bien sur je vais vous le prouver à tous ! »

 

« Dans ce cas embrasse Shuhei ! »Dit-elle en riant.

 

Le concerner sortie tout à coup de la contemplation de sa bouteille de sake pour fixer Yashiru avec désarroi.

 

« Quoi ! »

 

Renji lui en resta estomaqué.

 

« Mais c'est un homme ! »

 

« Be et alors ! T'as pas précisé le sexe, maintenant assume tête d'ananas ! À moins ne t’en es pas cap ! » Elle savait qu'elle devait joué sur sa fierté et son honneur de guerrier.

 

Uymishika n'aida pas son ami en lançant sournoisement: « Deviendrais-tu un lâche Abaraï ? »

 

Tous les autres le regardèrent avec défit, certain commençait déjà à parier comme quoi il en serait incapable sachant sa réputation auprès des femmes.

 

Le brun n'en menait pas large. Il se demandait pourquoi le sort s'acharnait sur lui ainsi. Il allait faire payer au lieutenant Kusajishi sa traîtrise, il en faisait le serment. Mais curieusement il ne loupa pas une miette de la conversation. J'usqu'ici Renji ne l'avait regardé. Sur le visage du rouge divers sentiment défilaient : trouble, inquiétude, peur et détermination. Quoi détermination ! Shuhei piqua un far lorsqu'il comprit les intentions de Renji. Il croyait dure comme fer qu'il allait refuser. Cela sans connaître que Renji ne se défilait jamais pour un défit. C'était la onzième division qui le lui avait appris.

 

« D'accord je vais vous le prouver. Personne ne dira que je suis un lâche, foi de Renji Abaraï ! »

 

Tout le monde attendit avec impatience, les uns pour pouvoir récupérer leur argent, les autres par curiosité. Pendant quelques minutes tous le monde se tu et fixèrent la scène qui se déroulait comme au ralenti.

 

Renji d'un pas déterminer se dirigea vers Shuhei, se pencha vers son visage. Voyant l'autre essayant de dérober, il le saisie le visage de ses deux mains. Il capta enfin son regard. Renji sentit son coeur s'emballer, ce regard rempli d'inquiétude et de tristesse. Il voulait l'effacer.

 

« Ne t'inquiète pas. C'est un moment vite passé. »

 

Shuuhei allait répondre quand Renji captura ses lèvres et y enfuit directement sa langue. Le brun se laissa faire de surprise. Il avait tant rêvé de cette instant, peut être pas dans ces circonstances. Il décida malgré tout d'y prendre part à l'échange. Passionnément Shuuhei enlaça le Rouge. Le baiser y gagna en intensité. Chacun y prenait du plaisir en oubliant le reste de l'assemblé. C'est Madarame qui se racla la gorge pour se rappeler à leur bon souvenir. C'est le souffle court que Renji cassa le baiser. Apparemment le brun ne voulait pas lâcher. Fermement Renji le repoussa et se leva et tourna le dos à tous pour pouvoir se reprendre. Seule Yashiru le vit. « Ah l'amour ! » Pensa-t-elle joyeusement. Elle était fière d'elle.

 

Chacun des protagonistes n'en pensèrent pas moins. Joyeusement tous reprirent la fête comme si de rien n'était. Sauf peut-être pour les deux lieutenants qui se quittèrent pas des yeux.

 

******

 

Ichigo en fin de soirée s'était mis à l'écart pour pouvoir observer ses amis et sa famille tranquillement. Il s'amusa à faire quelques commentaires que Shiro et Sangetsu répondaient. Discrètement, il les fit se matérialiser près de lui et leur offrit du sake. Tous les trois étaient vraiment détendus.

 

« Ichi, je crois que ta soeur Karin en pince pour le petit capitaine de glace ! »

 

« Je ne crois pas que M KUROSAKI soit d'accord d'ailleurs, vue ses regards vers eux » Renchéri Sangetsu.

 

« Mh. »

 

« Eh regarder comment la rouquine au gros sein étouffe le pauvre Renji ! Aaaah ! » Rigola son double.

 

« Hiyori est de bonne humeur ! Elle s'est prise d'affection pour Hanataru ! Regarder comment elle le défend auprès de Rose ! » Dit Ichigo, le sourire au lèvre.

 

C'est ainsi qu'ils passèrent un agréable moment. Après un moment de silence son zampakuto attira son attention sur un fait qu'il avait déjà constaté.

 

« Quand comptes-tu lui parler ? »

 

« ... »

 

« Au fait cela fait plus d'une heure qu'on ne le voie plus. » Repris Shiro.

 

« ... »

 

« Remarque que ta essayer, mais y avait soit ton père, soit Rukia ou Urahara pour te barrer la route. »

 

« ... »

 

« À mon avis ils ont mijotés quelques choses ! Mon roi tu devras réagir plus que ça ! »

 

« Non. »

 

« Non quoi ? » S'exclama le hollow. « Non, tu ne lui diras rien sur ta condition ou Non, Rukia, Urahara et ton père ne mijote rien ! »

 

« Non je ne réagira pas plus que ça. »

 

« Quoi ! Zanguetsu dit quelque chose, bon sang ! »

 

Voyant que le zampakuto ne bougea pas il leurs tourna le dos pour boudé dans son coin en marmonnant dieu s'est quoi.

 

« Quand on essai de bien faire on n'est jamais récompensé... »

 

Ichigo riait de la réaction de Shiro, finalement son hollow est plus sentimentale que lui apparemment. En repensant à la soirée, tous lui paraissait un peu bizarre. Tous le monde était heureux à n'en pas douté. Mais toutes ses tentatives pour se rapproché de Byakuya furent infructueuses ou contre carré. Au bout d'une heure et demie, il avait laissé tomber. Il s'était dit que quand le moment arrivera il sera près. Après tout, il ne fallait pas brusquer les choses. Alors il avait laissé couler. Concernant la question de zanguetsu , il ne savait pas quoi répondre. Sa mère lui avait dit de ne rien révélé de sa nature et condition à personne, sauf à son âme soeur. Pour l'instant il ne savait pas si Byakyua était son âme soeur. Il l'aimait, non il l'aime d'un amour impossible à décrire. Il avait besoin du noble, son corps et son âme l'appelaient. Il ressentait un manque, un vide sans lui. C'est la seul chose qu'il pouvait en dire. C'était peut-être ça avoir une âme soeur. Il fallait qu'il se renseigne et qu'il en soit sûr à cent pour cent.

 

Ichigo était tellement perdu dans ses pensées qu'il n'avait ressenti une certaine personne l'observer depuis un petit moment. Sauf Shiro et Zangetsu qui d'un commun accord se dispersa pour revenir dans le monde intérieur d'Ichigo.

 

« Un roi devrait être plus attentif sinon il chutera de son trône ! » Murmura Shiro en partant.

 

******

 

Kisuke cherchait Ichigo afin que le plan « Love of fraisounette » démarre. Il était l'heure. Les préparatifs étaient enfin finis, et il était peu fière. Maintenant il restait plus que la pièce maîtresse : Ichigo.

 

Quel ne fut sa surprise de découvrir le roux assis près de se rocher en compagnie de son zampakuto et de son holow. Ils donnaient l'impression de bien s'amuser. La discutions était légère vue leurs rires et sourires.

 

Kisuke avait été étonné de voir le rouquin faire apparaître ses deux êtres. Ce n'était pas leur apparition qui le gênait, mais l'énergie qu'ils dégageaient. Il aurait cru sentir un tension entre ses deux là. Un zampakuto et un hollow en harmonie, il aurait tout vue. Sa théorie serait-il finalement vrai. La prophétie serai-t-il véridique ? Cela expliquera l'intervention d'Aïzen le jour de son anniversaire. Tout cela avait bien l'air d'être compliqué. Et notre rouquin national ne leur avait pas tout dit. Foi de Kisuke il le découvrira bien assez tôt. Mais avant tout il avait une mission à accomplir.

 

******

 

Ichigo entendit un bruit juste derrière lui.

 

« Pas très discret vieux pervers. »

 

« C'est plutôt toi qui ne l'ai pas ces temps si. »

 

Urahara s'approcha et s'assit près de lui et se servit un verre de saké. Un long silence s'installa entre eux. Silence ou les mots auraient été de trop. Chacun le savait. Le bruit de la fête leur parvenait en bruit de fond. Les invités s'amusaient bien. Ichigo était heureux d'être là.

 

« Merci. »

 

« C'est toujours un plaisir de faire la fête. »

 

Ichigo rit de bon coeur. Urahara restera toujours le même. Jamais il n'avouera ses véritables sentiments.

 

Le coeur du blond rata un battement à se son si pur et clair. Il ne le connaissait pas ainsi. Cela lui fit plaisir.

 

« Je peux te poser une question ? » Reprit Ichigo.

 

« Cela est déjà fait. »

 

« Mmh »

 

Voyant que son humeur n'était pas appréciée, il repris son sérieux.

 

« Vas-y. »

 

« Qu'est-ce que deux âmes soeur ? »

 

« Eh bien ! Ce sont tout simplement deux âmes qui ne peuvent vivre séparément. Une fois qu'ils se reconnaissent, ils ne peuvent plus se quitter sans ressentir un grand vide en eux. L'un ne va pas sans l'autre. »

 

« Mais comment sait-on que l'on a trouvé son âme soeur ? »

 

« Pourquoi cette question ? »

 

« ... »

 

N'obtenant pas de réponse, il y répondit.

 

« On le sait tout simplement. Il n'y pas à se poser dix mille question. Il faut suivre son instinct. »

 

« Mm. »

 

« Ichigo, je n'ai pas encore remis ton cadeau d'anniversaire ! » Reprit le blond joyeusement.

 

« Ce n'était pas la fête « surprise » !? »

 

« Non; après que ton cher père est cafter, j'ai du revoir dirons nous mon cadeau. »

 

« Oh ! » Sans vraiment de conviction.

 

« Je te remercie pour ton enthousiasme affligeant ! »

 

« La faute à qui ? »

 

Kisuke ouvrit son éventail pour cacher la lueur amuser dan ses yeux. Ichigo n'en fut pas dupe. 

 

« Avant si on buvait un autre verre pour trinquer à ton rétablissement ! »

 

Sans lui en laisser le temps, il lui mit une coupelle dans les mains

 

« À cette soirée inoubliable ! »

 

Kisuke regarda le roux avaler cul sec son saké. Un grand sourire fleuri sur ses lèvres.

 

Ichigo quant à lui se demandait s'il avait bien fait de boire se saké.

 

« Urahara il faut que je dise quelque chose. »

 

« Hai ! »

 

« Tous tes questions trouverons leurs réponses en temps et en heure. La patience est une vertu précieuse en tant de guerre. »

 

« Mais... »

 

« Parfois pour protéger tous ceux qu'on aime le silence est d'or mon ami. Tu seras récompensé pour ça ! Je te le promets ! Et... »

 

Le roux ne pu finir sa phrase qu'il tombait déjà dans l’inconscience.

 

« Oups ! Je suis peu être allé un peu fort sur la dose de somnifère. Ah, j'aurais aimé d'entendre dire davantage. Ma curiosité saurait attendre comme tu la si bien dit toi même, mon ami. »

 

« Alors ? »

 

« Tous se déroule comme prévus. »

 

« Est-ce que c'est une bonne idée de faire ça ? »

 

« Reculeras-tu mon chère Isshin ? »

 

« Non. »

 

« Tous est réglé alors. »

 

*******

 

Byakuya s'était pris un bon bain dans les sources chaudes situé sur son domaine. Il en avait eu besoin. Cela faisait plus d'une heure qu'il avait quitté la fête d'Ichigo. Il avait bien senti qu'Ichigo essayait de se rapprocher de lui et cela le rendit euphorique et léger à ce constat. Malheureusement, s’il voulait que tout se déroule bien selon le plan de kisuke-san, il avait dû se tenir tranquille. Maintenant il ne restait plus qu'à patienté. Silencieusement, il alla s'assoir au pied d'un cerisier vêtu d'un yakuta bleu nuit.

 

******

 

« Ichi, mon roi, réveille-toi ! Ichi, Ichi ! Mon roi ! »

 

Ichigo entendait son hollow lui murmurer ces paroles au creux de son oreille et c'est ce qui était étrange. Comme un clown sorti de sa boîte, il s'assit violemment en tailleur. Sa tête se mit à tourner. Il ferma ses yeux afin de retrouver un semblant d'équilibre.

 

« Mon roi, mon roi, toujours aussi pressé ! » Ria Shiro

 

À l'entente de Shiro, il ouvrit ses yeux et il vit un regard doré emplie d'inquiétude le scruter.

 

« Mais qu'est-ce que tu fais là ? »

 

« Je veillais sur toi. »

 

« Non pourquoi tu es là ? » Ichigo ponctua sa question d'un signe de main vers le corps matérialisé de son hollow.

 

« Ah sa ! Te voyant dans cette situation, ton subconscient m’a fais me matérialiser. » Shiro poussa un soupir. « En fait, d'après mes déductions c'est une protection mis en place par toi inconsciemment afin de te protéger. »

 

Cela paraissait plausible vue les nouveaux pouvoir qu'il avait. Mais pourquoi c'était-il sentit menacer ? Ichigo était à cette réflexion, lorsque son zampakuto apparu également.

 

« Sangetsu ? »

 

« Ichigo le moment que tu attendait est enfin arrivé. »

 

« ... »

 

« Ichi mon roi, nous allons être enfin entier ! »

 

« ...mais...nous... ENTIER ? »

 

« Tu auras ce que ton coeur et ton âme désiraient ardemment. Il te suffit d'ouvrir ce shoji. »

 

Sans un mot de plus, son zampakuto et son hollow disparurent, en laissant un Ichigo confus. Il se remémora alors sa conversation avec Urahara. Oh, il l'avait endormi. Celle là il ne l'avait pas vue venir. Ichigo poussa un soupir las. Il se demandait bien ce qu'ils avaient mijotés et ce qu'était ce fameux cadeaux qui nécessitait que l'endorme.

 

Ichigo ferma les yeux et se concentra sur son environnement. L'air était pur, une petite brise soufflait à l'extérieur. D'après les énergies au alentour il se trouvait à la Soul Society. Mais où exactement ? Il ouvrit ses yeux et détailla la pièce dans laquelle il se trouvait. Il était assit sur un futon, vêtu d'un yakuta bleu accommoder d'une ceinture vert. La pièce était simple, composer juste d'un petit bureau et d'un coin d'eau. Ses vêtements de shinigami étaient pliés et poser sur un petit meuble qui semblait être une commode. Tous étaient de bonne facture d'après à ce qu'il puisse en juger dans le noire.

 

Après moult réflexions insensés les unes que les autres, il se leva et ouvrit le shoji comme lui vait dit son zampakuto. Il faisait nuit certes, mais assez claire par la lune qui était à son apogée. Il était magnifique d'ailleurs. L'air fais le revigora. Avec un regard d'horizon, il comprit qu'il était dans la demeure de la famille Kuchiki. Son coeur s'emballa à ce constat. Cela ne pouvait être possible. Alors tous prenaient son sens, les paroles de Shiro et de Sangetsu. Un pensée pour ses amis et familles qui avait tous manigancés avec comme maître de cérémonie Urahara Kisuke. Il allait avoir une petite conversation avec eux. Ils allaient entendre parler de lui. Mais pour l'instant tourna toute son attention dans la situation d'où il était.

 

Premièrement s'il était ici Byakuya ne devait pas être très loin. Discrètement le rouquin se dirigea vers le jardin. Endroit préféré du noble. Après quelques minutes il le trouva endormi sous un cerisier en fleur. Il était magnifique. Le coeur d'Ichigo à cette vue connue une paie si rare à se yeux. Il ne pouvait quitter des yeux son visage si paisible dans ce sommeil apparemment si douce. Lentement il s'approcha et s'assit tout près du noble. Ichigo en profita pour le détaillé à loisir. Sa peau d'une douce blancheur appelait aux caresses les plus osé. Ses muscles si ferme, ses mains...Mmh. Ses lèvres si rose et pulpeuse bien trop tentante. Tout ce soir chez le noble l'attiraient. Il ressentit comme une attraction chimique. Sans rendre compte, le rouquin laissait échapper son reiatsu si particulier au dernier héritier mal royal. Emplie de tendresse et d'amour, ses liens spirituels entouraient ceux du noble. Ichigo se rappelle alors que lors de sa convalescence inconsciemment il avait fait la même chose. Le sourire au lèvre, il s'adossa à l'arbre et doucement il bascula la tête de Byakuya sur son épaule. Tendrement il lui caressa les cheveux, puis leva les yeux pour admirer le ciel. Il se sentait bien maintenant qu'il était près de lui. Son âme soeur.

 

*******

 

Byakuya se sentait agréablement bien. Une douce chaleur l'entourait, c'était comme la dernière fois, lorsqu'Ichigo avait entremêlé leurs liens spirituelles. Le noble délaissa cette état si agréable afin de mieux se concentrer à son environnement. Son coeur s'emballa légèrement quand il comprit qu'Ichigo était près de lui, même très près de lui. Il le serrait tout contre son corps et lui caressa les cheveux. Il s'était endormi en l'attendant. Lui qui voulait l'accueillir, c'était maintenant rater. Dire qu'au tout début il l'avait rejeté par sa froide indifférence. Maintenant il ne savait plus quoi faire. Il avait été heureux lorsqu'Urahara lui avait fait part de son plan. Il avait été même enthousiasme dans ses conversations avec sa soeur Rukia. Mais maintenant, il ne sait plus. Encré dans son trouble, il ne vit pas Ichigo l'observer avec un tendre sourire au lèvre.

 

Ichigo décida de couper court au désarroi du noble.

 

« Byakuya. »

 

À l'appel de son prénom, il se releva. À ce moment Ichigo en profita pour capturer son regard.

 

De long minute s'écoula sans qu'aucun des deux de disent quoi que se soit. Perdu dans le regard l'autre, chacun voyant le reflet de leur amour.

 

Byakuya se reprit en cassant le lien et se redressa debout dos à Ichigo. Il fallait qu'il se reprenne rapidement sinon il allait lui sauter dessus.

 

« Ichigo. »

 

D'un signe de tête le noble fit signe au roux de le suivre. C'est côte à côte qu’ils se promenèrent dans le jardin. Chacun jetant un coup d'œil à son voisin, en essayant de guetté une réaction.

 

Byakuya ne savait plus quoi pensé. Ce soir Ichigo rayonnait, il était magnifique, il avait une

prestance incroyable digne d'un roi. Le noble en fut souffler. Le roux faisait preuve d'une maturité surprenante. Et il en était agréablement surpris. Ace constat il pu se détendre. Discrètement il pris la main du roux et entremêlèrent leurs doigts.

 

Ichigo était aux anges.

 

Ils passèrent un moment dans le jardin à se promener sans rien dire. Puis le noble le dirigea vers la demeure. Ils s'installèrent en seiza et prirent un thé. Tous étaient déjà près. Des serviteurs les voyant revenir avaient dû tout préparer.

 

Le noble décida d'y allé doucement avec son rouquin, alors il entama la conversation de façon légère.

 

« Comment vous sentez-vous depuis la dernière fois ? »

 

« Je vais très bien Byakuya. Tu sais que tu peux me tutoyer. Remarque moi je ne me gêne pas »

 

Le noble poussa un soupir intérieur. Ichigo restera toujours lui. 

 

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